L’Insee vient de mettre à jour ses séries “décès toutes causes”, avec les chiffres pour septembre.
J’utilise la série des décès par mois, pour toute la France. Disponible ici : https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/001641603
Au passage, à chaque mise-à-jour -c’est systématique- l’Insee révise les valeurs des mois précédents. En positif. Mais aussi parfois en négatif…
Il faut savoir par exemple que le mois de janvier 2020 est passé de 57 000 décès à 57 400 (+400). Et que février 2019 (il y a 1 an et demi !) a été révisé de -63 (de 55 900 à 55 837).
Pour la cinquième puissance mondiale blabla, siège à l’ONU, équipée de l’arme secrète l’Intraitable, et en 2020, je trouve personnellement cela aberrant…
Mais ce sont les mystères de l’administration française que le-monde-entier-nous-envie et qui nous-coûte-si-cher, n’est-ce pas ?
Alors, où en sommes-nous ?
Va t-on tous mourir ?
Ou plus exactement, sommes-nous tous déjà morts ? 😉
Non. Les mois passent et la même question se pose en guise de conclusion : où est la terrible pandémie ?
J’entends le comique dans la salle qui répond : “Dans ton cul ! ”
Pas loin. 😉
De janvier à septembre cette année, 479 800 Français ont quitté ce monde.
Soit une différence de +23 830 par rapport à janvier/septembre 2019, une hausse de 5,22 %.
Première dissonance cognitive
On nous dit que 32 216 Français sont morts du couillonavirus de début mars à fin septembre. C’est faux.
Rappel : le Covid est un nouveau virus. Il doit donc tuer des gens qui ne seraient pas morts… sans lui.
Pour évaluer le danger et les dégâts de ce terrible virus ce qui importe c’est la surmortalité, par rapport aux années précédentes. On a manifestement comptés “Covid” des gens qui sont morts…. d’autre chose.
Et ce fait est recoupé, corroboré par les données concernant les covimorts : tous très âgés et malades pour beaucoup (ce qu’on appelle les comorbidités : diabète, hypertension, problèmes cardiaques etc.).
Ajoutons que la présentation par mois permet immédiatement de voir une anomalie : janvier et février 2020… La bonne vieille grippe cette année a moins tué que celle de 2019… Conséquence : les personnes faibles épargnées en janvier et février par la grippe molle du genou, sont passées à la casserole “Covid” en mars et avril…
Tu parles d’un événement pandémique horrifiquement traumatique…
Seconde dissonance cognitive
Le +5,22 % par rapport à 2019 est une hausse très faible, incompatible avec toute idée de terrible pandémie.
D’autant plus que la mortalité en valeur absolue augmente chaque année… puisque la population vieillit et que les générations nombreuses du baby boom atteignent un âge avancée et donc commencent à passer l’arme à gauche
(note rageuse personnelle : et c’est tant mieux ! tant ces salopards égoïstes ont tout bousillé).
Les mous du bulbe et les covidéments vont me dire : “Au secours ! +5,22 % c’est un événement démographique considérable et jamais vu dans l’histoiiiiiiiiiiiire !”
Echec et mat. Il y a 2 années récentes (2015 et 2012) pour lesquelles la hausse du nombre de décès est soit supérieure soit approchante !
Vous étiez con-finé en 2015 et 2012 ? On a détruit votre activité, votre commerce, votre petite entreprise en 2015 et 2012 ? On vous a pourri la vie quotidiennement avec des mots comme “pandémie”, “coronavirus” en 2015 et 2012 ? Un pseudo Conseil scientifique dirigeait le pays en 2015 et 2012 ?
Donc, la terrible pandémie couillonavirale n’existe que dans les cerveaux malades des covidéments, des gouvernements et de tous leurs complices.
Je répète depuis la création de ce blog ce message essentiel : au début (février, mars), les arguments de l’incompétence, de la nouveauté et du manques d’informations, étaient tous valides.
Compréhensibles.
Voire même pardonnables (soyons chrétiens).
Mais 9 ou 8 mois plus tard… entendre l’adolescent perturbé de l’Elysée annoncer un reconfinement national pour une menace virale si ridicule… c’est tout bonnement insupportable.
Cela signe la covidémence, en tant que crime, ni plus ni moins.
Les politiciens et les cons en général peuvent prendre leur air ahuri et abattu de chiots abandonnés et tenter de nous faire pleurer sur le mode “une vie perdue c’est une de trop oooooouin“… ça ne marche pas.
Gouverner c’est décider.
Et décider de saccager l’économie, de traumatiser tout un pays, voire de tuer des gens, au sens figuré et propre (les dégâts des confinements ne sont pas encore bien mesurés) pour donner quelques mois de plus à des vieillards qui pour la plupart ont déjà dépassé leur espérance de vie statistique… ce n’est pas décider.
C’est simplement être un fou furieux criminel.
Et c’est à ce titre et à cette aune que Véran, Salomon, Macron et tous leurs complices devront être jugés.
Enfin, n’oubliez pas qu’il y a un crime… dans le crime… Et j’en arrive à la…
Troisième dissonance cognitive
La France fait beaucoup moins bien, et continue de faire beaucoup moins bien que l’Allemagne par exemple.
La France affiche 567 morts par million d’habitants quand les Teutons sont à 127 (source)… Une différence d’un facteur 4 que rien n’explique à part… les actions du gouvernement.
Macron, Véran, Salomon on y revient toujours.
On pourrait penser que les Allemands minimisent délibérement leur nombre de covidécès… pas de bol leurs données de décès toutes causes montre que ce n’est pas le cas (lire mon article ici).
Il y a donc bel et bien une différence facteur 4 de mars jusqu’à aujourd’hui, pour un pays similaire au nôtre, plus âgé, et dont la frontière se situe à 400 km à vol d’oiseau de Paris.
Il est évident que les victimes du couillonavirus (il y en a, je n’ai jamais prétendu le contraire)… ont déjà attaqué (lire ici) et attaqueront encore le gouvernement et les fonctionnaires français.
Car ces derniers ont commis et continuent de commettre… des homicides.
