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Saloperie et sida mental

Guerre civile américaine : un désastre évité de peu

Comment dit-on “gloups” en anglais ?

C’est en lisant un excellent article sur ZeroHedge consacré à la farce du dossier russe et au coup d’état manqué contre Trump (2016) que j’ai pris conscience de la justesse de mon jugement.

En toute simplicité. 😉

Grâce à quelques chiffres donnés par l’auteur.

Rappelons les données de base. En novembre 2024, face à la dinde Kamala, Trump a remporté :

  • le collège électoral : 312 versus 226
  • le vote populaire : 77 302 580 contre 75 017 613

Double victoire. Indiscutable.

Pourtant depuis ce triomphe, je rappelle souvent que les 75 millions d’Américains qui ont voté pour Kamala (et il fallait vraiment le vouloir !) n’ont pas disparu.

Pire encore : nombre d’entre-eux se sont radicalisés.

Il est donc impossible de nier la guerre civile américaine.

Mais ce que je n’avais pas compris… c’est à quel point nous sommes passés près de la catastrophe !

L’auteur de l’article explique en effet :

Je tiens à souligner que même si Trump a remporté une victoire écrasante au Collège électoral, si seulement 125 000 électeurs (sur environ 16 millions de votes exprimés) dans le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie avaient changé de vote, Harris aurait remporté ces trois États et aurait atteint 270 votes électoraux.

125 000 sur 16 millions (le nombre total de votes exprimés dans ces 3 états) c’est une miette, vous en conviendrez…

125 000 personnes c’est la population de la ville de Limoges.

Vous commencez à comprendre pourquoi même si la victoire de Trump fut stupéfiante, nous dansons toujours au-dessus d’un gigantesque volcan. Et la satisfaction d’avoir évité la calamité Kamala Harris ne devrait pas nous aveugler.

L’Amérique peut rebasculer dans la dictature woke et gauchiste dans… 3 ans.

Imaginez, une équipe “Biden bis” revenant à la Maison Blanche en janvier 2029. Qui seraient-ils ? Que feraient-ils ?

Gorgés de ressentiment, excités par la haine…

Tout ce qu’a fait Trump depuis janvier 2025 serait méthodiquement défait. Et tout ce qu’il a supprimé serait fanatiquement refait.

Plus fort, plus gros, plus loin, plus extrême.

Nous ne sommes plus dans le principe de l’“alternance démocratique“… Un coup à gauche, un coup à droite, la balle au centre.

Mais bel et bien dans une lutte à mort entre deux visions du monde radicalement différentes.

Deux camps irréconciliables.

Cette problématique est pourtant ignorée. On continue de se focaliser sur Trump, perçu comme une aberration statistique. En clair, après lui, la situation redeviendrait “normale”. Rien n’est plus faux.

Répétez-le chaque matin devant votre glace si besoin est : 75 millions d’Américains ont voté il y a quelques mois à peine pour des gens, des idées, un système profondément malades, à leur image.

Ce fait, incontestable, provoque des sueurs froides.

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Résistance

Gilets jaunes 2.0 : qui manipule qui ?

Face aux manipulations, sortons la bonne vieille loupe.

Quand le Figaro publie 2 articles en moins de 15 jours au sujet du “10 septembre“… le radar à embrouilles doit clignoter comme un sapin de noël.

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/qui-sont-ces-gilets-jaunes-nouvelle-version-qui-appellent-a-un-arret-total-et-illimite-du-pays-a-la-rentree-20250731

Le JDD, RTL sont aussi sur le coup. Quant à Libération, forcément, il accuse… l’extrême-droite ! 😉

De quoi s’agit-il ? Des gilets jaunes 2.0.

Les réseaux sociaux relaient ainsi un mystérieux appel à “tout bloquer le 10 septembre“.

L’idée est : “ils ne sont rien sans nous“. Donc arrêtons de consommer, ne travaillons plus, restons chez nous, etc.

C’est la vieille idée de la désobéissance civile, repeinte avec une couche d’économie et d’Internet.

Sur le fond, ça sent le fameux “Comité invisible” (L’insurrection qui vient, 2007).

Le principe est parfaitement valide d’un point de vue technique. Bien davantage que des “manifs” qui sont facilement et violemment réprimées par le pouvoir (gilets jaunes 1.0, il suffit de lâcher les flics, casser des gueules, éborgner… ça marche très bien, les gueux retournent vite fait dans leur niche… comme des clébards).

Le point faible du système c’est évidemment le pognon.

Bref. Rien de neuf. Et surtout rien d’extravagant.

La seule vraie question est : pourquoi le Figaro, torchon des bobos culs serrés, parle de ce mouvement et lui fait de la publicité ?

