Je m’appuie sur le message relayé par Hélène Banoun (membre du CSI, résistante infatigable sur son compte Twitter).
Il s’agit d’une analyse des décès toutes causes confondues (répétons-le : c’est le seul juge de paix) en Angleterre, avec une cartographie “hot zone”, par tranche d’âges et avec comme indicateur l'”excès de mortalité“, comprendre la “mortalité attendue” sur la mortalité réelle).
Indicateur trop synthétique… Personnellement, je préfère les données brutes : fingertips.phe.org.uk/documents/EMData.ods
En prenant du recul (cumul par trimestre, plutôt que par semaine, trop bruyant).
Ensuite, je jette un coup d’oeil à la pyramide des âges pour le Royaume-Uni, par année, ici : https://www.populationpyramid.net/united-kingdom/2020/
Ensuite, je mouline le tout pour… les 0-24 ans (garçons plus filles, je tiens à le préciser car de nos jours… hein… prout ;- ) ).
Pourquoi les 0-24 ? Parce que c’est la classe d’âge… qui NE MEURE PAS.
Du moins normalement ! 😉
En clair : c’est le canari dans la mine de charbon. Si quelque chose cloche c’est parmi les 0-24 ans que ça se verra comme un furoncle au milieu du visage.
Barbatruc, voilà le résultat.
Résumons :
–certitude 1 : le Covid attaque très peu les 0-24 ans (même en bidonnant les chiffres -ils ont souvent essayé pour terroriser les populations-… les covihospitalisations, cas graves et covidécès demeurent totalement marginaux parmi les très jeunes).
–certitude 2 : la population des 0-24 ans baisse de manière continue (pour le Royaume-Uni, mais l’Angleterre constitue son gros morceau démographique… Donc de 2020 à 2023 : diminution totale de 239 000 têtes).
–certitude 3 : pourtant, les décès toutes causes chez les 0-24 ans augmentent… de 2020 à début 2023 (+15 % entre 2020 et 2023, sur une base 4 trimestres).
Aïe. La tuile.
Alors si ce n’est pas la terrible pandémie… quelle est la cause de cette hausse (factorisée par la baisse de la population concernée) ?
Le Méchant Poutine ? Le désespoir face au réchoffementKlimatik ? Suicides ? Les ondes 5G ? L’abus de fish and chips? De drogues ? De bière noire ?
Pourquoi pas un peu de tout cela … Restons ouverts d’esprit.
Mais il est évident que durant ce laps de temps, il y a eu un gros éléphant au milieu du cirque : les injections des produits ARNm…
Pire encore :
-on connaît certes les effets possibles de ces produits (myocardites fatales juste après les injections)… mais ça fait de nombreux mois que l’on n’injecte plus massivement les 0-24 ans contre le “Covid” (interdit de rire).
Alors pourquoi… la hausse des décès se poursuit-elle ?
-je reformule : si on peut concevoir qu’un certain nombre de jeunes soient fauchés immédiatement après les injections… le nombre de décès devrait redescendre après… (effet moisson). Et même baisser encore davantage… réflétant ainsi la baisse de la population des 0-24 ans.
-et si encore l’Angleterre était une exception, une sorte d’île statistique… mais on constate des hausses continues et anormales de mortalité dans de NOMBREUX PAYS (sans oublier des baisses inexpliquées de la natalité, lire en commentaire les cas de la Suisse et de la Suède), en tout cas les pays occidentaux où l’on dispose de données fiables… et qui ont un point commun : avoir utilisé les pseudo “vaccins” ARNm de Pfizer/Moderna…
Tous les gouvernements et toutes les agences publiques (type Insee) sont au moins coupables de forfaiture… puisque ils refusent d’analyser sérieusement les données, d’étudier des pistes (y compris les plus folles), de chercher des explications.
POST SCRIPTUM
Seul quelqu’un comme Pierre Chaillot, avec la méthodologie et ses outils ad hoc, pourra nous donner une analyse exhaustive sur ces données, imbidonnables répétons-le : un mort est un mort à l’état civil, et heureusement sous nos latitudes, on ne peut pas mourir 2 fois (de la même manière qu’il est difficile de naître 2 fois ou de disparaître des registres des naissances…).
Il faudra patienter encore quelques mois pour obtenir les données 2022 définitives (en France, l’Insee prend son temps, car seule une faible proportion des certificats de décès est au format électronique…).
En attendant, il faut demeurer prudent avec les “révisions” et autres “données préliminaires”.