Commençons par la définition du mot “vaccin” :
Un vaccin est une préparation biologique prophylactique d’un ou de plusieurs antigènes microbiens, qui stimule le système immunitaire d’un organisme vivant afin d’y développer une immunité adaptative…
Les produits de Pfizer et de Moderna ne sont donc pas des vaccins.
Ce sont des thérapies géniques à visée prophylactique.
(précision importante donnée par le professeur Peronne).
Continuer à utiliser le mot vaccin est bien entendu un raccourci… mais un raccourci qui sert le narrative. Et qui consiste à vous endormir.
Ensuite, honneur à celui qui fait pipi le plus loin, Pfizer, puisque c’est sa thérapie génique qui vient d’être validée par le Royaume-Uni.
(d’après article ZeroHedge).
QUESTION : EST-CE CA MARCHE ?
Réponse : ON NE SAIT PAS.
The Pfizer vaccine trial included nearly 44,000 people. Half getting their vaccine, half getting a placebo. In total, from the 44,000 people, 170 were later recorded as having become ‘infected with Covid19’. 162 of them were in the placebo group, 8 of them in the vaccine group.
The vaccine is therefore credited with preventing 154 cases of Covid19…or 95%.
Il est évident qu’un tel échantillon n’a aucune signification.
Il est possible que le groupe sans vaccin contenait 154 individus qui avaient davantage de risques/propensions à être infectés par le Covid… Ou qu’ils aient pu être en contact avec un “superspreader” en faisant leurs courses… alors que les membres du groupe vacciné restaient dans leur cave.
De plus, comme déjà noté, on n’a même pas de détails sur ceux qui ont été infectés… Comment a été posé le diagnostic ? Suite à un examen clinique ? A un test PCR ? Quels réglages CT sur ces machines ? Machines identiques pour tous ? Et “positif Covid” cela signifie avec des symptômes ou pas ? Si oui lesquels ? etc.
Rappelons enfin que les cobayes dans un des groupes de Moderna… étaient tous âgés de moins de…. 55 ans.
A partir de telles données, ridiculement parcellaires, faire un communiqué de presse, repris par tous les médias du monde qui claironne “95 % d’efficacité ” est absurde.
Et surtout malhonnête.
QUESTION : EST-CE QUE C’EST SANS RISQUE ?
Réponse : ON NE SAIT PAS.
Ces thérapies géniques à visée prophylactique utilisent une nouvelle technologie. Il n’y aucun recul. Aucune étude de long terme. Donc la seule réponse rationnelle à cette question est : “on ne sait pas”.
Voir tous les gouvernements se précipiter, dans un mouvement concerté, sur ces produits est une marque de pure covidémence.
Mais ce n’est pas de la science.
Et encore moins une balance “risques/bénéfices” (un argument du type “élément de langage” placé par les covidéments dans tous les médias).
Les risques, tous les risques, ne sont pas connus.
Quant aux bénéfices, ils ne sont pas connus non plus (en raison des résultats parcellaires présentés), et surtout en théorie réservés à une toute petite portion de la population : les vieux malades.
Donc, dans de telles conditions, il est impossible de faire une “balance risques/bénéfices”, et a fortiori prétendre l’appliquer à toute la population.
Cette thérapie génique anti-couillonavirale est parfaitement inutile pour l’écrasante majorité de la population.
QUESTION : QUE VA T-IL SE PASSER ?
Il faut attendre que des centaines de milliers de personnes, un peu partout dans le monde, soient injectées avec cette thérapie génique… Puis il faudra suivre ces cohortes pendant des années (2 ou 3 ans), etc.
Et seulement, alors on aura une vue claire des risques (si ces derniers se matérialisent… il est possible que ces thérapies soient miraculeuses… sans aucun risque, mais à ce jour, on ne peut pas savoir).
Et seulement alors, on pourra prétendre faire une “balance risques/bénéfices”.
ARGUMENT : OUI MAIS FACE A L’URGENCE ON NE PEUT PAS ATTENDRE
Si justement. Car il n’y a aucune urgence de santé publique. Le couillonavirus aura tué d’ici fin décembre un total de 1,6 millions de vieux déjà malades dans le monde (en clair une bonne partie d’entre eux seraient morts avec ou sans virus, dans l’année).
Chaque année, 56,87 millions de personnes décèdent dans le monde, toutes causes confondues.
Voir le tableau de l’OMS ici pour les totaux par causes de mortalité.
Le couillonavirus serait une malédiction genre Ebola, alors oui, on pourrait accepter de prendre des risques inconnus.
Mais ce n’est absolument pas le cas.
One reply on “Thérapie génique prophylactique de Pfizer : “on ne sait pas””
Ils vont privilégier les personnes à risque, et bien sûr, les résidents dans les EHPAD. En clair, ceux qui restent seront euthanasiés !