[un pêle-mêle 100 % british]

VIVRE-AVEC
Après le “vivre-ensemble “… voici le “vivre-avec “.
Avec quoi ?
Mais le Covid, of course !
Boris Johnson annonce un plan pour “vivre-avec-le-Covid ” et “revenir à la normale” en mars…
Sauf que… comme d’habitude, c’est vicelard. Pourquoi mars ?
C’est dès aujourd’hui qu’il faudrait tout arrêter, faire taire les covidéments, les médias, etc.
Il n’en sera rien.
Et bien entendu au moindre pseudo nouveau variant, le gouvernement replongera. On a connu ça avec Delta, puis Omerdon
Singapour par exemple qui fut le premier à parler du “vivre-avec“… chimérique en mai dernier… et qui replongea des 2 pieds et des 2 mains (lire ici et là)…
Boris Johnson ment. L’appareil covidémentiel ne sera absolument pas démantelé en mars, comme il devrait l’être.
Au mieux, il sera mis en sommeil pour… l’été… comme ce fut le cas en 2020 et 2021…
PRIVE SI PRIVE QU’ON NE LE VOIT PAS
Le ministre de la santé demande au NHS (l’hôpital public) d’envoyer les cancéreux en attente de traitement, ayant été “déprogrammés” (comme en France)… dans les hôpitaux privés.
Ah bon ? Alors comme pour le Covid, et comme en France, le gouvernement britannique n’a jamais fait appel aux établissements privés ?
Alors que terrible pandémie, la guerre, les hôpitaux débordés, tout ça ?
Deux ans pour s’en apercevoir ? Deux ans pour se rendre compte que si l’hôpital public subit un “tsunami” de Covid, au point de devoir “déprogrammer” des soins, des examens… les établissements privés se tournent les pouces ?
Et pendant 2 ans, combien de cancéreux et autres malades sont crevés à cause de la politique “Tout-Covid” ?
DONNEES SANS DONNEES
Les fonctionnaires anglais ont fourni des données bidonnées au ministre de la santé.
200 000 cas Omicron par jour à la mi-décembre !
Ce slogan (car ce n’était rien d’autre) a ensuite été repris par le ministre, et martelé dans les médias ainsi qu’à la chambre des Communes.
Sauf que… on apprend aujourd’hui que “the statement was ‘initially also unsupported by data“.
Ah zut. Donc ces données n’étaient pas étayées par… des données ? 😉
Encore une regrettable erreur… que l’on admet après… après avoir engrangé les profits du crime…
Car les députés anglais ont voté des règles covidémentielles à la con… précisément à cause de ces données horrifiques.
Rincez, répétez.
Les Anglais, je l’ai déjà souligné à plusieurs occasions, sont les spécialistes de ce trollage.
Ils bidonnent à mort. Puis la bouche en cul de poule, reconnaissent le bidonnage quelques semaines ou mois après…
Autre constante observée PARTOUT dans le monde : ces malheureuses “erreurs” (de calcul, de communication, de couleur du slip choisi le matin etc.) vont systématiquement dans le même sens.
Un sens unique.
Celui du grossiment de la menace couillonavirale.
Bizarre, non ?
Boris aux cheveux blonds, l’homme qui donné corps au Brexit… est totalement subordonné à la covidémence.
Il y a là une ironie suprême, ou alors… une terrible vengeance des globalistes : on vote le Brexit pour ensuite accepter la domination covidémentielle… ?
Où est la souveraineté nationale dans ce cas ? Dans un test PCR (made in China) ?
L’Angleterre n’est plus que l’ombre d’elle-même, à l’image de tout l’Occident.
Le fameux Rule Britannia ! Britannia rule the waves… est un lointain souvenir.