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Asie Pays Saloperie et sida mental

La Chine refuse de coopérer avec l'”irrespectueuse” OMS

La Chine continue ouvertemement de se foutre de la gueule du monde entier, 17 mois après…

Beijing refuses to cooperate with ‘disrespectful’ WHO plan to audit Chinese labs in Covid origins probe and accuses health agency of showing ‘arrogance towards science’ (source DailyMail)

Les neuneus de l’OMS voulaient mener une “seconde enquête” (la 1ère en janvier ayant été grotesque) au sujet de la fameuse origine du couillonavirus, fantasmatique recherche du Graal viral.

En clair : la fuite (intentionnelle ou accidentelle) au labo de Wuhan, le crime suprême de lèse-Covid.

La Chine de Xi Jinping ne supporte pas cela.

Ses dénégations répétées, au-delà des histoires de fierté nationale, participent et renforcent la suspicion.

La Chine ment depuis 2020, sur tous les sujets, ce qui prouve sa responsabilité, voire sa culpabilité.

MISE-A-JOUR

La Chine a une nouvelle fois rejeté les demandes de l’OMS.

La Chine a rejeté vendredi 13 août l’appel de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à une nouvelle enquête sur son territoire pour rechercher les origines du Covid-19, exhortant à une approche «scientifique» et non «politique». (source Le Figaro)

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Asie Vaccinocircus

Vaccin chinois : perte d’efficacité en 6 mois

Pas de bol pour les nombreux pays qui utilisent le vaccin chinois Sinovac (à virus atténué, précisons pour les retardataires)…

Comme ses petits camarades à ARNm… c’est une grosse bouse au bout de 6 mois.

Antibodies triggered by Sinovac Biotech’s COVID-19 vaccine declined below a key threshold from around six months after a second dose for most recipients, but a third shot had a strong booster effect, a lab study showed. Among participants who received two doses, two or four weeks apart, only 16.9% and 35.2% respectively still had neutralising antibodies above a threshold set by researchers, below which the antibody level is considered low or undetectable, six months after the second shot, the paper said. (source Reuters)

L’étude est .

C’est légèrement embêtant quand on sait que un milliard de doses de ce produit ont été injectées. 😉

Eh oui. Chine bien sûr, mais aussi Amérique latine et dans de nombreux pays d’Asie du sud-est.

Quel dommage.

Bon alors on fait quoi ?

Une troisième dose pardi !

Et puis après… on avisera.

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Asie Pays

Terrible épidémie à Pékin : 3 cas

Mercredi 4 août, les autorités chinoises ont annoncé :

La capitale chinoise Beijing a signalé trois cas confirmés de COVID-19 transmis localement au cours des 12 premières heures de mercredi, ont annoncé mercredi les autorités sanitaires locales.

 

Les trois nouveaux cas sont des contacts proches d’un cas confirmé signalé la semaine dernière. Deux d’entre eux sont des membres de la famille du patient et un autre avait pris le même vol que lui, a indiqué Pang Xinghuo, directrice adjointe du Centre de prévention et de contrôle des maladies de Beijing.

 

Beijing a classé deux quartiers résidentiels comme zones à moyen risque de COVID-19, tandis que le reste de la ville est toujours à faible risque. (source Xinhua)

Pékin c’est une mégalopole de 21 millions d’habitants.

Une semaine auparavant, il s’agissait de… 2 nouveaux cas (lire ici) 😉

Pourquoi j’en parle ? Parce que tout ce qui vient de Chine depuis janvier 2020, sent… le spectacle. Le foutage de gueule.

En ce moment, l’épidémie flambe dans toute l’Asie du Sud-Est (du Vietnam au nord, jusqu’à l’Indonésie au sud)… Il y a de vrais cas, alors que durant toute l’année 2020 il ne se passait… rien.

Le Vietnam partage une frontière terrestre avec la Chine longue de… 1 300 km. On pouffe.

Le fameux variant indien est annoncé comme étant X fois plus contagieux que les souches précédentes ?

Et on voudrait nous faire croire que 3 cas, pouf, apparaissent à Pékin ? Vite identifiés, vite foutus en taule, et rien de plus ?

La plupart des gens n’ont toujours pas compris l’arnaque de janvier 2020 organisée par le gouvernement chinois.

Un confinement dur -réel- mais uniquement sur une ville, et par endroits dans une province. Quelques dizaines de millions de mecs concernés dans un pays qui compte 1,3 milliard d’habitants…

En janvier, des millions d’habitants de Wuhan ont fui avant la fermeture de la ville…

La pseudo pandémie était censé mettre à genoux Wuhan… mais rien à Shanghai ou Pékin ? Et des centaines d’autres grands centres urbains ?

Un an et demi après… l’impression de déjà-vu. La Chine se moque de nous.

L’idée que le “système chinois” serait si parfait que… magie… le virus ne parviendrait JAMAIS à se répandre.

Mais il serait toujours là, grâce à des piqûres de rappel, soigneusement mises en scène par la Chine… mais jamais ne morderait les jarrets du régime.

C’est une fiction. Une psyop.

Les rappels ont autant d’utilité en interne (pour virer quelques fonctionnaires et entretenir la peur dans les rangs du PCC) qu’à l’extérieur de la Chine.

En effet, dans la narration, si le zéro cas demeure un objectif covidémentiel -la carotte pour faire courir les ânes occidentaux- le fait de l’atteindre serait suspect.

Alors 1, 2 ou 3 cas de temps en temps… Quelques dizaines à l’échelle du pays… Des “clusters” ici ou là (en ce moment, c’est la ville de Nankin à l’est qui se retrouve mise au ban).

D’autres pays ont appliqué le même système… et n’ont pas les mêmes résultats. Le virus parvient toujours à se frayer un chemin. Les confinements, les systèmes de “traçage” électroniques, l’hubris technophile n’agissent qu’à la marge, et surtout ne servent que d’accessoires pour cette pièce de théâtre.