Vous avez sans doute vu cette photo. Et pour cause, c’était voulu. Elle fut prise à Wuhan par un photographe de l’AFP et diffusée ensuite dans tout l’Occident.
Par une formidable coïncidence, le photographe de l’agence de presse française passait par là, au bon moment.
C’est donc une photo… officielle, n’ayons pas peur des mots.
Mais à l’époque… d’autres clichés et vidéos du même genre étaient diffusées vers le monde extérieur (via Twitter etc.), sous la forme d’image “volées”, de fuites et ensuite transmises -clandestinement- bien entendu pour contourner l’affreuse censure Internet pratiquée en Chine comme chacun le sait…
Cadavres foudroyés par le Covid évidemment, gisant sur les trottoirs, dans des postures grotesques.
Images très frappantes.
Ajoutons le confinement dur de villes entières, de dizaines de millions de personnes : le décor de la covidémence était dressé.
Il s’agissait donc bien d’une terrible et mystérieuse épidémie…
Un an après, ce qui devrait frapper les consommateurs occidentaux de ces images, est le fait… que NULLE PART AILLEURS on a assisté à de telles scènes (une photo identique à Hong Kong de mémoire, mais HK est chinois).
Je reformule : c’est arrivé SEULEMENT EN CHINE et seulement AU DEBUT de la covidémence (février 2020), alors même que l’Occident compte aujourd’hui infiniment plus de cas, de malades et alors même qu’on a sur les bras de terribles “mutants”, plus contagieux et plus dangereux (du moins c’est le discours officiel).
En clair : d’autres mecs devraient tomber comme des mouches dans les rues… Partout. Dans de nombreux pays.
Or rien. Absolument rien.
Tout cela ne tient pas debout, c’est le cas de le dire.
Il s’agissait de mises en scènes, créées en Chine et destinées à être diffusées à l’extérieur.
Pourquoi ?
L’objectif est évident : distiller la terreur, justifier toutes les mesures covidémentes et restrictives. Ce qu’on a baptisé le modèle Chinois.
C’est la Chine qui a donné le “LA” covidesque au monde. Et sa propagande s’est déchaînée.
Mais là où l’opération touche au génie… c’est que des médias occidentaux se permettent un an après d’y revenir, pour illustrer le fait qu’au fond la Chine… a menti… Sous-entendu dissimulé, minimisé la réalité de la terrible pandémie !
Le Figaro pond ainsi un article surréaliste :
Covid-19 : le «mort de Wuhan» reste inconnu
Il y a un an, l’image d’un homme resté sans vie de longues heures sur le trottoir de la ville avait fait le tour du monde.
C’est un bijou de propagande où chaque argument est littéralement retourné, comme un gant de toilette, pour créer une histoire.
Ce rappel au drame d’il y a un an cadre mal avec le récit imposé par le régime communiste, qui tente de faire oublier le chaos des premières semaines de l’épidémie.
L’objectif de cet article “anniversaire” est de remettre une couche de peur dans l’esprit des Français, tout en accusant la Chine de mentir.
Diversion totale, puisque le mensonge principal n’est pas le covibilan, mais l’origine du virus, ainsi que la volonté de la Chine de tout faire A L’EXTERIEUR pour rendre le couillonavirus aussi terrifiant que possible.
Autre image symbole utilisée par la propagande chinoise en février : des officiels qui soudent des portes dans des blocs d’appartement.
Il est très intéressant de constater que Pékin nous refait le même coup… un an après, via une vidéo postée sur Twitter, soit disant fuitée par des… opposants chinois.
La boucle est bouclée.
Récapitulons :
-contrairement au discours officiel, la Chine a délibérement grossi la réalité couillonavirale, via confinements très dur, images mises en scène et diffusées à l’étranger (lire cet article ou encore celui-là) et de nombreuses psyops (par exemple le premier hôpital de campagne construit en quelques jours à Wuhan).
-la Chine accepte de se laisser accuser d’avoir… minimisé et caché l’ampleur de la terrible pandémie
-et surtout la Chine, un an après, continue son petit jeu.
Il y a donc bien une unité, de lieu, de responsables et de temps !
La covidémence est par essence chinoise. Et elle continue de plus belle (en Chine et partout ailleurs).
La seule interrogation, pressante, qui demeure : POURQUOI ?