La Thaïlande covidesque, c’est officiellement ça :
Rien en 2020 et début 2021, pour un pays dont la population est égale à celle de la France et qui recevait 800 000 touristes chinois en janvier 2020, avec de nombreux vols directs en provenance de… Wuhan.
On pouffe.
Il ne s’est strictement rien passé en Chine en 2020, ni dans toute l’Asie du Sud-Est, contrairement à l’image renvoyée par le “Show de Wuhan”.
Bref.
Puis, la Thaïlande commence à vacciner en avril 2021… et pouf, les covicas et les covimorts arrivent.
La tuile. Un phénomène constaté dans de nombreux autres pays…
La souche Wuhan ne prenait pas. Mais Delta oui, il s’accroche mieux aux petits poumons des gentils asiatiques…
Admettons…
Mais sauf en Chine. Ah la Chine, toujours cette grosse écharde dans le pied des covidéments.
Personne ne décède du couillonavirus en Chine, alors que c’est la Chine qui a inventé le virus, pardon la terrible pandémie, en lui donnant “corps”.
L’indicateur des “cas” n’est pas pertinent en Asie du Sud-Est, car ils testent considérablement moins que les pays occidentaux… Ou alors… justement ils auraient raison ? 😉
J’ai donc suivi 2 indicateurs, plus précis, depuis juin 2021.
-les malades, les vrais (“serious conditions“), pas les bidonnés “asymptomatiques”.
-dont les malades sous “respirateurs” (équivalent réanimation chez nous, ICU en anglais).
On peake mi août… et puis c’est une longue et très lente descente qui est le parfait miroir des “cas”.
Au niveau des évolutions quotidiennes (mais moyenne mobile 7 jours) on note que la croissance s’affaiblit dès la mi-juillet… avant de devenir négative fin août.
Alors que penser de tout cela ?
Bof. Ces longues descentes me semblent trop “parfaites”.
Au final, le Royaume de Siam est loin, très loin derrière pour les covimorts : 308 par million d’habitants en cette fin 2021… Quand la France est à 1 873, l’Allemagne à 1 320, l’Italie à 2 264…
Bref, si on met de côté toute responsabilité des “vaccins”… la situation en Asie continue de ne pas faire sens… lorsqu’on la compare avec l’Europe et l’Amérique.
Les souches se succèdent… et l’Asie du Sud-Est demeure -relativement- protégée.
Font-ils les choses mieux que nous ? Tous ces gouvernements (Thaïlande, Malaisie, Vietnam, Philippines, Cambodge etc.) sont covidéments.
Soignent-ils mieux les malades graves ? Ou alors, est-ce parce qu’ils soignent les contaminés avec peu de symptômes (empêchant ainsi une éventuelle détérioration ?) C’est possible.
Le “restez chez vous prenez du paracétamol” n’existe pas en Thaïlande. Le pays au contraire s’obstine à hospitaliser des gens… positifs mais asymptomatiques. On les surveille en permanence (température, tension, niveau d’oxygène). Et on leur donne quelques médicaments (la molécule japonaise le Favipiravir).
Après les poupées russes, les poupées chinoises ? Un mensonge dans un mensonge, contenu dans un autre mensonge etc.
[Article écrit il y a plusieurs mois… mais oublié… la question d’une lectrice a réactivé mes neurones. Me permet de finir sur une très belle théorie conspirationniste, une vraie, pas les trucs de tafioles au sujet des dividendes de Big Pharma, ça c’est bon pour les collégiens avec ou sans boutons]
Nous savions déjà que le virus était présent en Italie dès septembre 2019 (lire article ici).
Nous avions également des données circonstantielles (la délégation françaises aux jeux olympiques militaires de Wuhan du 18 au 27 octobre… revenant tous malades).
Sans oublier le trafic routier inhabituel autour de l’hôpital de Wuhan, à partir d’août 2019 (lire ici) ou encore les recherches Google des habitants de Wuhan.
Mais il y a d’autres éléments de preuve, basés comme en Italie sur l’analyse de prélèvements sanguins ou les eaux usées.
