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Thaïlande : vaccination et réservation pour un parc national

Dans la jungle thaïlandaise, personne ne vous entendra hurler quand le couillonavirus vous attaquera… par derrière (forcément).

Soit le parc national de Phu Kradung, dans la province de Loei, au nord de la Thaïlande.

On n’est pas loin du trou du cul du monde, proche de la frontière avec le Laos.

Son point culminant se situe à 1 360 mètres. Si, si. Ce ne sont pas les Alpes, certes, mais à l’aube en hiver, on s’y pèle le jonc.

Figurez-vous que depuis des mois…. des dizaines de parcs nationaux ont été fermés dans tout le pays. A cause du terrible virus bien sûr, dès fois qu’il se planquerait dans la jungle, entre 2 arbres, en embuscade prêt à couillonavirer des éléphants ou des pauvres visiteurs en goguette.

Au bout de plusieurs mois à jouer au baccara ou aux boules, les mecs se sont quand même dits que ça clochait. Et en plus, le manque à gagner commençait à devenir sévère (l’entrée est payante)…

A ce sujet, il convient de rappeler que les étrangers, les métèques, payent 400 THB… alors que les Thais 40 THB seulement… Nous valons donc 10 fois plus… Ce n’est pas très flatteur pour eux, mais cette pratique persiste (la poule aux oeufs d’or est bien trop grasse).

Et ce pognon ne va pas dans les parcs… mais plutôt dans les maisons et les BMW des enculés qui dirigent ces sinécures avec force uniformes.

En Thaïlande toute position officielle est déterminée (ou gagée) par un uniforme.

On ferme les parcs nationaux. Mais le métro bondé de Bangkok est toujours ouvert. En pataChine et avec un patavirus c’est parfaitement normal.

Ils ont donc décidé de rouvrir le bouzin, pardon le business… Mais attention, pas dans n’importe quelle condition.

Le chef du parc ne peut pas perdre la face, ni prendre trop de risques…

Ainsi, à compter du 1er octobre, il faudra être doublement vacciné pour avoir le privilège de respirer l’air pur de Phu Kradung !

Mais ce n’est pas tout… Il faudra également… réserver sa place. Si, si. Comme à l’opéra Bastille. Ou chez Tata, le coiffeur pour dames de la rue aux Ours (Paris 3ème, bande d’incultes).

Le tout via une énième application à la con (le royaume de Siam adore développer des apps, foireuses, boguées, pour tout et n’importe quoi).

Mais ce n’est pas tout.

Seuls 1 000 visiteurs par jour seront admis. Eh oui, le parc ayant une superficie totale de 348 km2… il convient de se méfier !

C’est scien-ti-fi-que.

Mille têtes de pipe par jour c’est un grand maximum pour éviter toute contamination (surtout entre gens vaccinés)… ! 😉 (source)

Bref, je l’ai souvent dit… la Thaïlande a bien décidé de mettre au service de la covidémence son côté branleur sud-est asiatique, rehaussé d’une pointe florentine hallucinée.

Ma définition n’est certes pas académique, mais c’est la mienne et elle colle au Réel observable.

Un mélange détonnant.

Sans surprise, en raison de son système décentralisé… Chaque petit fonctionnaire responsable de quoi que ce soit (un village, une ville, une province, un jardin, un parc national, un poste de police, un marché, un urinoir,  un bordel, etc.) pète un câble, fait pipi dans son slip rose, et entame la danse de Saint Guy du Rond de Cuir qui Télégraphie au Monde sa Vertu.

C’est une course à l’échalotte virale sans fin, dans laquelle chacun doit faire plus plus que son voisin et concurrent.

On n’a pas fini de rigoler…

Et les Thaïs d’en baver au quotidien…

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Saloperie et sida mental

Mômes en maternelle : interdiction d’aller aux toilettes

Vu sur Fessebouc. A chaque fois, on espère qu’il s’agit d’un vulgaire fake. D’un truc pondu par un odieux conspirationniste d’estrême-droûate rawciste.

