Dans le même temps, il y avait officiellement fin novembre 52 819 covidécès.
J’avais prévu que la surmortalité enregistrée au printemps serait “lissée” jusqu’à la fin de l’année, peu à peu. J’avais tord. Le rebond couillonaviral de l’automne s’est imposé.
Il est encore trop tôt pour creuser les données. Ainsi, il serait absurde d’attribuer au seul Covid ces 46 015 décès supplémentaires.
Enfin il faudra bien un jour étudier les effets de bord et long terme, de toutes les politiques anticouillonavirales, à commencer par le confinement.
Quid des pathologies lourdes, cancers, AVC etc. La mobilisation anti-Covid dans les hôpitaux, la peur des gens, l’hystérie anti-Covid partout… concrètement quels ont été les effets sur les patients affectés de pathologies lourdes (diagnostic, traitement, prise en charge en urgence etc.) ?
Autre source de fâcherie : la politique officielle consistant à… ne pas traiter, à ne surtout pas chercher de traitement, et même à lutter contre toute idée de traitement.
Sur le terrain, des médecins se battent, expérimentent, tentent (HCQ, antibiotiques, etc.) mais rappelons-le contre les dikats des autorités.
Ces dernières continuant de tout faire pour imposer une analyse binaire (fausse) de la situation : vaccin / rien d’autre.
Là encore, il faudra séparer le bon grain de l’ivraie… Combien de personnes fragiles, infectées par le Covid, auraient pu être sauvées ? Par des traitements précoces comme HCQ ou l’ivermectine ?
Enfin, jauger les nombres, les mettre en perspective. Fallait-il détruire le pays face à ce virus ?
En admettant que toute la surmortalité en 2020 soit causée par le Covid… est-ce une menace existentielle pour la société, le pays, le monde ?
Aujourd’hui, tout le débat public est focalisé sur un sujet unique : les vaccins.
Fonctionnaire britannique en pleine séance de brain storming pour créer des chiffres covidocompatibles.
C’est un sport national outre-Manche. Les autorités bidonnent… puis “révisent ” les chiffres quelques semaines ou mois après, voire corrigent des “erreurs” (lire ici et là).
Cette méthode est employée avec une constance et un sens du foutage de gueule digne des plus grands crevards anglais : flegme et doigt dans le derrière (pardon my french).
Pour justifier le confinement version 2, Londres a bidonné les chiffres des infections (taux d’incidence) en octobre.
Et on ne parle pas d’une petite marge… non… un bidonnage de moitié ! Pépère.
On October 30, the ONS estimated that 9.52 people per 10,000 in England were catching the virus every day by October 17. In its most recent report on December 4, the body halved its estimate to 4.89 (source DailyMail)
Rappel : ces tripatouillages ont lieu virtuellement partout en Occident.
Covicas, covidécès… tous les chiffres sont tordus, biaisés, etc.
Et ce en permanence afin de justifier toute la covidémence et toutes les mesures prises par les gouvernements.
On a encore eu un exemple en France, avec le nouveau nombre magique balancé par l’adolescent perturbé de l’Elysée.
5 000.
Tu sens comme c’est magique ?
J’ai demandé à un mage malien à la porte de Montreuil. Il était formel : 5 000 c’est très, très magique.
Mamadou le marabout malien est formel : tout est magique. Surtout 5000.
Donc si on passe à moins de 5 000 “infections” par jour (ah ah ah ah, autant de tests PCR foireux), alors nous serons libérés.
Mais si on est toujours au-dessus de 5 000, le nombre magique, alors désolé, confinement, et tout le tralala.
Bidonnage outrancier, propagande utilisant la religion du chiffre, fausses déclarations… Le gouvernement français poursuit avec une obstination démentielle la destruction du pays, la pysop mondiale, la manipulation couillonavirale.
Nous sommes déjà fin 2020…
Et plus ça dure, plus le crime se révèle, odieux, évident.
Personne ne peut contester cet Acid Test.
Avec le temps, la covidémence du début, mélange de bêtise et d’erreurs humaines… se mute en terrorisme.
Je l’ai souvent répété : le juge de paix ce sont les décès toutes causes confondues.
Car ils ne peuvent pas être bidonnés, tordus, biaisés.
Le raisonnement est le suivant : une terrible pandémie, pour être terrible et pour être pandémique, doit nécessairement tuer des gens qui n’auraient pas dû mourir. CQFD.
Cela semble raisonnable. Ou alors on parle d’autre chose, d’un virus quelconque, mais pas d’une terrible pandémie.
On doit donc mécaniquement constater une hausse du total des décès durant l’année, par rapport à l’année précédente (ou à la moyenne des années précédentes).
