Samedi 25 juillet de l’an de grâce 2020, je regarde BFM TV. Je connais les risques pris. J’assume la pollution mentale. J’effectue un travail de veille (sanitaire). Il faudra une bonne session de yoga péruvien, suivie d’une choucroute arrosé de Riesling, pour récupérer de l’épreuve.
Et là, subitement, l’insert fatal. Le truc qui te fait vibrer la peau et les testicules.
“Liliane ! Fais les valises ! Le R0 est passé à 1,3 ! On est foutus ! N’oublie pas les merguez dans le freezer et la caisse du chat !”
BFM perd ses boulons. Et toi, le peu de bon sens que tu conservais précieusement pour le prochain anniversaire de Liliane (ta femme).
Revenons sur le globe terrestre. Le fameux “R0” c’est du caca dans un bas de merde.
Sa définition ?
C’est le Taux de reproduction du virus. Soit le “nombre moyen de cas secondaires provoqués par une seule personne infectée”.
Ce taux est le résultat d’un bordello pseudo scientifique composé de 3 facteurs : -“le risque de contracter le virus lors d’un contact”
-“le nombre de contacts sur une unité de temps”
-“le nombre de jours où une personne infectée est contagieuse”.
Si le dernier facteur peut être déterminé de manière assez précise… Les 2 autres sont totalement fantaisistes, a fortiori à une échelle nationale (pays de 68 millions d’habitants et de 643 000 km2).
Et allez donc déterminer le “risque”, entre un black diabétique de 65 ans qui voyage dans une rame du REB B un vendredi matin, serré comme une sardine… avec un enfant de 11 ans qui court seul sur une plage normande, battue par les vents marins ?
Allô ? Y’a quelqu’un ?
Et le nombre de contacts par unité de temps ?
Quant à en faire un indicateur… de portée nationale….
Bref, c’est tout bonnement invraisemblable de bêtise et de malhonnêteté.
Et malgré cela, les médias continuent de dérouler la feuille route, même des mois après le début de la “pandémie”.
Les petits mandarins, membres de l’appareil de propagande, continuent de prendre l’air inspiré et grave pour débiter ce fameux “R0”, des sornettes qui n’ont aucun sens dans un cadre national.
Le même jour, autre insert fatal.
Enième preuve de ce travail de sape, de mensonge, quotidien par les médias.
La situation est “inquiétante”. Si, si.
Et là, une donnée hallucinante. Le taux d’incidence (c’est à dire le nombre de nouveaux cas) passe de 1,1 en juin à 4,1 en juillet.
On est foutus.
Il y a avait donc 1,1 nouveaux cas début juin pour 100 000 habitants ( a priori 15-44 ans)… Et on est passé à 4,1 pour 100 000 mi-juillet.
La population de l’Aquitaine s’élève à 3,33 millions… Donc 36 cas versus 136 cas…
Les ordres de grandeur montrent que nous sommes dans… le rien statistique. Le néant, aussi bien début juin qu’en juillet (y compris en zoomant sur les 15-44 ans).
En outre, ces “cas” sont des… tests positifs.
Les 15-44 ans NE SONT PAS AFFECTES PAR LE VIRUS. Ils sont donc infectés, certes, mais l’écrasante majorité des 4,1 pour 100 000 ne sentiront rien… Même pas un rhume. Alors pourquoi zoomer sur cette tranche de la population ?
Pas de mise en perspective. Juste la sidération des “chiffres”…. 4,1 versus 1,1.
C’est quoi la Belgique ? Un non-pays. Ensuite, ce sont les frites, et le surréalisme. Ajoutez à cela le siège du camp de concentration appelé UE, une capitale “européenne” joyeusement islamisée, et une gauche d’une veulerie suintante et extrême.
Aucune surprise donc à voir la Belgique détenir un étonnant record mondial : la plus forte proportion de morts du couillonavirus par rapport à la population.
Folie ? Absolument.
Quand la France tourne à 450 morts par million d’habitants, le pays de la frite à la mayo avec de la bière et des burkas européennes affiche fièrement (visualisez ici la trogne ravie de l’ancien premier ministre garçon de café au noeud papillon, Elio Di Rupo) : 850 !
Les Belges seraient-ils donc des aliens ? Des gens venant de Jupiton ? De la Ceinture de Gould ? A 260 km de Paris pourtant ?
Nom d’une pipe (de Magritte) !
Rien de tout cela, bien entendu.
