Categories
Pays Saloperie et sida mental

Pays de Galles : la police des cabas est de retour

La ménagère qui fait ses courses au supermarché est une dangereuse terroriste. Non pas islamiste, vous mélangez tout… virale !

Il y avait un élément frappant au printemps dernier durant le confinement… Les directives concernant les biens essentiels vendus dans les magasins.

Une conserve de cassoulet à la graisse de porc = bouffe = essentiel. Vente autorisée.

Un nouveau string brésilien pour madame ou une nouvelle paire de charentaises pour monsieur (ou inversement, ne soyons pas bêtement sexistes), non. Interdit. Verboten.

Pourquoi ? Parce que.

Le virus n’aime pas ce qui est essentiel. Mais il a une forte propension à se coller au non-essentiel (en particulier sur la lingerie fine, bien entendu). D’où le danger. Et donc l’interdiction. C’est scien-ti-fi-que. 😉

Ici en Thaïlande (le pays où le Covid n’existe pas)… les supermarchés nous avaient fait le coup aussi : les accès à des allées et des linéaires était littéralement barrés. A 1 mètre de distance, l’innocent  consommateur pouvait placer une bouteille d’huile dans son caddy, mais pas une ramette de papier (pour imprimer ses attestations de sortie). 😉

Conséquence, on avait vu les flics en Angleterre par exemple, faire la sortie des supermarchés, afin de vérifier les cabas des ménagères délinquantes (“Tu as acheté une boîte de crayons de couleur pour tes enfants ? Salope ! Coviterroriste ! Au gnouf ! Et ça fera 135 euros, pour les faux frais faut pas déconner hein “).

L’Angleterre est à la pointe de la covidémence. Je n’ai pas le courage de détailler tout ce qui se passe chez eux, mais c’est édifiant.

On ne sera donc pas étonné de voir le premier ministre du Pays de Galles, Mark Drakeford, ordonner un confinement à partir d’aujourd’hui (et pour 17 jours selon leur concept de “fire break“,  coupe-feu)… Comprenant :

orders supermarkets to sell only ‘essential goods‘. Stores will be told they are unable to sell items such as clothes to shoppers, and to prioritise other products deemed to be more important. (source DailyMail)

Ce type est.. un travailliste bien entendu (le lien entre gauchisme et covidémence, on y revient toujours).

Et on est reparti pour un tour : il n’y a pas de définition claire… Donc retour inévitable des flics bas de plafond, des conflits, de l’hystérie…

Mark Darkford, travailliste, 66 ans. Une vraie tête de bite façon “Gné hé-hé” (lien de parenté assez évident avec notre François Hollande national)

PS : allez, je sais, vous êtes à bout. Marrez-vous un bon coup. Vidéo de François ici.

Categories
Humour

Les femmes viennent de Vénus, les hommes du champ d’à-côté

Les hommes et les femmes ne se comprennent décidément pas. Le couillonavirus n’arrange rien. Nous sommes chocolat !

Désolé. Je sais c’est bête… mais ça me fait sourire. 😉

Categories
Humour

C’est désormais prouvé : la Mayenne est en Australie

Je sais. Vos certitudes s’effondrent. C’est l’effet couillonaviral.

Le matin, après le café et le caca, on feuillette la presse régionale, comme on disait rue Réaumur à la grande époque, avec autant de nonchalance dont on est capable face à la folie du monde.

En l’espèce, Le Courrier de la Mayenne.

Non, non. Il ne faut pas rire.

Car le rire c’est pour après.

Et on trébuche, littéralement, sur ce titre :

Hôpitaux en Mayenne : une organisation progressive face à la troisième vague de la Covid (source)

Notre cerveau étant très bien câblé, deux faits font immédiatement clic et clac.

Le premier est que la Mayenne est à la pointe de la covidémence… puisque elle avait fait parler d’elle… dès le mois de juillet. Le préfet est un grand covidément. Il avait pris un arrêté pour le 1er août en posant les bases du chantage (qui sera étendu à l’ensemble du territoire, après) :

le port du masque est obligatoire pour les 11 ans et plus dans 69 communes de la Mayenne. Pour lui, c’est une décision nécessaire « pour éviter un nouveau confinement ».
(Source Sud Ouest)

Ensuite : l’expression “troisième vague“… on se souvient de l’avoir déjà vue quelque part…

Mais oui ! Bien sûr !

En Australie. Plus particulièrement dans l’état de Victoria, où le dictateur travailliste pro-chinois Daniel Andrew terrorise les habitants.

Il avait déclaré mi-septembre :

“If we go too far too soon, the modelling also tells us we’d be on track for a third wave by mid-November,” Mr Andrews said. (source)

La démonstration est ainsi faite : la Mayenne est en Australie. CQFD.

PS : plus sérieusement, rien dans l’article en question n’évoque une quelconque “troisième vague” (la citation d’une personne interviewée par exemple).

C’est une manipulation du rédacteur, du rédacteur en chef ou du secrétaire de rédaction (ceux qui font les titrailles).

Cette feuille de chou hebdomadaire n’a bien entendu aucune espèce d’importance dans le grand ordre des choses (diffusion de 17 000 exemplaires, dont une grande partie dans les cabinets de toilette de la région de Laval) mais cela démontre l’un des mécanismes de la covidémence : la collaboration fanatique des médias, leur zèle.

PS 2 : le rédacteur en chef de ce torchon, s’appelle “Jean-Baptiste Budes de Guébriant”. Je suis tenté de mettre des guillemets, car on dirait un pseudo d’acteur porno, tendance Versailles canal historique (vous savez avec les perruques et les jarretière, vieux fantasme de la France giscardienne).

Ah… Mon stagiaire au service Fact Fucking Checking, me signale que non, non, ce monsieur existe bel et bien sous ce nom. 😉 Ah ben marde alors. Suce ma graine !