En clair : on doit voir une anomalie statistique par rapport aux années sans la terrible pandémie.
L’Insee vient de mettre à jour ses données avec les décès du mois d’octobre pour la France (source ici).
Voici le tableau par mois et la comparaison avec 2019 (en valeur absolue et en pourcentage).
Plusieurs constats :
-oui il y a bien une hausse, une surmortalité par rapport à l’année précédente (+6,2 % = + 31 520 morts).
-non une telle hausse n’est pas un ahurissant événement démographique jamais vu au cours de l’histoire de l’humaaaaaaaaanité démontrant ainsi la violence de la terrible pandémie.
Pour comparaison (série Insee France métropolitaine depuis 1946), voici les plus fortes hausses annuelles (supérieures à +4 %, par rapport à l’année précédente) depuis 1946.
On le voit, même récemment… la bonne vieille grippe… a fait des dégâts en 2015 (+6,36 % de décès par rapport à 2014) !
-la hausse en 2020 a été alimentée pour un quart… par l’absence d’épidémie de grippe en janvier et février (la comparaison avec janvier et février 2019 ne souffre aucune contestation). Je reformule : tous les pseudos morts du Covid en mars… ont pu être qualifiés de covidécès car la grippe a oublié de les tuer en janvier et février !
-au 1e novembre 2020, le bilan officiel des “covidécès” (hôpitaux plus les mouroirs, pardon les Ehpad) est 38 289 + 12 079 = 50 368 morts.
Ce total est donc trompeur (pour rester poli), car en contradiction avec le nombre total de “surmorts” de 31 520.
Ce n’est un secret pour personne (à part les cinglés pervers du gouvernement), on estampille “covimort” tout et n’importe quoi. La plupart sont des vieux déjà malades (avec 1 ou plusieurs comorbiditiés). Le Covid a tué aussi des gens qui étaient en quelque sorte DEJA MORTS, qui seraient morts de toute façon dans l’année (de leurs problèmes cardiaques, de leur hypertension, ou de vieillesse tout simplement).
-alors vous allez me dire : comment peut-on attribuer les + 31 520 uniquement au couillonavirus ? On ne peut pas en effet. Il faudra du temps pour creuser les données (et évaluer les dommages collatéraux provoqués par les confinements par exemple etc.)
Mais encore une fois, on peut tirer des conclusions si on suppose que les 31 520 “surmorts” ont été causés uniquement par le Covid. Ca nous donne une limite “haute”.
D’abord, cela nous permet d’évaluer, jauger la réalité de la menace.
Ce +31 520 croisé avec les données âge et comorbidités (vérifiées dans tous les pays)… permet de comprendre que le couillonavirus est une grippe sévère montée en épingle, ce que nous appelons la covidémence donc.
Ensuite, mettre en regard (de la menace)… les destructions insensées, les coûts gigantesques provoqués par la covidémence dans les pays comme la France… Confinements etc.
La question dès lors est évidente : tout ça pour ça ?
Balance coûts/bénéfices.
Enfin, l’autre avantage, très important, de cet indicateur… est la comparaison avec les autres pays.
Car autant les bilans de “covidécès” changent d’un pays à un autre, les méthodes de calcul changent, toutes les manips sont possibles, autant là on ne peut pas bidonner.
Un mort est un mort qu’il soit grec, italien ou français.
L’année prochaine quand on aura les données 2020 de chaque pays, on va bien s’amuser… !
Je rappelle que de janvier à août un pays nous enfonce totalement : l’Allemagne.
Quand nous étions déjà à +6 % de surmortalité à fin août par rapport à l’année précédente… ils étaient… à +1 %… (lire mon article ici).
Alors que ces 2 pays sont “mitoyens”, se ressemblent etc.
En clair, il faudra rappeler ces faits (indéniables), chercher les causes (car il y a forcément des causes) et enfin déterminer les responsabilités (les covidéments vont devoir payer, d’une manière ou d’une autre).
Je rappelle l’épure : il y a 2 scandales en France :
-on monte en épingle une grippe sévère (la covidémence)
-dont on a artificiellement accentué la sévérité en salopant et en continuant de saloper la prise en charge et le traitement des malades, par idéologie covidémente (“restez chez vous avec du doliprane, il n’y a aucun traitement seuls les vaccins nous sauveront “).
Et pour illustrer ce scandale, j’ai mis à jour le graphique que vous connaissez déjà : le comparatif “tarte dans ta gueule” France/Allemagne. Ca fait mal…
Nombre de covimorts par jour par million d’habitants, moyenne mobile 7 jours, France et Allemagne, du 01/09 au 29/11 : “Allô Vérandouille ? Tu as quelque chose à nous dire ? A avouer ?” (source)