Ils ont simplement des autorités encore plus veules, encore plus malhonnêtes que les nôtres ! Les Belges n’ayant rien à proposer, n’étant historiquement pas grand-chose, doivent se prouver qu’ils existent. Donc ils tentent de se faire bien voir par l’appareil de propagande.
Ils deviennent des zélotes, intoxiqués par leur propre fanatisme.
Moyen et conséquence ? Hyper bidonner les chiffres.
Le Parisien vendait modestement la mèche dès le mois d’avril en évoquant… leur “méthode de comptage très large” !
En Belgique, tout ce qui est suspect est considéré comme lié au coronavirus.
Voilà. Mais le pire c’est que ces salopards se voient -une constante chez les constructivistes gauchistes- comme les vertueux. Ils sont le bien, les autres sont le mal.
Ils accusent ainsi les autres pays de… “mentir” ! (alors que tous les autres pays bidonnent aussi). L’ironie ici s’accouple avec l’indécence et devient sublime.
Résumons : un Belge de 90 ans, sidéen, obèse, d’origine africaine, cardiaque, bourré de cholestérol et avec un diabète carabiné passe subitement l’arme à gauche ?
Bref plus que jamais… vous savez désormais pourquoi on parle de “blague belge”.
Et pourquoi on se fout de vous (que vous soyez -à Dieu ne garde- belge ou pas).
CADEAU BONUS
Pour celles et ceux qui douteraient encore de la nécessité d’une saine belgiophobie, voici le clown, pardon le vice Premier ministre belge (et aussi ministre de la justice) qui nous fait une Sibeth Ndiaye (vous vous souvenez ? Non ? C’est normal) facteur 10 sur la racine carrée d’un litron de gnôle.
La Covidémence c’est d’abord une guerre des chiffres.
Les chiffres constituent la pierre angulaire du dispositif de propagande.
Deux indicateurs principaux :
-les cas
-les morts
Première remarque : avant on communiquait sur les morts (effet de sidération)… depuis qu’il n’y en plus aucun à se mettre sous la dent, on compte les cas (on teste beaucoup à présent alors qu’au début on ne testait pas).
D’autres données viennent en appui : nombre d’hospitalisations, nombre de cas “graves” (ceux en réanimation, les définitions peuvent varier), nombre de cas “asymptomatiques”, etc.
Les médias mettent rarement les données en perspective.
Ainsi :
-10 000 cas en France (population 67 millions)
-10 000 cas aux Etats-Unis (populations 330 millions)
Ce n’est pas la même chose.
Si on creuse davantage, on va trouver des données “synthétiques”, c’est à dire s’appuyant sur d’autres données.
Exemple : “le nombre de morts par millions”.
Cet indicateur permet de voir des anomalies. La Belgique apparaît ainsi hors clou (ils ne savent pas compter). Et que les Européens si arrogants qui crient à l’apocalypse aux USA et qui se foutent de la gueule de Trump… sont tous devant les USA. C’est balo.
Mais cet indicateur est défectueux, puisqu’il repose sur une donnée pourrie au coeur : le nombre de morts provoqués par le couillonavirus.
C’est quoi au juste une personne tuée par le virus ? Si cette personne a 90 ans, et plusieurs pathologies… est-ce le virus qui la tue ? Ou bien elle décède d’autre chose… en étant positive au virus ?
Les pays ont leurs propres critères, et bien entendu certains truquent les chiffres pour accroître la perception de la menace, du risque.
Quant aux cas… là aussi, données pourrie. Car variable dans le temps. Si je fais 100 tests par semaine, ou 500 000, forcément je change de perspective et donc de sens.
Et là encore chaque pays fait sa propre sauce. Certains ont testé beaucoup tout de suite, certains testent peu (et demeurent sur cette position), certains augmentent régulièrement le nombre de tests, etc.
Donc toute comparaison entre pays n’a aucun sens.
Clou dans le cercueil : ces tests ne sont pas totalement fiables (20 % de faux positifs à Marseille, parmi les positifs qui arrivent à l’IHU ! ).
Enfin, troisième étage de la fusée couillonavirale : les indicateurs techniques et hyper synthétiques, s’appuyant sur… du vent.
