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Chiffres

Décès toutes causes confondues : mise à jour Insee sur novembre

L’Insee a mis à jour ses séries de décès toutes causes confondues, avec les données du mois de novembre.

(on rappelle qu’à chaque mise à jour mensuelle, des révisions sont faites sur les mois précédents mais de faible amplitude).

L’écart continue de se creuser avec 2019.

Il y a une hausse de 8,2 % des décès toutes causes confondues, de janvier à novembre, comparé à la même période en 2019.

Cela représente 46 015 décès en plus.

Le précédent “record” était une hausse de 6,1 % en 2015 (par rapport à 2014) (l’épidémie de grippe avait été forte).

Dans le même temps, il y avait officiellement fin novembre 52 819 covidécès.

J’avais prévu que la surmortalité enregistrée au printemps serait “lissée” jusqu’à la fin de l’année, peu à peu. J’avais tord. Le rebond couillonaviral de l’automne s’est imposé.

Il est encore trop tôt pour creuser les données. Ainsi, il serait absurde d’attribuer au seul Covid ces 46 015 décès supplémentaires.

Enfin il faudra bien un jour étudier les effets de bord et long terme, de toutes les politiques anticouillonavirales, à commencer par le confinement.

Quid des pathologies lourdes, cancers, AVC etc. La mobilisation anti-Covid dans les hôpitaux, la peur des gens, l’hystérie anti-Covid partout… concrètement quels ont été les effets sur les patients affectés de pathologies lourdes (diagnostic, traitement, prise en charge en urgence etc.) ?

Autre source de fâcherie : la politique officielle consistant à… ne pas traiter, à ne surtout pas chercher de traitement, et même à lutter contre toute idée de traitement.

Sur le terrain, des médecins se battent, expérimentent, tentent (HCQ, antibiotiques, etc.) mais rappelons-le contre les dikats des autorités.

Ces dernières continuant de tout faire pour imposer une analyse binaire (fausse) de la situation : vaccin / rien d’autre.

Là encore, il faudra séparer le bon grain de l’ivraie… Combien de personnes fragiles, infectées par le Covid, auraient pu être sauvées ? Par des traitements précoces comme HCQ ou l’ivermectine ?

Enfin, jauger les nombres, les mettre en perspective. Fallait-il détruire le pays face à ce virus ?

En admettant que toute la surmortalité en 2020 soit causée par le Covid… est-ce une menace existentielle pour la société, le pays, le monde ?

Aujourd’hui, tout le débat public est focalisé sur un sujet unique : les vaccins.

Tous les autres sujets ont été escamotés.

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Vaccinocircus Vrac

Moderna et son “système d’exploitation”, ses “logiciels” : vous

Vous êtes l’ordinateur, avec le système d’exploitation de Big Pharma. La thérapie génique est le floppy disk (ou clé USB pour les jeunes) 😉

Certains me diront que c’est anecdotique. Et pourtant… cela préfigure le futur. Le monde d’après.

Moderna est le labo américain (créé par un Français en 2011) qui a développé une thérapie génique contre le couillonavirus, le second étant Pfizer.

Vous avez entendu du principe de ces vaccins “à ARN messager“.

En gros : on vous injecte un “message”, un jeu d’instructions, votre corps va alors suivre ses instructions et fabriquer une certaine protéine (liée au coronavirus), cette dernière sera ensuite donc reconnue par votre système immunitaire, déclenchant ainsi la protection souhaitée.

Mais il faut bien comprendre qu’il s’agit d’un système.

Et d’ailleurs le laboratoire n’hésite pas à le présenter de cette manière.

Sur son site web, il parle bien de “operating system“. Un système d’exploitation, comme un ordinateur.

Plus fort encore, le labo explique qu’après on peut télécharger des “logiciels” ou des “apps” !

Recognizing the broad potential of mRNA science, we set out to create an mRNA technology platform that functions very much like an operating system on a computer. It is designed so that it can plug and play interchangeably with different programs. In our case, the “program” or “app” is our mRNA drug – the unique mRNA sequence that codes for a protein.

Pour résumer : le vaccin contre le couillonavirus… n’est que le début.

Moderna affirme, et revendique le fait qu’après… il suffira d’utiliser son “système d’exploitation” et créer de nombreux autres “programmes” pour modifier… le fonctionnement de votre corps.

Pour résumer : la terrible pandémie est… un gigantesque test (l’opportunité est bien entendu évidente).

Ensuite, les labos pourront affiner et créer de nombreuses “apps”.

En clair, si le test ne fait pas trop de dégâts…. 😉 … alors c’est tout un nouvel espace qui se révèlera… celui de notre reprogrammation (pour filer la métaphore informatique)…

Pour le meilleur ? Ou pour le pire ?

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Médicament

Ivermectine : un site d’information pour les francophones

Voldemort vient d’avaler sa première dose de vaccin (c’est meilleur par voie orale, paraît-il). Manifestement, il a du mal à digérer. Il va nous faire un rototo.

Ca vient de sortir chez les Suisses et c’est en langue française.

Ce site s’appuie sur le Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (un groupe de médecins, aux Etats-Unis, qui travaillent sur les traitements contre le couillonavirus).

Lien : https://ivermectine-covid.ch

Faites tourner !

Au menu :

  • Revue des données sur l’efficacité de l’ivermectine pour la Covid
  • Résumé en une page
  • FAQ (réponses aux “sceptiques”)
  • Etat de la recherche (9 minutes)
  • Données épidémiologiques (4 minutes)
  • la présentation par Andrew Hill de sa méta-analyse commanditée par l’OMS (11 minutes): baisse de 83% de la mortalité.

En outre, n’oubliez pas la remarquable synthèse écrite par le docteur Maudrux (il a écrit une série d’articles au sujet des traitements).

Enfin rappel pour les anglophones : des sites qui listent les études autour de l’ivermectine.

Lien : https://ivmmeta.com

Lien : https://c19ivermectin.com

S’informer sur les traitements contre le couillonavirus est un acte de résistance.

A fortiori quand toute la planète est emportée par un tsunami obsessionnel concernant les vaccins.

Vérandouille va encore nous faire une jaunisse et une crise de nerfs.