Depuis trois ans, nous subissons un tsunami d’études scientifiques… qui décrivent -et vantent- les capacités extraordinaires du virus Sars-Cov2.
C’est bien simple : le monstre serait capable d’attaquer tous vos organes, des orteils jusqu’à vos cheveux, en passant par le foie, le coeur, le cerveau etc.
De bas en haut et de haut en bas.
Sans oublier le milieu ! Estomac, intestins, ovaires, vessie, prostate, testicules… TOUT.
Même le pénis. 😉
Ce virus c’est la Foire du Trône ! C’est le couteau-suisse de la Grande Faucheuse ! C’est le Mozart des pathogènes ! Le Balzac des emmerdements !
Du jamais vu.
D’accord.
Sauf que… dans la vraie vie et dans les vrais corps… on ne voit pas cela…
On voit en réalité TRES PEU DE VICTIMES (si l’on fait abstraction de tous les bidonnages statistiques ahurissants imposés depuis 2020).
Je reformule.
Il aura fallu :
- des assassinats avec de la ventilation mécanique à outrance (y compris pour des cas non sévères)
- des assassinats avec du rivotril (midazolam chez les Anglais).
- un refus de soigner institutionnalisé et JAMAIS VU au cours de l’histoire (“restez chez vous“) même les médecins de Molière essayaient toujours quelque chose à leur époque (les saignées) !
- des confinements délétères (et multiples).
- une propagande anxiogène, terrifiante, là encore historique en terme d’intensité, de durée, de moyens déployés et de cible (la planète entière).
- sans oublier l’aide de la démographie avec un vieillissement rapide des populations et un effet “année moisson” (en Europe)
…que d’efforts !
… pour au bout du bout… réussir à obtenir en 2020… quelques milliers de morts en plus (en France), en chiffres absolus (voir ci-après)… permettant de donner corps à la “pandémie”.
De la faire vivre si j’ose dire.
Car une “pandémie” sans morts et sans terreur… ce n’est pas une “pandémie”.
A-t-on jamais parlé d’une “pandémie”… de rhume ?
Et encore, ce succès fut très, très… relatif !
Un vrai statisticien comme Pierre Chaillot a démontré que 2020 fut… la sixième année LA MOINS MORTELLE de toute… l’histoire de France (quand on applique la seule méthode logique de comparaison c’est-à-dire standardiser la population observée, par âge et effectif) !
Pour un virus aux capacités hors du commun, quasi surnaturelles… ça pique un peu les yeux… Non ?
Et précisons que de nombreux pays n’ont pas utilisé tous ces accessoires de scène, tous ces effets spéciaux… Augmentant ainsi encore le gouffre entre discours et réalité.
Je prends souvent l’exemple de ma terre d’adoption… La Thaïlande.
Malgré 11 millions de touristes chinois en 2019, et encore 800 000 en janvier 2020 (si, si !)… et avec dans ce paquet grouillant 6 vols quotidiens en provenance de… Wuhan (vous savez la ville maudite, infectée, tout ça, où les gens mouraient dans les rues, du moins en vidéos)… eh bien il ne s’est strictement rien passé au Royaume du Siam.
Rien.
Je veux dire rien de réel par rapport à une quelconque “pandémie” ou une quelconque maladie infectieuse…
On a eu bien sûr la fermeture des frontières aériennes (à partir du 4 avril 2020), les masques, les écoles fermées (pendant 2 ans, pépère), l’hystérie, les rayons “non essentiels” fermés dans les supermarchés et même l’interdiction de la vente d’alcool (pendant quelques semaines uniquement, faut quand même pas déconner), des couvre-feux, les restaurants fermés, j’en passe et des meilleures (on a échappé toutefois aux confinements).
Mais des cadavres ? Des malades ? Peau de balle.
Quelques vieillards au bout de leur vie… accablés de nombreuses pathologies. Même en les étiquetant tous “Covid”, les chiffres sont dérisoires.
61 covimorts en 2020… pour un pays de 70 millions d’habitants (à peine moins âgés que la France)…
Je sais, c’est très drôle. Je m’époumone à le répéter depuis 2 ans et demi, mais personne ne percute.
Et croyez moi, le gouvernement militaire local avait pourtant intérêt à gonfler les chiffres ! 😉
L’année suivante ? 21 600 covimorts (grâce à l’introduction des vaccins bien entendu, la synchronicité est parfaite !) Et enfin en 2022… 12 000.
C’est chaud. On a frôlé l’extinction. Comme les pangolins.
Reprenons : c’est comme une pneumonie classique. Si vous ne la soignez pas… alors des malades fragiles risquent fort d’y laisser leur peau.
Le Sars Cov2 n’échappe pas à cette règle, toute simple.
Et il faut ajouter un codicille important : les outils dispo à l’instant T.
Je reformule : la peste noire au 14ème siècle était aussi un germe aux capacités extraordinaires ! Jugez plutôt : il a su anéantir la moitié de la population européenne. Comme ça ! Paf ! Chapeau l’artiste.
Six cents ans plus tard… je vous file un coup d’antibiotiques et votre germe maléfique… devient une grosse bouse, tout juste capable de faire peur aux enfants (ou aux journalistes, c’est la même chose en terme de développement cognitif).
Revenons au Sars-Cov2.
Mon intuition est que le mécanisme décrit par Jean-Marc Sabatier colle le mieux à la réalité -physiologique- du virus.
