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L’Afrique victime de la covidémence : le Ghana a fermé ses écoles pendant 10 mois

Il ne se passe pas grand chose en Afrique (alors que l’apocalypse avait été annoncée, car systèmes de santé déglingués, peu performants, voire inexistants).

L’Afrique n’est pas victime du virus, mais bien de la covidémence chinoise et occidentale.

Ainsi le Ghana, pays d’Afrique de l’Ouest… 30 millions d’habitants avec un âge médian de… 21,7 ans !!!! Autant dire qu’il n’existe tout simplement pas sur la carte couillonavirale !

C’est totalement aberrant.

Des millions d’enfants ghanéens ont repris le chemin de l’école lundi 18 janvier après dix longs mois de fermeture pour lutter contre la propagation du coronavirus. (le Figaro)

10 mois ! On se pince.

Et tout cela pour quoi ?

Le Ghana avait imposé à sa population un confinement très strict le 16 mars, deux semaines seulement après l’annonce du premier cas confirmé de Covid-19 en Afrique subsaharienne. Dans la capitale, Accra, le confinement total a été levé en avril, mais des mesures préventives étaient toujours obligatoires, notamment la fermeture des écoles ou des frontières terrestres.

Bilan ?

Jusqu’à ces dernières semaines, le Ghana enregistrait quotidiennement environ 100 nouveaux cas. Désormais, les services de santé en recensent plusieurs centaines tous les jours.

Alors même que les cas augmentent, le gouvernement a finalement dû admettre qu’il a fait n’importe quoi, influencé par les délires des Occidentaux et des institutions internationales (OMS)… Et rouvre donc les écoles.

C’est un terrible échec et qui démontre une fois de plus, que toute ces mesures n’ont que peu d’effets sur le virus (qui de toute façon encore une fois ne PEUT RIEN FAIRE sur une population aussi jeune !)

Au total, le Ghana a enregistré 58 000 cas… pour 340 morts depuis le début de la terrible pandémie.

Et des millions d’enfants ont été privés d’une année scolaire pour ça…

Cette histoire illustre le drame de l’Afrique : incapable encore de se prendre en charge, avec des élites corrompues à la botte du reste du monde (l’Europe en raison de l’histoire, mais également la Chine qui exploite les ressources naturelles du continent noir).

Un désastre. Noir.

 

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Origine du virus : les accusations des USA se font plus précises

Les accusations des Etats-Unis contre la Chine se font plus précises.

C’est Pompeo, le ministre des affaires étrangères qui s’y colle.

Mike Pompeo a également exhorté l’équipe de l’OMS à «presser le gouvernement de la Chine» sur cette «nouvelle information». «Le gouvernement des Etats-Unis a des raisons de penser que plusieurs chercheurs à l’intérieur de (l’Institut de virologie de Wuhan) sont tombés malades à l’automne 2019, avant l’identification du premier cas de l’épidémie, avec des symptômes compatibles à ceux, à la fois du Covid-19, et de maladies saisonnières courantes», a-t-il affirmé.

Selon Mike Pompeo, cette information est en contradiction avec les affirmations selon lesquelles aucun membre du personnel de l’institut n’avait contracté le Covid-19 ou des virus apparentés. «Pékin continue aujourd’hui de retenir des informations vitales dont les scientifiques ont besoin pour protéger le monde de ce virus mortel, et du prochain», a-t-il soutenu. (source Le Figaro)

C’est intéressant.

Pékin a toujours affirmé : aucun malade au labo à Wuhan, rien ne s’est passé dans notre labo à Wuhan.

Une éventuelle fuite du couillonavirus dans le labo aurait en bonne logique provoqué la contamination de personnes y travaillant.

On comprend donc l’affirmation de Pékin.

MISE A JOUR

Le Département d’Etat a mis en ligne une page dédiée au laboration de Wuhan, rien de moins, et qui reprend et développe les points mis en avant par Pompéo (en y ajoutant les recherches menées dans le labo, ainsi que ses activités militaires).

Lien : https://www.state.gov/fact-sheet-activity-at-the-wuhan-institute-of-virology

1. Illnesses inside the Wuhan Institute of Virology (WIV):

 

The U.S. government has reason to believe that several researchers inside the WIV became sick in autumn 2019, before the first identified case of the outbreak, with symptoms consistent with both COVID-19 and common seasonal illnesses. This raises questions about the credibility of WIV senior researcher Shi Zhengli’s public claim that there was “zero infection” among the WIV’s staff and students of SARS-CoV-2 or SARS-related viruses.

Et ajoute :

Today’s revelations just scratch the surface of what is still hidden about COVID-19’s origin in China.

Bref, cela relance le jeu.

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Etat fort Pays Saloperie et sida mental

L’Angleterre d’après traque les plaques d’immatriculation des coviterroristes

L’Angleterre est à la pointe de la covidémence. Toujours ce vieux fond orwélien qui irrigue la Perfide Albion.

Ainsi, la police est fière de disposer d’un système de reconnaissance et identification automatique des plaques d’immatriculation pour “disrupt criminality” et traquer les “criminals, Organised Crime Groups, and terrorists” qui se déplacent.

Et en matière de “terrorisme” la jauge est extensible à loisir… Ainsi celles et ceux qui violent le confinement se retrouvent ipso facto étiquetés “terroristes”.

Ce système va donc être utilisé pour pister ceux qui violent les règles de déplacement liées au confinement (les déplacements doivent être “essentiels”).

“As such, I welcome the force’s use of ANPR to monitor vehicle movements and make sure the only journeys being made here are essential ones. Using this technology helps us see where certain vehicles have come from and allows officers to further investigate their reasons for travel.” (source Breitbart).

La technologie au service de l’esprit chinois (comme on parlait d'”esprit munichois”).

Passeport vaccinal, crédit social, reconnaissance faciale, identification des voitures, caméras, limitation des déplacements… tout l’apparatus 2.0 pour lutter contre les criminels ceux qui pensent mal.

Bienvenue dans l’Angleterre d’après…

L’Angleterre chinoise.