S’agit-il d’un contrefeu ? Pour mobiliser les bourgeois-collabos ? Pour aider Bayrou à faire passer son budget ?

Ou au contraire pour justifier, excuser sa future démission devant les “blocages du pays”, voire la censure de son gouvernement ? Ou bien neutraliser les syndicats-caca ?

Il suffit de lire les commentaires sous l’article… Un festival de versaillais flippés qui dénoncent l'”extrême-gauche” et qui se moquent de ceux qui appellent à cesser le travail alors qu’ils ne travaillent pas eux-mêmes.

Un torrent de haine de la part de macronards collabos bien gluants.

“En ce 10 septembre, la France a peur”.

France Info, en mode “Radio Paris Ment Radio Paris est Allemand”, en remet une couche assez surréaliste… Et affirme : les “services de renseignement sont intrigués“… Bigre, on en tremble dans ses dessous en soie sauvage ! 😉

On le voit, il y a bien une campagne concertée dans les médias. Ce n’est pas normal, cela démontre le vice.

Le but de l’opération est-il de faire peur aux bobos afin de les mobiliser face aux “gens qui ne sont rien” ?

Ou alors de réactiver la division sociale pour mieux faire oublier… la division ethnique (le seul danger ontologique pour le pays, soigneusement dissimulé par le gouvernement) ?

POST-SCRIPTUM

Voici la ventilation (attention : nette) de la rapine étatique française (rapport Cour des comptes, page 56).

L’impôt sur le revenu assure donc 27 % des recettes fiscales nettes de l’état (nettes = après remboursements, déductions, etc.)

Mais seuls 19 millions de Français le paient.

10 % parmi eux, soit 1,9 million… assurent 75 % du total !

Si on grossit la loupe… 2 % (380 000) règlent  40 % de la facture totale (source).

Cette rapine est donc extrêmement concentrée. Voilà le point faible.

C’est l’occasion de rappeler que le SEUL véritable moyen pour blesser à mort l’état mafieux… est de convaincre ces 380 000 individus de s’expatrier.

La deuxième pince de cette offensive doit viser les Français qui n’ont pas des revenus importants, mais un patrimoine professionnel.

Le 10 septembre, la grève des gueux c’est bien. Mais pas suffisant. Atlas Shrugged… voilà l’arme fatale. Ce sont les riches et les entrepreneurs.

Demander aux pauvres, à la classe moyenne de suivre la grève de la consommation, alors qu’ils dépensent forcément tous leurs revenus en dépenses contraintes… ne permet pas vraiment de diminuer les recettes de la TVA.

Il faut donc jouer sur l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les sociétés.

Pour cela l’expatriation est le levier parfait car :

-perte sèche impôt sur le revenu

-perte sèche impôt sur les sociétés via la délocalisation/fermeture des entreprises (effets indirects également via hausse chômage)

Au total, ce sont peut-être 1 million de Français qui détiennent la clé du problème. Si une large fraction d’entre-eux quitte cet asile de fous, alors c’est échec et mat.

Cela vous paraît insensé ? Infaisable ? Pas du tout. Ce mouvement est réel, on le nie bien entendu, on le cache… Mais il va s’amplifier, c’est une certitude.

Pourquoi ? A cause de l’insécurité et de l’invasion migratoire.

Etre un esclave tondu par des mafieux déguisés en “fonctionnaires” c’est une chose. Nombreux peuvent le tolérer, hélas.

Mais être violé, poignardé, battu, blessé, assassiné dans un pays qui n’est plus le sien… Vivre dans la peur permanente pour soi et pour ses proches…

Voilà qui sera le dernier clou dans le cercueil… fiscal.

Qui c’est qui va gagner à la fin ? Mamie Ayn Rand, visionnaire et résistante… en même temps. Atlas Shrugged a 68 ans, et pourtant, quelle jeunesse, quelle prestance, quelle fougue !
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Pognon Saloperie et sida mental

Big Pharma : l’autodestruction en marche

Une explosion nucléaire ? Oui ça colle assez bien…

Big Pharma va crever par là où il a péché : l’argent.

Les gentils Français ne sont pas les seuls à subir de légers désagréments dans le domaine de la santé (hausse des dépenses, des cotisations, dettes, baisse de la qualité des soins, etc.)

Parlons des Etats-Unis, le pays de l’ultra turbo libéralisme qui mange les enfants et qui a eu le culot d’élire Trump.

C’est surtout le pays qui a perfectionné (avec un grand talent, il faut bien le reconnaître) le principe de la prédation, du vol en bande organisée.

L’Oncle Sam dépense ainsi 19,71 % de son PIB par an pour la santé !

