“Si nos concitoyens pensent que le problème est réglé, cela veut dire que dans un délai de quelques semaines nous reviendrons à une urgence dure”, avait averti Vincenzo de Luca, le gouverneur de Campanie.
Mamma mia ! Les gueux italiens étaient prévenus ! Pas question de les laisser digérer leur pasta à l’huile d’olive en paix.
L’imperator Couillonavirator règne au pays de César.
Le président de la région de Naples vient ainsi de passer l’amende pour non-port du masque (dans les lieux clos, y compris transports publics) à…. 1 000 euros.
Les carabiniers se sont dépêchés d’appliquer la nouvelle amende aux gueux.
La presse italienne rapportait dimanche que les premières amendes de 1000 euros étaient tombées la veille pour les propriétaires de trois commerces de Salerne (sud), dont un bar et un coiffeur, dans lesquels des policiers ont constaté que l’obligation du port du masque n’était pas respectée.
C’est quoi la Belgique ? Un non-pays. Ensuite, ce sont les frites, et le surréalisme. Ajoutez à cela le siège du camp de concentration appelé UE, une capitale “européenne” joyeusement islamisée, et une gauche d’une veulerie suintante et extrême.
Aucune surprise donc à voir la Belgique détenir un étonnant record mondial : la plus forte proportion de morts du couillonavirus par rapport à la population.
Folie ? Absolument.
Quand la France tourne à 450 morts par million d’habitants, le pays de la frite à la mayo avec de la bière et des burkas européennes affiche fièrement (visualisez ici la trogne ravie de l’ancien premier ministre garçon de café au noeud papillon, Elio Di Rupo) : 850 !
Les Belges seraient-ils donc des aliens ? Des gens venant de Jupiton ? De la Ceinture de Gould ? A 260 km de Paris pourtant ?
Nom d’une pipe (de Magritte) !
Rien de tout cela, bien entendu.
Ils ont simplement des autorités encore plus veules, encore plus malhonnêtes que les nôtres ! Les Belges n’ayant rien à proposer, n’étant historiquement pas grand-chose, doivent se prouver qu’ils existent. Donc ils tentent de se faire bien voir par l’appareil de propagande.
Ils deviennent des zélotes, intoxiqués par leur propre fanatisme.
Moyen et conséquence ? Hyper bidonner les chiffres.
Le Parisien vendait modestement la mèche dès le mois d’avril en évoquant… leur “méthode de comptage très large” !
En Belgique, tout ce qui est suspect est considéré comme lié au coronavirus.
Voilà. Mais le pire c’est que ces salopards se voient -une constante chez les constructivistes gauchistes- comme les vertueux. Ils sont le bien, les autres sont le mal.
Ils accusent ainsi les autres pays de… “mentir” ! (alors que tous les autres pays bidonnent aussi). L’ironie ici s’accouple avec l’indécence et devient sublime.
Résumons : un Belge de 90 ans, sidéen, obèse, d’origine africaine, cardiaque, bourré de cholestérol et avec un diabète carabiné passe subitement l’arme à gauche ?
Bref plus que jamais… vous savez désormais pourquoi on parle de “blague belge”.
Et pourquoi on se fout de vous (que vous soyez -à Dieu ne garde- belge ou pas).
CADEAU BONUS
Pour celles et ceux qui douteraient encore de la nécessité d’une saine belgiophobie, voici le clown, pardon le vice Premier ministre belge (et aussi ministre de la justice) qui nous fait une Sibeth Ndiaye (vous vous souvenez ? Non ? C’est normal) facteur 10 sur la racine carrée d’un litron de gnôle.
Depuis le début de la covidémence… un pays du nord de l’Europe emmerde le narrative : la Suède.
Avant, ce pays de grands neuneus étaient affectés par une épidémie totalement différente : les Somaliens dégénérés violant les petits culs blonds (femmes et hommes). En clair : les joies du vivre ensemble, thème que les Européens connaissent bien, en général, et même de mieux en mieux…
Autre épidémie : les attaques à la grenades (on ne parlera pas des voitures brûlées, ça ce n’est pas nouveau… c’est endémique)
Les politiciens suédois en parfaits collabos zélés étaient donc bien vus à l’étranger. Les Suédois étaient cons mais “sympa”, “progressifs”, “libéraux”, “gentils”, “humanistes”.
Puis, la covidémence s’écrasa sur le monde. Prout.
Alors que les Européens se dépêchaient de suivre le textbook de la psyop et décidaient donc de CON-FINER leur population, entamant ainsi l’une des plus stupéfiantes psyop de l’âge moderne… les gentils glands suédois devinrent subitement… des méchants. Des mecs pas clairs. Louches. Limite d’extrême-droite.
Non ?
Si.
Ils n’ont pas CON-FINE leur population blonde (et noire !).
Dingue.
Choc.
Inspirez, respirez.
De grands malades donc qui allaient faire crever toute leur population. Un crime contre l’humanité.
Et ?
Rien, bien entendu.
Enfin, si, comme partout ailleurs, des vieux suédois malades ont crevé du virus (avec également la sur-représentation des populations de couleurs… constatée partout ailleurs).
Rien de plus.
Non ?
Si.
Pendant que vous étiez du bon cheptel en restant chez vous et en signant chaque jour votre “autorisation de sortie” comme un clébard… les neuneus Suédois continuaient de batifoler dans la nature, continuer à baiser dans les bois, et à boire des coups ensemble.
Zut.
Forcément ça cloche. Il y a une couille dans le potage Royco. Les croûtons aillés font une dépression nerveuse. La crème-fraîche vote Front national.
Source (faut vraiment vous mettre à l’anglais hein… c’est indispensable pour élargir votre horizon et repousser la propagande)