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Traitement : “une percée majeure” avec la colchicine

“Eh merde, ça va encore me retomber dessus”

Celle-ci, on ne l’a pas vue venir ! Un espoir ?

Une vaste étude lancée en mars dernier par l’Institut de cardiologie de Montréal annonce une « percée majeure » dans le traitement de la COVID-19. Ses résultats montrent que la colchicine, un anti-inflammatoire, est efficace pour traiter la maladie et prévenir des complications. Il s’agit du premier médicament oral dont l’efficacité a été prouvée pour traiter des patients avant leur admission à l’hôpital. (source La Presse)

L’étude est “randomisée à double insu et contrôlée avec placebo” et tout le tralala.

Chez 4159 patients qui présentaient un facteur de risque de complications et dont le diagnostic de COVID-19 avait été validé par un test PCR, la colchicine a entraîné une baisse des hospitalisations de 25 %, une baisse du besoin de ventilation de 50 % et une diminution des décès de 44 % par rapport au groupe témoin. « C’est une percée majeure », déclare le DTardif.

Kezako la colchicine ?

La colchicine est un anti-inflammatoire souvent utilisé en cardiologie. Elle a été découverte au XIXe siècle et initialement utilisée contre la goutte. Entre autres avantages, elle est peu coûteuse et a peu d’effets secondaires. Le Dr Tardif l’étudie depuis plusieurs années dans le traitement des cardiopathies et a montré qu’elle réduisait de plus du quart le risque de récidive chez des cardiaques.

Bref, affaire à suivre. Attendons la publication, la révision, attendons les contre-études dans le Lancet faites par des stagiaires du Bangladesh… et alors on pourra envoyer un faire-part à Vérandouille et ses complices… 😉

POST-SCRIPTUM

Heureusement que la presse française est là ! A peine la nouvelle sortie que les kapos mettaient le turbo et enfilaient leur casque.

Exemple avec le Parisien :

La colchicine, «premier médicament oral» contre le Covid-19 ? Pourquoi il faut se méfier
Une étude québécoise affirme que la colchicine, utilisée pour le traitement de la goutte, réduirait les effets du Covid-19. Il y a quelques mois, c’est l’hydroxychloroquine qui avait été portée en solution miracle… avant de retomber en disgrâce.

Voilà les gars. “il faut se méfier” hein, des fois que ce truc fonctionnerait…

La Société française de pharmacologie et de thérapeutique conclut : « L’efficacité de la colchicine dans la prévention ou le traitement des infections à Covid-19 n’a pas été démontrée. »

Prout.

Nous sommes donc rassurés.

La covidémence doit se poursuivre “quoi qu’il en coûte”.

Retour au doliprane.

Et aux thérapies géniques… dont vous ne voulez pas. C’est trop bête.

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Ivermectine contre le Covid : synthèse

L’IHU de Marseille fait une synthèse au sujet de l’ivermectine contre le couillonavirus (en prophylaxie, en traitement précoce et traitement des formes graves).

Présentation de 12 minutes.

Synthèse qui porte sur :

-les études in vitro

-les études in vivo

-les études in silico

-sans oublier les méta-analyses.

(j’ai d’autres articles en boutique au sujet de l’ivermectine, dans la rubrique Médicament)

Cette molécule qui date de la fin des années 70 (découverte par un Japonais) utilisée comme antiparasite possède également des propriétés antivirales, antibactériennes, anticancéreuses et anti-inflammatoires.

Elle est sans danger (3,7 milliards de doses utilisées dans le monde). Ne coûte pas chère.

Bref, une cible parfaite pour les covidéments et tous leurs complices, qui font la guerre contre toute idée de traitement du couillonavirus, afin de promouvoir seulement… le doliprane et les vaccins et les thérapies géniques (Pfizer, Moderna).

Rappelons aussi l’excellent papier du docteur Maudrux.

A noter un élément important : il y a en ce moment plus de 40 essais cliniques autour de l’ivermectine en cours actuellement (voir : https://www.clinicaltrials.gov).

Bref, nous aurons bientôt des montagnes de données supplémentaires…

Les covidéments devront alors répondre de leurs actes.

En justice.

Plus efficace qu’un vaccin : le bras armé de la justice.
MISE-A-JOUR

A noter qu’un référé a été déposé le 15/01 auprès du Conseil d’Etat, pour obtenir une RTU (recommandation temporaire d’utilisation) pour la prescription de l’ivermectine (contre le Covid).

L’audience aura lieu lundi 25 janvier.

Voir la vidéo de l’avocat, Jean-Charles Teissedre,  qui s’occupe du dossier.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=GEmnn2ZI8lw

Cette stratégie est fine car cela va forcer les autorités à se prononcer… L’Agence Nationale, de Sécurité du Médicament peut s’autosaisir (afin de donner la RTU). Et le ministre de la santé peut également la saisir.

Donc, RTU ou pas ?

On rappelle que l’Agence a refusé une telle RTU au professeur Raoult (pour l’hydroxychloroquine)…

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Médicament Résistance

Vitamine D : les Français découvrent enfin que l’eau ça mouille

73 experts francophones et six sociétés savantes – l’Association française de lutte antirhumatismale, la Société française d’endocrinologie, la Société française de gériatrie et gérontologie, la Société française de pédiatrie, la Société française d’endocrinologie et diabétologie pédiatrique, la Société francophone de néphrologie dialyse et transplantation – recommandent la distribution de vitamine D à grande échelle. (source 20 Minutes)

Enfin !

Ces médecins français prennent enfin leur courage à deux mains pour prendre position publiquement, et contre les autorités covidémentes pour qui il n’y a rien à faire à part se faire vacciner et prendre du doliprane.

Cela fait des mois que des études pointent le lien entre carence en vitamine D et formes graves du couillonavirus (lire mon article ici).

Les vieillards ont très souvent une carence en vitamine D. Et sous nos latitudes, c’est très courant (surtout en hiver…).

Ils recommandent de distribuer de la vitamine D aux personnes contaminées « à forte dose, et ce dès le diagnostic de Covid-19 posé » mais également à promouvoir « à grande échelle la supplémentation en vitamine D », aux vues des insuffisances « retrouvées chez 40 à 50 % de la population française et plus encore chez les personnes à risque de formes graves de Covid-19 ».

En plus… ça ne coûte rien.