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UK, même constat : des cas et des hôpitaux vides

Dans les services de réanimation… on se tient prêt. C’est scrabble. Ou le Désert des Tartares. Voire A l’ouest rien de nouveau. Et demain, y’a piscine.

Ce qui se passe en France... se passe partout ailleurs en Europe. C’est-à-dire pas grand chose.

Il y a bien des nouveaux cas, mais… ces infectés ne sont pas… malades.

Les hôpitaux sont vides. Les services de réanimation jouent… au scrabble.

L’évolution des données de mortalité toute cause confondue confirme -pour l’instant- cette observation (voir France et Suisse).

Si le nombre total de décès tout cause ne bouge pas vraiment sur l’année (pas de forte hausse), alors cela signifie que les “morts du Covid” (30 500 nous dit-on)… seraient morts… de toutes les façons durant l’année.

Oui ou non ?

Je l’ai souvent écrit : le juge de paix, le seul, face à cette terrible pandémie couillonavirale, ce sera le nombre de décès toute cause à la fin 2020. Pays par pays.

Tout le reste c’est de la merde dans un bas de nylon filé.

Revenons aux observations du terrain. Ici des témoignages en Angleterre.

Hospitals are empty despite coronavirus cases having gone up over the past month – and it could be because the most vulnerable to the disease have already died, an intensive care specialist claimed today.

(source DailyMail)

C’est la première fois que je lis cette réflexion de bon sens dans un -grand- média, et venant d’un membre de la communauté médicale en plus (le docteur Ron Daniels, à Birmingham) : ceux qui devaient mourir (car vieux ou malades et donc vulnérables au Covid) ont déjà été infectés… et sont déjà morts.

Et on ne peut pas mourir deux fois, même dans le “monde d’après“, celui que les covidéments veulent absolument faire advenir. Aux forceps du mensonge et de la folie.

Ergo : c’est fini. Il n’y a plus que des nouvelles infections, asymptomatiques ou légères.

Je comprends. C’est choquant de l’exprimer d’une manière aussi abrupte, mais c’est le Réel.

J’ai moi même exprimé une dérivé de ce fait… encore plus violemment en écrivant : “Le Covid tue des vieux/malades… qui seraient de toute façon morts dans l’année. En gros.”.

(Le “En gros” venant bien entendu contrebalancer ma propre exagération, avec ironie.)

Et d’une autre manière, indirecte, sous la forme d’une question, toute aussi violente : fallait-il détruire l’économie mondiale pour que “papy et mamy puissent mourir à 80 ans et demi, au lieu de 80 ?

Car au fond, ces quelques mois de confinement… n’auraient-ils servi qu’à cela ?

Faire société” et vivre dans le Réel, c’est forcément oser aborder ces questions.

A l’inverse, ne pas poser ces questions, c’est céder à la lâcheté.

Ou aux manipulations.

Et dans le cas du couillonavirus, vous connaissez par avance ma conclusion.

Les deux mon général“.

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Pays Saloperie et sida mental

USA : et maintenant les cônes pour chien

Une nouvelle race de clébard dans les restaurants du Maine. Cauchemar ? Non, le “nouveau normal” envisagé par le cerveau malade d’un gouverneur.

Chaque jour, on pense avoir touché le fond.

Hélas, non.

La dernière nouvelle stupéfiante nous vient du Maine (Etats-Unis).

Madame la gouverneur, une démocrate cela va de soi, vient de déclarer en parfaite covidémente :

“front-of-house staff in restaurants who choose to wear face shields must now wear them upside down so that they are attached at the collar instead of the forehead, so that their breath is directed up, not down”

(source ZeroHedge)

Lorsque le personnel dans les restaurant porte un masque-visière celui-ci doit être inversé, et donc attaché par le cou, au lieu du front.

C’est donc la collerette ou “cône” (voire “carcan”) pour les clébards (lorsqu’ils subissent une opération chirurgicale pour éviter qu’ils se lèchent).

“Bonjour Madame, bonjour Monsieur. Ce midi nous avons une excellente blanquette de veau, accompagnée de son riz sauvage de Camargue. Je vous la recommande”.
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Humour Pays

Irelande, dîner de cons : un ministre victime

“Il s’appelle Juste Leblanc.”
“Ah bon, il a pas de prénom ?”

Avant, un ministre ça démissionnait :

-après s’être fait gauler avec sa maîtresse

-après avoir piqué de la thune (ou ne pas avoir payé d’impôts, variante très franco-française)

En gros.

Dans le fameux “monde d’après” tant désiré par certains, un ministre ça se fait démissionner pour avoir… assisté à un dîner de 80 personnes, en violation des règles couillonavirales.

C’est ce qui est arrivé à la ministre irlandaise de l’Agriculture, nommée il y a un mois.

Poisson d’avril ?

Hélas, non… un simple dîner de cons.

Au mois d’août. 😉

(Source Le Figaro)

Rappels prophylactiques : Population Irelande = 4,9 millions

Cas = 27 700

Décès = 1 770