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Chiffres Pays

Angleterre : 388 personnes saines de moins de 60 ans sont covidécédées en 2020

Alors que le terrible mutant B117 ravage le Royaume-Uni (lire mon article exclusif), que le pays tout entier est confiné, que Boris a les chicots qui claquent et que l’on murmure que dans certains quartiers de Londres il y a tellement de cas positifs qu’ils ont sans doute déjà atteint l’immunité collective… il est bon de temps en temps de rappeler des ordres de grandeurs.

On parle souvent des covidécès avec leurs comorbidités, pour bien montrer que la majorité d’entre-eux sont des vieillards multi pathologisés en fin de vie.

Mais à l’inverse, combien de gens jeunes et en parfaite santé passent à la moulinette couillonivirale ?

Ou si vous préférez à la moulinette pas de bol (eh oui certains gagnent au loto, d’autres, et ils sont beaucoup plus nombreux, gagnent un cancer, la vie est comme une boîte de chocolats comme disait l’autre…).

En clair, quel est le vrai risque covidien, covidique, covidesque (?) pour le citoyen lambda, sain de corps et d’esprit, bien dans sa peau et ses baskets, qui paye ses impôts, qui pratique une sexualité bêtement hétérosexuelle, et qui ne fait pas encore caca dans sa couche en raison du grand âge ?

Combien ? How many ? Wie viele ?

Just 388 people aged under 60 with no underlying health conditions have died of Covid-19 in England’s hospitals since the start of the pandemic, NHS data has showed.

The figures show that 1,979 previously healthy people died in hospitals in England after testing positive for Covid-19 between April 2 and December 23.

Just 338 of these people were aged 40 to 59, with another 44 aged between 20 and 39, and just six under the age of 19, according to the data. (source DailyMail)

Voilà. Vous pouvez vous la rouler et vous la mettre derrière l’oreille pour le breakfast.

Etonnant, non ?

On le voit donc, la terrible pandémie a frappé durement la Perfide Albion…

Rappel : la population en Angleterre s’élève 55,98 millions…

(j’ai la flemme de trouver les chiffres pour les moins de 60 ans, vous me pardonnerez 😉 )

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Chiffres Résistance

Nombre de patients en réanimation : encore un mensonge des autorités

Les mensonges sont partout et affectent tous les indicateurs utilisés par les covidéments pour justifier leur dictature.

Ainsi, on nous bourre le mou matin, midi et soir au sujet des lits en réanimation occupés par les malades couillonavirés.

Avec les tests PCR foireux (épidémie de cas positifs, mais asymptomatiques), le nombre de covimorts (systématiquement surévalué)… le pourcentage d’occupation de ces fameux lits est l’indicateur “marteau” qui sert à justifier les confinements, et à nous terroriser.

Sauf que… même ici, le bidonnage est institutionnel, littéralement organisé, sous couvert de flou statistique, et autres “erreurs”.

Article du Canard Enchaîné du 23 décembre.

Voici le texte, car c’est une information essentielle qui démonte à coup de cric le mille-feuillle de mensonges du gouvernement… qui vont tous dans un seul sens, systématiquement :

-grossir la menace posée par le couillonavirus

-faire peur aux populations,

-imposer des restrictions absolument délirantes.

A lire et à faire tourner.

La pagaille des indicateurs gagne également les hôpitaux : alors que le nombre de patients en réanimation est surveillé comme le lait sur le feu, le chiffre communiqué chaque jour se révèle exact… à quelques dizaines ou centaines près !

 

La raison ? Les hostos n’arrivent pas toujours à renseigner les sorties en temps réel.

 

Du coup, les autorités sanitaires ont inventé le terme pittoresque de « lits fantômes » pour désigner les lits dont on ne sait pas s’ils sont toujours occupés par des patients Covid ou s’ils sont libres depuis des jours, voire des semaines.