En gros, le virus, via une porte d’entrée spéciale, peut déglinguer un mécanisme interne particulier qui lui ensuite peut déglinguer de nombreuses fonctions vitales.
Et il est d’ailleurs piquant de constater que cette explication… brillante par sa simplicité… vit le jour très tôt en 2020 (publication article en mars 2020).
Alors que depuis 3 ans, des bataillons de scientifiques obtus et bornés continuent de pérorer, de faire leur petit crotte dans leur coin, en étudiant des fractions de virus, ou des fractions d’effet biologique, sans jamais saisir la “big picture”.
Mais, attention, le mot-clé ici est : “peut“.
Répétons-le : il y a d’un côté une capacité sur le papier, théorique, sur l’écran d’un ordinateur, au fond d’une éprouvette… et puis de l’autre… des humains, des vrais corps équipés de vrais systèmes immunitaires… épaulés par une vaste pharmacopée, et par une longue pratique de la médecine.
Car il est ahurissant que l’on fasse abstraction du Réel !
Combien de gens ont été agressés par le virus… et ont eu au final un état grippal, à peine, voire moins ?
On oublie ce fait fondamental !
Vous voyez le problème ?
Comment d’un côté décrire un virus aux capacités surnaturelles… et de l’autre ignorer… que des gazillons de personnes n’ont rien senti, ou très peu.
Et se portent très bien, merci.
Voilà le Grand Malentendu !
Problème : ce malentendu n’est pas neutre. Il contribue activement à faire vivre la narration et à entretenir la peur (car la “pandémie” ne fut rien d’autre qu’une vaste fiction, basée sur la peur).
Il la valide.
L’opération fut une réussite historique, indéniablement.
La grande majorité de la population pense avoir échappé… à une terrible maladie mortelle (le taux de mortalité et le risque individuel étaient systématiquement surévalués, de plusieurs ordres de grandeur… preuve que la propagande a réussi au-delà de tout point de référence connu dans notre système solaire).
POST-SCRIPTUM
Il y a un deuxième problème qui découle du premier. Et Sabatier en est un peu victime (voir ” le cri d’alarme du Dr Sabatier”).
Pour lui, la protéine Spike est très dangereuse par les effets qu’elle peut provoquer. Et donc… la protéine créée par les produits ARNm, l’est aussi.
Vous voyez le soucis ?
C’est comme une équation : en entrée, des gazillons de personnes fauchées par le virus. Donc en sortie, des gazillons de personnes seront tuées par… les “vaccins”.
Le dénominateur commun étant la fameuse protéine.
Que les choses soient claires : les “vaccins ARNm” ont certainement déjà tué davantage que le virus naturel, en tout cas leurs dégâts sont plus graves (le virus naturel a tué des vieillards déjà morts, les “vaccins” ont tué et blessé en plus des individus jeunes, ce n’est pas comparable).
(dans les deux cas, c’est capital, il faut souligner la main de l’homme, je le répète cette situation est totalement artificielle).
D’autre part, la dangerosité de ces produits n’est pas uniquement dûe à la protéine Spike… il faut prendre en compte leur nature même.
A trop se focaliser sur la protéine de pointe… on en oublie tous les autres aspects dangereux, inconnus de cette technologie aberrante (dans le sens où elle n’est pas maîtrisée, et en sans doute pas maîtrisable).
Citons les nanoparticules (le véhicule), les pollutions (il y a de l’ADN dedans, pouvant perturber/corrompre le “message”, et donc la protéine qui sera ensuite fabriquée), la possibilité que l’ARN soit ensuite transformé en ADN, l’impossibilité d’établir et de garantir une quelconque “posologie/dose/quantité de protéines fabriquées”, etc.
La liste des pièges et des facteurs incontrôlables est longue.
Face au “Grand Malentendu”… pas de malentendu ! Je ne suis pas en train d’insinuer que les produits ARNm sont bénins. 😉
Mais, et cela nous renvoie au virus… il faut bien admettre que :
- des injectés ont certes été tués immédiatement.
- D’autres ont été blessés un peu plus tard (myocardites, les affaiblissant, et raccourcissant leur espérance de vie, ou encore capacités reproductives amoindries).
- mais des gazillons d’autres n’ont rien subi.
Alors ça ne prouve pas que l’on ne pourrait pas constater des effets négatifs à long terme…
Je dis simplement que pour le moment cela colle… au Réel : face aux pathogènes, aux agressions extérieures, nous ne sommes pas égaux.
Je sais, cela revient à enfoncer grande ouverte la porte Chaillot, pardon Maillot (c’est Pierre qui me perturbe). 😉
En tout cas, je peux boucler sur mon dada : arrêtons de nous exciter et de nous perdre au sujet de la technique (même si c’est intéressant)…
Il ne faut pas perdre de vue l’essentiel :
- le pourquoi ?
- et le qui ?
Car on y revient toujours : la covidémence ne fut en RIEN un événement “naturel”…
La “pandémie” fut une mise en scène, une opération çonçue et réfléchie, avec des instigateurs, des exécutants, des complices (actifs et passifs), des sympathisants… et des victimes.
Quant au virus… avant d’être un pathogène aux capacités extraordinaires… c’est surtout une farce !
Je persiste et je signe. Il suffit de voir la longue liste des molécules/substances qui lui mettent des grandes claques dans sa petite gueule de gain de fonction.
Je vous renvoie à ce sujet au dernier article du docteur Maudrux (toujours excellent).