La France qui se plaint sans arrêt et qui traîne de scandaleux déficits de la Sécu comme des casseroles ? 11,79 % (l’Allemagne est à 13,07 %, l’Espagne à 11,26 %) (2023, source)

A un tel niveau, ce n’est plus un choix de société mais bien une anomalie ahurissante qui démontre ce vol organisé.

Big Pharma a totalement corrompu les Etats-Unis (y compris le pouvoir législatif grâce à un lobbying qui dure depuis des décennies).

Et le pire, c’est que pour ce “prix” (cette rapine)… les Américains sont dans un état de santé dégradé (pathologies chroniques, obésité, etc.)

En clair : les Américains perdent DEUX FOIS.

Ce système est devenu littéralement fou

Les asssurances médicales subissent chaque année des coûts en hausse via :

  • hausse des prix de Big Pharma (et pas uniquement pour les nouvelles molécules)
  • mais aussi augmentation des dépenses liées au vieillissement de la population, à son augmentation… et à la dégradation de l’état de santé de cette même population.

Lire l’article de ZeroHedge sur la hausse des tarifs des assurances qui se prépare pour 2026… Ca va faire mal.

Les effets délétères de la campagne massive de “vaccination” durant la covidémence contribuent à cette hausse. L’alimentent, comme de l’essence sur un incendie, et au long cours. On a déjà des tendances pour les cancers par exemple, ou encore les fameux arrêts maladie (en France), ou encore la hausse des personnes sans emploi pour cause de maladie (au UK, aux Etats-Unis, elles sortent ainsi des statistiques du chômage), etc.

Que va-t-il se passer ? Plusieurs choses parfaitement prévisibles :

-Big Pharma continuera (c’est la logique du “toujours plus”, lorsqu’elle est systémique, on ne peut pas l’arrêter. Il n’y a pas un homme seul en haut de la pyramide qui décide. C’est le système qui est conçu de cette manière. Personne n’est responsable).

-les tentatives de l’administration Trump pour faire baisser les prix des médicaments échoueront car elles seront immédiatement compensées, détournées par Big Pharma (au mieux : effet marginal)

-les assurances seront obligées de suivre la hausse des dépenses et donc elles augmenteront leurs cotisations (et/ou réduiront leurs couvertures)

-de plus en plus d’Américains abandonneront toute assurance médicale (trop chère). En 2024, 8,2 % soit 27,2 millions de personnes n’avaient pas d’assurance (source CDC) ! Moins de soins, donc dégradation de l’état de santé, donc réduction de la population active, donc réduction de l’assiette pour les cotisations et au final hausse de la mortalité (pour certains)

-Big Pharma finira par imploser sous son propre poids… car le parasite ne peut pas consommer l’intégralité de son hôte.

Big Pharma n’est pas réformable. Il n’y a pas un seul patron, un seul conseil d’administration qu’il suffirait de virer pour remettre de l’ordre.

Pour revenir aux gentils Français, la problématique est identique. Nous partons simplement de plus bas.

Chez nous aussi les dépenses ne font qu’augmenter (hausse population avec l’invasion migratoire, vieillissement des générations nombreuses) et donc la rapine suit (taxes, cotisations, impôts, dettes), ce qui entraîne la dégradation des prises en charge, des soins, etc.

Regardez le bordel qui existe déjà avec les “déficits de la Sécu”, les déficits de l’état, le système hospitalier sous pression, le scandale des arrêts maladies, les délires de l’AME (soins “gratuits” pour les clandos), etc.

Il suffit de faire une simple extrapolation à cinq ans. A dix ans…

Il ne s’agit donc pas uniquement de Big Pharma (même s’il est devenu tentaculaire).

Les effets sont en réalité systémiques. Ils seront sentis partout ailleurs (fiscalité, politiques, etc.)

Non décidément, ce n’est pas de la Russie dont nous devons avoir peur : mais de nous-mêmes.

Nos sociétés occidentales sont à bout de souffle, épuisées. Et la rupture générale sera sans doute provoquée par… la santé.

On peut ainsi très précisément prédire votre avenir :

  • vous allez payer (davantage, donc vous appauvrir)
  • vous allez souffrir dans votre chair (hausse des pathologies, moins de soins, mauvais soins)
  • et à la fin vous crèverez dans l’indignité (c’est le petit vieux qu’on oublie sur un brancard dans un couloir d’hôpital et qui crève -seul- dans ses excréments)

Sympa, hein ?

Ne me remerciez pas. Le dimanche c’est gratuit. 😉

Pas besoin de faire un gros effort d’imagination. Voyez ce brancard dans un couloir ? C’est vous. Bientôt.