Un variant, un gouverneur neuneu, un mars et ça repart !
Ca repart même fort en Thaïlande.
Le gouverneur de la province de Buriram (nord est de Bangkok) a décidé… de tout refermer : les restaurants, les lieux de fête ainsi que les écoles !
La raison ? Le “surge” bien entendu ! La hausse terrifiante des cas…
Enfin totalement virtuelle car la majorité de covicas sont à Bangkok, la capitale. Le Buriram n’est même pas dans le Top 10 des provinces par nombre de covicas.
Alors pourquoi cette province une fois de plus casse les burnes de sa population (1,59 million) ?
La course à l’échalotte politique. Il faut signaler sa vertu, se faire bien voir des élites de Bangkok, se positionner en sauveur de la nation pour les prochaines élections…
Ce qui conduit à des décisions totalement absurdes et déconnectées du Réel.
Comme d’habitude, d’autres gouverneurs font se sentir obligés de suivre.
Ca n’a pas loupé puisque 24 heures après, celui de Khon Kaen (nord-est du pays) interdisait l’alcool dans les restaurants ainsi que les groupements et les obsèques avec plus de 50 personnes (source).
POST-SCRIPTUM
Tout doit être aussi replacé dans le contexte politique.
Le Buriram est le fief du parti Bhumjaithai, un gang (dirigé par Newin Chidchob) qui supporte le pouvoir en place (général Prayuth, premier ministre depuis son coup d’état de 2014), après avoir supporté… le diable Thaksin (les mecs sont girouettes en plus).
La majorité actuelle est fissurée… Des députés ont fait défection. Prayuth est en sursis (élections générales en 2023 voire avant en raison de motion de censure déposée par l’opposition). Son ministre de la Santé dirige le parti Bhumjaithai et il a récemment boycotté plusieurs réunions du cabinet (présidées par Prayuth).
Bref, le coup de la fermeture pourrait également être un moyen de mettre le général en difficulté, en le faisant apparaître comme faible dans la lutte contre le virus.
Enfin, pour savourer toute l’ironie de la situation… un haut responsable du ministère de la Santé affirme :
The Public Health Ministry is setting its sights on declaring the spread of the coronavirus disease as endemic within the next four months, said its top official.
Donc d’un côté on veut rabaisser le couillonavirus au rang de virus endémique d’ici 4 mois, en clair faudra faire et vivre avec, et de l’autre on referme les restos, on interdit la vente d’alcool, et on renvoie les mômes à la maison ?
Serrault et Tognazzi faisaient rire à l’époque en se moquant des autres et d’eux-mêmes. Aujourd’hui… on ne rit plus.
Pardon… toutes mes excuses… les “hommes efféminés” !
Autant pour moi.
Shanghai’s market regulator on Wednesday issued a new advertising guideline, prohibiting the portrayal of romance between male characters, effeminate men, and ideologies such as money worship in commercials, among others.
The Shanghai Municipal Administration for Market Regulation said the move aims to combat “unhealthy culture” and adhere to “correct” advertising guidelines, as authorities attempt to thwart what they see as a growing “feminization” of men. (source)
Ce genre de nouvelles n’est bien sûr pas relayé dans la presse occidentale qui fait les yeux doux à Pékin (ou celle qui est achetée ce qui revient au même).
Et pour cause, car cela fait mauvais… genre (sans mauvais jeu de mot, oh et puis si) 😉
La mécanique délétère est identique avec la question de l’Islam. Ce dernier a trèsenvie de balancer les homosexuels du haut des immeubles.
Mais comme l’Islam est réputé être dans le camp du bien, de l’antiracisme, de la bienveillance, de l’amour alors chez nos gogos-écolos-wokes cela provoque un court-circuit mental.
Le syllogisme type Shadock est peu ou prou le suivant :
l’Islam veut tuer les homos
les homos sont gentils
donc l’Islam est gentil
😉
La position de l’honnête homme du 21ème siècle devrait être claire : ce que font des adultes consentants entre eux, en privé… doit demeurer privé.
Mais sur la place publique, il n’y a aucune raison de vouloir revendiquer sa “fierté ” d’être gay ou d’être obèse ou de s’identifier à un grille-pain ou de faire chier la terre entière avec ses obsessions… voire ses problèmes psychologiques.
Non, il n’y a pas 78 genres différents. Non, un homme ne peut pas être enceint ni avoir de règles. Non, “changer” de sexe n’est pas normal, n’est pas sain, n’est pas cool. Non un enfant n’a pas “deux papas” ni “deux mamans”, etc.
C’est le point fort de l’Asie (sans même parler de l’Afrique) : le bon sens ainsi que la reconnaissance et la célébration des invariants humains, à la fois biologiques et civilisationnels.
L’Asie comprend que la culture occidentale est de plus en plus dégénérée et donc dangereuse.
L’Asie refuse -à raison- l’acide suicidaire promu chaque jour davantage en Occident.
Et dans un cadre géopolitique, cette opposition prend alors tout son sens.
A la fin qui va gagner ?
Qui ? Qui ? Mais qui ? 😉
Des non binaires californiens en jupe et équipés d’utérus artificiel et de serviettes hygiéniques (pardon de “coupes menstruelles“), avec une plume et une puce informatique dans le cul ?