Cette étude est particulièrement intéressante… car elle porte sur de nombreux prélèvements (7 000)… provenant de dons sanguins dans plusieurs états… très espacés les uns des autres.
13 au 16 décembre 2019 : 1 912 prélèvements, 39 positifs (soit 2 %) en Californie, Oregon, Washington.
30 décembre 2019 au 17 janvier 2020 : 5 477 prélèvements, 67 positifs (soit 1,2 %), dans le Massachusetts, Wisconsin, Iowa, Michigan, Connecticut ou Rhode Island.
Il est extrêmement improbable que les 39 personnes infectées ayant donné leur sang entre le 13 et 16 décembre 2019 en Californie (côte Ouest), Oregon et dans l’état de Washington (côte Est), étaient tous des voyageurs revenant de Wuhan, ou ayant eu des contacts les uns avec les autres.
Idem pour les 67 personnes début janvier…
Il y avait donc probablement plusieurs foyers de contamination locale, aux Etats-Unis, dès le début décembre 2019 (si on ajoute délai incubation)…
Une seconde étude aux Etats-Unis vient d’être publiée (source Wall Street Journal). Et elle montre que 2 individus étaient infectés dès le 7 et 8 janvier 2020 dans l’Illinois et le Massachusetts (prélèvements sanguins).
Pourquoi est-ce important ? Parce que cela détruit la gentille timeline officielle chinoise et mondiale autour du gentil pangolin qui aurait bouffé la méchante chauve-souris dans le fameux marché de Wuhan.
Et cela remet le projecteur sur l’hypothèse de la fuite du labo de Wuhan (accidentelle ou délibérée, voir ci-après) qui de théorie odieusement conspirationniste et d’extrême-drouâte en raison de Donald Trump… devient soudain mainstream, au point que même Facebook consent… à ne plus la censurer !
Et cela fait écho aux preuves circonstantielles apportées par les services de renseignement US en mai : les 3 scientifiques travaillant au labo de Wuhan qui tombèrent malades en novembre (source NBC).
Cela contredit une fois de plus les déclarations officielles chinoises (pour qui aucun personnel du labo de Wuhan n’est tombé malade durant l’automne 2019).
Enfin, on rappellera que :
-la Chine a refusé puis saboté toute enquête (sérieuse) de l’OMS à Wuhan portant sur l’origine du virus.
-la Chine s’amuse à détruire des enregistrements compromettants dans les bases de données génétiques (source DailyMail).
-et la Chine trafique le calendrier.
Pourquoi ?
La réponse est évidente : la Chine dissimule la vérité.
La Chine est coupable.
Et même doublement… Car enfin… ce virus, cette terrible pandémie est pathétique… Pourquoi la Chine… en a fait un show, une superproduction morbide et terrifiante fin janvier 2020 à Wuhan, donnant ainsi le top départ de la covidémence mondiale ?
On le voit donc, l’idée d’une fuite accidentelle à Wuhan qui aurait été -comme d’habitude- étouffée “jusqu’à ce que ce ne soit plus possible”… est peut être elle-même bidonnée.
Un mensonge dans le mensonge.
Allons plus loin : ce scénario a l’avantage de coller parfaitement aux représentations que l’Occident se fait de la Chine et du PCC.
Un classique dans les régimes communistes : on fait une connerie puis on nie le Réel (Chernobyl etc.). En Chine, la crise du SARS en 2003 commença de la même manière ; Pékin nia.
Vingt ans après, la Chine se montrerait donc toujours “fidèle à elle-même“… Un peu trop ?
En mentant de manière si obscène et si évidente (pas d’enquête à Wuhan, calendrier absurde, explication loufoque du pangolin)… la Chine au fond se protège…
Car cela valide, donne corps à l’hypothèse de la fuite accidentelle dans le labo…
Sauf qu’il y a un élément qui cloche : il est difficile de croire qu’entre mettons fin août et début septembre 2019 (date présumée de la fuite) et le 20 janvier 2020 (date du début du show à Wuhan)… les autorités chinoises aient pu monter un plan aussi vaste, sophistiqué pour affaiblir l’Occident, tuer la réélection de Trump qui était quasi assurée en janvier 2020 etc.).