 

Des fantômes très hospitaliers

Début décembre, l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France classait « fantômes » tous les « patients restés plus de 40 jours consécutifs en soins critiques », car cette durée très longue lui apparaissait suspecte.

 

A cette aune-là, l’ARS recensait, le 7 décembre, pas moins de 105 lits fantômes, sur un total de 620 places réservées au Covid. Une paille !

 

Quelques jours plus tard, miracle ! le chiffre était divisé par deux, et passait à « 49 lits fantômes ». Une performance obtenue non par des contrôles sévères, mais grâce à une petite manipulation comptable : depuis le 11 décembre, la barre a été remontée de 40 à 50 jours…

 

Par pure curiosité, « Le Canard » a demandé à d’autres ARS si elles étaient confrontées, elles aussi, au problème des « patients Belphégor ».

 

Réponse décoiffante de l’agence d’Auvergne-Rhône-Alpes (la région la plus touchée par la seconde vague) : « Nous ne souhaitons pas donner suite à votre demande. »

Une surestimation de 17 % ! Rien que sur l’Ile de France…

Vous imaginez si on a la même manipulation au niveau national ?

POST-SCRIPTUM

La photo de l’article en entier est disponible ici (avec la loupe, possible de tout lire).
L’article traite également de l’arnaque des tests antigéniques, dits “rapides”, qui là encore fabriquent des faux positifs à la chaîne (l’un de ces tests, chinois, a même été retiré du marché tellement il était foireux).

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Chiffres

Décès toutes causes confondues : mise à jour Insee sur novembre

L’Insee a mis à jour ses séries de décès toutes causes confondues, avec les données du mois de novembre.

(on rappelle qu’à chaque mise à jour mensuelle, des révisions sont faites sur les mois précédents mais de faible amplitude).

L’écart continue de se creuser avec 2019.

Il y a une hausse de 8,2 % des décès toutes causes confondues, de janvier à novembre, comparé à la même période en 2019.

Cela représente 46 015 décès en plus.

Le précédent “record” était une hausse de 6,1 % en 2015 (par rapport à 2014) (l’épidémie de grippe avait été forte).

Dans le même temps, il y avait officiellement fin novembre 52 819 covidécès.

J’avais prévu que la surmortalité enregistrée au printemps serait “lissée” jusqu’à la fin de l’année, peu à peu. J’avais tord. Le rebond couillonaviral de l’automne s’est imposé.

Il est encore trop tôt pour creuser les données. Ainsi, il serait absurde d’attribuer au seul Covid ces 46 015 décès supplémentaires.

Enfin il faudra bien un jour étudier les effets de bord et long terme, de toutes les politiques anticouillonavirales, à commencer par le confinement.

Quid des pathologies lourdes, cancers, AVC etc. La mobilisation anti-Covid dans les hôpitaux, la peur des gens, l’hystérie anti-Covid partout… concrètement quels ont été les effets sur les patients affectés de pathologies lourdes (diagnostic, traitement, prise en charge en urgence etc.) ?

Autre source de fâcherie : la politique officielle consistant à… ne pas traiter, à ne surtout pas chercher de traitement, et même à lutter contre toute idée de traitement.

Sur le terrain, des médecins se battent, expérimentent, tentent (HCQ, antibiotiques, etc.) mais rappelons-le contre les dikats des autorités.

Ces dernières continuant de tout faire pour imposer une analyse binaire (fausse) de la situation : vaccin / rien d’autre.

Là encore, il faudra séparer le bon grain de l’ivraie… Combien de personnes fragiles, infectées par le Covid, auraient pu être sauvées ? Par des traitements précoces comme HCQ ou l’ivermectine ?

Enfin, jauger les nombres, les mettre en perspective. Fallait-il détruire le pays face à ce virus ?

En admettant que toute la surmortalité en 2020 soit causée par le Covid… est-ce une menace existentielle pour la société, le pays, le monde ?

Aujourd’hui, tout le débat public est focalisé sur un sujet unique : les vaccins.

Tous les autres sujets ont été escamotés.