Et puis non… Hélas… C’est trop “vrai “.

La PQR en parle (source ici).

Ecole MATERNELLE de Villefranche…
La classe concernée est une moyenne section , c’est-à-dire des enfants de 4 ans...

Au-delà des grandes questions qui nous agitent (vaccin obligatoire, ausweis vaccinal, étoile jaune 2.0, les mouvements de fond géopolitiques, etc.)… il y a toutes ces petites démences, ici et là, les règles les plus folles qui s’ajoutent, et dont on n’a pas connaissance.

Et qui alourdissent sérieusement le passif

On tente d’imaginer ce qui a pu se produire dans le cerveau (?) de la maîtresse lorsqu’elle a pondu une telle merde sur son traitement de texte…

Puis en imprimant la bouse sur sa machine inkjet de merde.

Et enfin, en faisant tourner la photocopieuse pour distribution aux parents…

Se rend-elle compte de ce qu’elle écrit ? Fait-elle du zèle, car elle y croit vraiment ? Est-elle une dangereuse psychopathe qui prend du plaisir à faire du mal aux enfants ?

Qui est-elle vraiment ? Est-elle terrorisée de perdre son emploi ? D’être mal notée par la hiérarchie ? Souffre-t-elle du Syndrome de Stockholm ? Est-elle une victime ou une perverse ? Comment son cerveau fonctionne t-il, s’il fonctionne ?

A ce stade, une trépanation s’imposerait afin de mener un examen neurologique complet avec force biopsies. 😉

Quand l’heure des comptes sonnera -comprendre les règlements de comptes- la cuenta sera lourde.

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Chiffres Pays Saloperie et sida mental

Angleterre, hospitalisés Covid : énième bidonnage des chiffres

La spécialité britannique : le silly walk chiffré.

Cela devient un running gag. Un mauvais.

Toutes les données -importantes- relatives à la crise couillonavirale sont bidonnées.

Ou si vous préférez, en langage moins fleuri, délibérement exagérées, dans une optique politicienne : la prolongation de la covidémence.

C’est une partie du fameux “quoi qu’il en coûte” du gland aussi psychotique qu’ingénu qui squatte le palais de l’Elysée.

Le Royaume-Uni reconnaît ainsi périodiquement des bidonnages… (lire ici, , encore ici, encore , ici et même ) mais plusieurs mois après, une fois le mal fait, une fois les objectifs politiques atteints.

Dernier exemple en date : un quart des “hospitalisés Covid”… n’ont en fait rien à voir avec le… fameux virus.

Ce n’est pas une surprise, nous le savions déjà et sous de nombreuses latitudes. Mais c’est encore plus goûtu lorsque l’admission est officielle.

Data shows 6,146 NHS beds taken up by Covid positive patients on Sept 14, latest health service data shows
But just 4,721 patients (77%) were primarily being treated for coronavirus, with rest possibly ‘incidental’ cases (source DailyMail)

Cette petite plaisanterie dure depuis au moins la mi-juin (lire article Lockdown Sceptics).

Le nombre des hospitalisés est une des données essentielles (avec les “cas”, les lits en réanimation, et les décès).

Cet indicateur est utilisé par les gouvernements pour justifier le caractère exceptionnel de la crise, et donc des mesures prises, par les médias (pour entretenir la pétoche) et plus largement par tous les glands covidéments.

Ainsi, en Angleterre, on a bourré le mou au public pendant tout l’été avece ce slogan :  “5 000 hospitalisés Covid”.

Alors qu’en réalité, il aurait fallu dire : 3 750.

Les mêmes manipulations ont lieu en France (en particulier sur les lits de réanimation, lire ici).

Enfin, notons que toutes ces “erreurs”, ces algorithmes faux, ces “estimations“, ces “problèmes“, etc… vont systématiquement dans le même sens.

Celui du grossissement de la menace, jamais l’inverse.

Jamais.