Categories
Asie Mutants Saloperie et sida mental

Le variant indien flambe en Chine : 5 cas

Proverbe chinois : “Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt.”

Tiens… Ca faisait longtemps que la Chine ne s’était pas foutue de notre gueule.

Vous savez tous que le variant indien est trop-horrible-méchant et qu’il est en train d’infecter et de génocider une bonne partie de la population mondiale. Si, si. Vous l’avez vu à la télé.

Sachez que cela se produit également en Chine, le pays le plus peuplé de la planète !

La métropole a déjà testé deux fois ses plus de 9,2 millions d’habitants et a engagé une troisième campagne de dépistage mercredi, a annoncé la mairie. La vaste et très peuplée province du Sichuan a fait état de trois cas jeudi tandis que Pékin a annoncé deux cas, les premiers depuis six mois dans la capitale.(source Le Figaro)

3 + 2 ça fait bien 5 non ?

Comme en 2020… Plus c’est gros ailleurs, plus c’est petit en Chine. 😉

Ils ont des mégalopoles de folie, des masses humaines invraisemblables… Mais chez le eux le couillonavirus, version indienne, version Wuhan, sud-africaine, anglaise, bretonne, alsacienne et sénégalaise… ça ne prend jamais.

Ils sont vraiment forts.

2 cas dans la capitale, les premiers depuis 6 mois !

Rappel : Pékin c’est 21 millions d’habitants.

C’est bon de rire.

Jaune.

POST-SCRIPTUM

Le même jour on nous dit que la Birmanie est sur le point de s’effondrer.

Le Royaume-Uni a averti jeudi le Conseil de sécurité de l’ONU que la moitié de la population birmane, soit environ 27 millions de personnes, pourrait être infectée par le Covid-19 dans les deux prochaines semaines. Le pays avait appelé à une réunion en réponse à ce qu’il a qualifié de situation «désespérée» en Birmanie, où l’armée a mené un coup d’État en février. (source Le Figaro)

Oh la la. Horrible, comme en Thaïlande d’ailleurs (l’épidémie flambe dans toute l’Asie du sud-est).

Sauf que la Birmanie et la Chine partagent une frontière terrestre… longue de 2 200 km.

Oh zut.

Le virus décidément est bien dressé.

Categories
Asie Vaccinocircus

Thaïlande : attaque contre le vaccin Sinovac

Un événement surprenant en Thaïlande. Une université vient de publier une étude qui montre que l’efficacité du vaccin chinois Sinovac… est non seulement faible, mais qu’en plus en terme de durée, elle diminuerait rapidement.

Mr Anan wrote on Facebook that their study of 500 people, who received two doses of Sinovac, indicated that the level of antibodies drops by 50% every 40 days. The level of antibodies in people who received a second jab more than 60 days after the first was on average lower than that of those who got the second dose in less than 60 days, he said. (source Bangkok Post)

Et cela porte sur le virus original… Pas sur le variant anglais ni indien.

Voilà qui ne va pas rehausser l’image des produits chinois.

Rappelons que la Thaïlande a importé des millions de doses du Sinovac, car son usine locale (propriété du monarque) produisant le produit d’AstraZeneca n’est pas capabable de respecter les délais de livraison…

A ce jour, 8,8 millions de doses au total ont été injectées (population totale de 69 millions).

Le gouvernement thaï (des militaires) entretient des bonnes relations avec la Chine (ils achètent des armes). Devant l’échec de l’usine AstraZeneca, Pékin a sauvé la mise de Bangkok en fournissant rapidement des millions de doses…

Bangkok avait tout misé sur AstraZeneca… et donc n’avait négocié aucun contrat avec Pfizer ou Moderna.

Donc à ce jour il n’y a que 3 produits disponibles en Thaïlande (le troisième étant le chinois Sinopharm).

Categories
Asie Médicament

Indonésie : fabrication locale d’ivermectine

Une bonne nouvelle : l’entreprise pharmaceutique publique PT Indofarma en Indonésie va démarrer la production locale d’ivermectine. L’objectif est de fabriquer 13,8 millions de doses d’ici août (source Tempo Co).

La Food and Drugs Monitoring Agency semble avoir autorisé le 20 juin la mise sur le marché de la molécule. Mais comme partout ailleurs, il y a des différences d’interprétation voire des conflits entre les différents services et agences publiques…

Les uns poussant pour l’utilisation de l’ivermectine face au Covid, les autres freinant des quatre fers, et s’appuyant systématiquement sur le silence de l’OMS (qui n’a toujours pas pris position).

Huit hôpitaux vont entamer des tests cliniques (source Xinhua).

Et un soutien de poids est venu du chef du cabinet du président qui a déclaré :

“Looking at the data we have available, we are quite optimistic that ivermectin can be an effective drug solution to cure Covid patients,” Moeldoko said, claiming it had been effectively used in 15 other countries to treat the virus.

Les pays émergents ont ce point commun : nécessité fait loi (ce qui favorise l’application de recettes hors circuits officiels). Mais on note également une dépendance, une soumission même face face aux institutions internationales (example au Bangladesh).

Pour en revenir à l’OMS, elle vient de recommander l’utilisation du tocilizumab, un anticorps anti-inflammatoire commercial (coûteux), suite à une étude démontrant une baisse (modeste) de la mortalité couillonavirale (source Le Parisien) (d’autres études avant niaient cette efficacité).

Alors que le bénéfice de l’ivermectine est bien supérieur, et est démontré dans des dizaines d’études et surtout sur le terrain dans de nombreux pays.

Toujours le deux poids, deux mesures.

Pour suivre l’actualité de cette molécule miracle, je vous recommande le fil Twitter du site Ivermectine-covid.ch (temporairement désactivé).