Exemples :
-le R0 (taux de reproduction du virus : nombre moyen de cas secondaires provoqués par une seule personne infectée). On comprend bien que ce “machin” n’est pas fiable car calculé avec des indicateurs au doigt mouillé , totalement fantaisistes : “le risque de contracter le virus lors d’un contact”, “le nombre de contacts sur une unité de temps”, “le nombre de jours où une personne infectée est contagieuse”. Comment sérieusement évaluer le “risque de contracter le virus lors d’un contact” ? En plus avec des moyennes. Bref, c’est un étron dans un bas de soie médiatique. Pourtant, des mandarins et les petits princes vont vous dire via BFM TV : “le R0 a passé le 1, donc c’est dangereux” etc.
-le taux de létalité apparent, en anglais case facility rate (CFR) : “il s’agit du rapport entre le nombre de décès imputés à une maladie et le nombre de cas confirmés de celle-ci. Rapport nombre de cas et nombre de décès.” Et comment on détermine le nombre de cas ? Si on fait peu de tests ? Ou si on en fait beaucoup ? Poubelle.
Résumons : cas et morts… les 2 données les plus communiquées… sont pourries, et rendent les comparaisons entre pays vides de sens.
Il n’y a qu’une SEULE DONNEE VALIDE, PERTINENTE, ET IMPOSSIBLE A MAGOUILLER :
En France l’état civil. On connaît à l’unité près le nombre d’individus qui naissent… Et le nombre de ceux qui décèdent. C’est carré.
En France, 600 000 personnes meurent chaque année (610 000 en 2018, 606 000 en 2017)
Si donc le couillonavirus est une formidable menace pour l’humanité… alors nous devrions voir une hausse de cette mortalité totale, le virus fauchant des individus en bonne santé, qui ne seraient pas morts si l’épidémie n’avait pas eu lieu.
Sauf que… non.
Nous savons que le virus a “sur-tué” entre fin mars et fin avril, par rapport aux années précédentes. Un mois exactement. Un tout petit mois. Début mars 2020, le nombre de décès toutes causes étaient INFERIEUR à celui de 2019 ou 2018.
Et depuis mai 2020… là encore les décès toute cause sont inférieurs à 2018.
La même constatation a été faite… en Suisse : moins de morts toute cause du 1er janvier à fin juillet ! (lire article ici).
Où est donc la fin du monde ? La terreur ? Bien entendu, les covidéments ont préparé leur réponse : “on a évité la fin du monde grâce au confinement” etc.
Argument bien entendu spécieux, voire même faux (le confinement ne réduit pas l’épidémie, le confiment avait pour seul objectif de “lisser” le bordel dans les hôpitaux. Et même au contraire, le confinement a pu agraver les effets de l’épidémie… avec le délire des consignes officielles : “vous avez de la fièvre ? Prenez du doliprane…. Attendez de bien développer des symptômes très graves, et alors seulement rappelez-nous, on viendra vous chercher pour vous achever à l’hosto en réa“.
Et on ose encore nous parler du “système de santé le meilleur du moooooooooônde” ? !
Par ailleurs on notera la crapulerie absolue de l’Insee qui consiste à commencer le comptage… le 1er mars (source ici)
Ce qui est absurde. Et qui permet de discrètement et fort opportunément “sauter” janvier et février… les mois où la grippe saisonnière tue le plus… Or en 2020 la grippe (normale) a peu tué en hiver… Si l’Insee commençait sa série, comme la logique l’impose, au 1er janvier, nous verrions que le terrible virus a finalement… peu “sur-tué” par rapport à 2019 et 2018 surtout (année à forte grippe).
Autre fait indépassable mais qui échappe à tous les neuneus : de nombreux “morts du Covid” seraient… morts de toute façon en 2020 ! Le virus a simplement avancé de quelques mois leur décès.
Choquant ? Oui, vous avez le droit. Prenez une verveine.
Conséquence : la “sur-mortalité” apparente entre fin mars et fin avril 2020, c’est à dire le coeur de la terrible “pandémie“…. pourrait fin décembre se trouver totalement.. “lissée“… Et finir par n’être plus qu’un pet de mouche sur le radar de conduite de tir d’un Rafale !
Aïe.
Et là que diront les covidéments ? “Tout ça pour…. ça ?“
Ou alors “ah crotte, on s’est bien fait enculer” ?
Je vous rassure tout de suite : ce ne sera ni l’un ni l’autre.
Mais plutôt : “Chérie viens voir la télé, sur BFM ils font un reportage sur les incivilités”.
Ou : “On se fait un kebab ce soir ?”
Voire : “Bon pour la présidentielle, je vais devoir voter Macron, pas le choix hein“.