Cela devient un running gag. Un mauvais.
Toutes les données -importantes- relatives à la crise couillonavirale sont bidonnées.
Ou si vous préférez, en langage moins fleuri, délibérement exagérées, dans une optique politicienne : la prolongation de la covidémence.
C’est une partie du fameux “quoi qu’il en coûte” du gland aussi psychotique qu’ingénu qui squatte le palais de l’Elysée.
Le Royaume-Uni reconnaît ainsi périodiquement des bidonnages… (lire ici, là, encore ici, encore là, ici et même là) mais plusieurs mois après, une fois le mal fait, une fois les objectifs politiques atteints.
Dernier exemple en date : un quart des “hospitalisés Covid”… n’ont en fait rien à voir avec le… fameux virus.
Ce n’est pas une surprise, nous le savions déjà et sous de nombreuses latitudes. Mais c’est encore plus goûtu lorsque l’admission est officielle.
Data shows 6,146 NHS beds taken up by Covid positive patients on Sept 14, latest health service data shows
But just 4,721 patients (77%) were primarily being treated for coronavirus, with rest possibly ‘incidental’ cases (source DailyMail)
Cette petite plaisanterie dure depuis au moins la mi-juin (lire article Lockdown Sceptics).
Le nombre des hospitalisés est une des données essentielles (avec les “cas”, les lits en réanimation, et les décès).
Cet indicateur est utilisé par les gouvernements pour justifier le caractère exceptionnel de la crise, et donc des mesures prises, par les médias (pour entretenir la pétoche) et plus largement par tous les glands covidéments.
Ainsi, en Angleterre, on a bourré le mou au public pendant tout l’été avece ce slogan : “5 000 hospitalisés Covid”.
Alors qu’en réalité, il aurait fallu dire : 3 750.
Les mêmes manipulations ont lieu en France (en particulier sur les lits de réanimation, lire ici).
Enfin, notons que toutes ces “erreurs”, ces algorithmes faux, ces “estimations“, ces “problèmes“, etc… vont systématiquement dans le même sens.
Celui du grossissement de la menace, jamais l’inverse.
Jamais.