Je synthétise : le scénario de la fuite accidentelle qui aurait été un temps “dissimulée”, arrange et protège Pékin.
Plus fort encore, en ajoutant dans le tableau une co-responsabilité américaine (les financements d’expérience de gain de fonctions, la bande à Fauci), la Chine renforce ainsi le scénario…
Sans oublier la parfaite “plausible deniabiliy” : qui serait assez fou pour disséminer une arme biologique… d’abord chez lui ?
Je suis d’accord, c’est pour le coup une véritable théorie conspirationniste. 😉
Mais ce serait bougrement brillant et malin, parfaitement en phase avec les enseignements de Sun Tzu.
Comment dissimuler une attaque ?
En parvenant à faire croire -en le niant ! – à… un accident.
C’est fait. A Xi’an, ville chinoise de 13 millions d’habitants… confinée pour quelques dizaines de “cas” (plus un peu de fièvre hémorragique, ça ne mange pas de pain, si, si, là encore les détails donnés obligeamment par un média officiel… en anglais)…
Les photos s’étalent avec complaisance dans la presse occidentale.
China DISINFECTS Xian city and brings in ‘strictest level’ Covid restrictions, JAILING anyone seen driving a car for ten days as surge continues despite draconian lockdown of 13 million residents (source DailyMail)
Depuis le show inaugural de Wuhan en janvier 2020, les méthodes de la propagande chinoise n’ont pas changé.
Les autorités s’amusent à désinfecter la ville. L’air. Les trottoirs, les arbres…
Tout et rien, mais surtout rien. Et de préférence la nuit, avec un éclairage aux petits oignons, afin de rehausser l’angoisse… La peur.
“Roger, ici ! Là ! Hein ? Le virus est planqué ici ! Balance le zyklon B et l’eau de Cologne ! Et rajoute donc un peu de gaz moutarde, des fois qu’on viendrait à manquer.”Superbe composition graphique… Le monument, l’éclairage, le camion, le produit désinfectant. C’est beau une ville la nuit. Et surtout ça fait peur.“Vazy Albert ! Vise bien en l’air ! Là le virus, bordel il est partout, c’est horrible”
Vous trouverez ici un florilège du même délire… La palme revenant à une équipe qui désinfecte le gazon d’une école… après les grandes vacances d’été…
Là encore images gracieusement offertes par un média chinois… anglophone. Pour le cheptel occidental, c’est plus simple. 😉
Août 2021… Le campus d’une école… après les longues vacances d’été… Il faut bien frotter le gazon, on ne sait jamais, le Covid pourrait s’accrocher aux brins d’herbe.
Bref, le gag est total. Mais plus c’est gros plus ça glisse…
Les neuneus occidentaux regardent ces scènes avec effroi, avec toujours la même inférence aussi toxique que grotesque : “Si les Chinois font cela, c’est que la situation est gravissime“.
Pékin joue dessus depuis 2 ans ! C’est du Sun Tzu 2.0 sous stéroïdes.
Un pays ultra centralisé, avec tout en haut de la pyramide, l’empereur Xi Jinping.
D’un claquement de doigt il pourrait faire cesser ce cirque absurde, et envoyer les responsables (des fonctionnaires et apparatchiks locaux bas de plafond) au goulag pour 75 ans.
Pas du tout.
Sa majesté et ses complices du PCC laissent faire. Encouragent même…
Ils savent que cela sert leurs intérêts… à l’intérieur mais surtout à l’extérieur de leurs frontières.
La pysop chinoise se poursuit, plus que jamais.
Le PCC engrange gain sur gain, sur tous les fronts… Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?
Le couillonavirus est géopolitique, uniquement.
Et c’est précisément pour cela que la “crise” va continuer.
Après tout, le suicide de l’Occident n’est pas encore complètement consommé.