Ou des hommes avec de la testo qui ont besoin -symboliquement ça suffit amplement- de casser des crânes, supportés par des femmes qui portent la vie ?
La formule semble raccourcie et volontairement provocante, mais pourtant historiquement elle tient la route.
Après tout, si certains pensent qu’ils sont un aspirateur ou un grille-pain (voir l’inénarrable barbu halluciné “nooooooon je ne suis pas un homme“)… pourquoi pas, si ça peut leur faire plaisir.
Mais pas question d’imposer cela à la société, en transformant des fantaisies en psychoses, et en détournant l’idée de liberté individuelle et le principe même de société.
Il est illégitime, aberrant même, de prétendre exiger que la société s’adapte à ces quelques individus, au prix de son autodestruction.
Et pas de malentendu ! Il ne s’agit absolument pas d’un débat du type “majorité/minorité”, au sens électoral du terme (le piège est grossier et tout l’Occident américanisé tombe dedans) !
C’est la Nature, c’est notre nature, celle de notre espèce.
POST-SCRIPTUM
Le sida mental commence par les mots. Ainsi l’article du Monde que j’ai cité au sujet des “coupes menstruelles” pose la question suivante : “Pour qui ? ”
Cette interrogation est totalement absurde. Le Monde explique :
Pour toute personne ayant des règles.
Hein ? Des “personnes” ? ! Ben non. Des femmes. Seules les femmes ont des menstruations.
Ca défrise les cinglés de ce torchon, les militants, les “associations”, les wokes et tous ceux qui pourrissent l’Occident ?
Il y aura des regrets quand ils seront sous la coupe de la sharia (ou du PCC)… Car ils seront… mangés. Tout cru.
Autre exemple, pris dans l’actualité récente : l’Université de Bristol (Angleterre) qui fait la promotion des “pronoms“… allant jusqu’aux “catgenders” !
Oui… il s’agit des personnes qui s’identifient… à des chats. 😉
Pour eux (elles ?), des pronoms spéciaux ont été créés : “nya/nyan.”
Il paraît que ça vient de “miaou” en japonais…
Vous riez bien sûr… Mais le mal est fait.
L’université en France, Angleterre, sans même parler des Etats-Unis est totalement gangrénée… Depuis des décennies. D’abord par le gauchisme en général… mais maintenant par le LGBT++, écriture inclusive, non binaire, metoo, indigénisme, islam, antiracisme, etc.
La continuité idéologique est… quasiment parfaite. Et le monde universitaire ensuite irrigue (c’est bien sa fonction) le reste de la société.
L’irrigation se transforme peu à peu en entreprise mortifère, en acide sucidaire.
POST-SCRIPTUM BIS
Quel rapport avec la choucroute couillonavirale ?
Le lien est évident. C’est bien parce que l’Occident est faible et tend vers le suicide civilisationnel… que la psyop chinoise autour du couillonavirus a pu si bien fonctionner.
Le terrain avait été préparé… et de longue date.
C’est pourquoi le Covid n’est qu’un symptôme (parmi d’autres et plus anciens). Absolument pas une cause (et au passage cela démonte l’arnaque du “monde d’avant /monde d’après“).
Non, avant janvier 2020 et le show de Wuhan, l’Occident n’allait pas bien.
Et si dans quelques mois la terrible pandémie disparaît dans une flatulence grotesque… rien ne sera réglé.
“Moi, je protège ma peau contre le Covid. Pschiit pschiit ! Parce que je le vaux bien et surtout parce que je suis complètement gourde”.
Scène vécue au StarBeurk du coin, quelque part à Bangkok.
7 heures du matin. Le calme avant la tempête de l’heure de pointe.
Une jeune cliente, au pantalon rose, réceptionne sur le comptoir sa boisson (sans doute un Macchia-toto bourré de sucre). Il s’agit d’un gobelet grand format classique, en plastique translucide.
Avant de le prendre, la femme sort un petit vaporisateur de sa poche et asperge consciencieusement tout l’extérieur du gobelet…
A un moment j’ai cru qu’elle allait désinfecter la paille, voir le café lui-même !
Son mec derrière, jeune également, porte 2 masques.
Bref, le couple de synthèse.
Synthétique même !
J’avais déjà vu des uberesclaves à moto asperger le sac contenant de la nourriture avant de vous le remettre en main… propre si j’ose dire. Mais il s’agissait d’une politique corporate woke… Du pur virtue signaling.
Cette petite historiette (sans oublier le grand classique des gens seuls dans leur voiture, dûment masqués, ou de ceux qui refusent de prendre l’ascenceur avec d’autres personnes…) révèle la force de la covidémence en Asie, surtout en milieu urbain.
Je l’ai souvent dit, cela va prendre du temps, beaucoup de temps, pour inverser la propagande gouvernementale et parvenir à dissiper la peur ancrée dans la population…
“J’ai commandé un café frappé avec 2 kilos de sucre et de l’eau de javel dedans… Je n’ai pas envie de mourir du Covid, moi ! Prout ! “
POST-SCRIPTUM
Ca y est, les autorités du pays nous font le coup du “surge”.
All provinces have been ordered by the top Interior Ministry official to step up measures to combat the Covid-19 spread in the wake of a continued surge of local cases around the country. (source Bangkok Post)
Le graphique (les vrais malades dont ceux en réanimation, de juin 2021 au 20/02/2022) est sans appel : “the surge” ! 😉