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Saloperie et sida mental

Guerre civile américaine 2.0 : radicalisation

Dans le monde d’avant, un politicien américain de gauche bon teint c’était à peu près ça :

Joe Biden et Nancy Pelosi : 167 ans au total sur la balance !

Des caciques. La quintessence de l’apparatchik. Aucune idéologie à part faire tourner la boutique : la leur.

Des parasites, des voleurs, vicelards, roublards.

Biden vendait sa carte de visite au plus offrant comme un tapin (Ukraine, Chine, etc.). Pelosi faisait sa motte de beurre à Wall Street (sa spécialité ? Le délit d’initié).

Corrompus, nuisibles, méchants, obscènes mais gérables.

Puis, sous l’impulsion de Barack Hussein Obama, le parti Démocrate a commencé à se laisser déborder par son aile VRAIMENT gauchiste…

Avec ceci :

Alexandria Ocasio-Cortez et sa copine née à Mogadiscio Ilhan Omar (toutes les deux représentantes au Congrès US… la première pour New York, la seconde dans le Minnesota où vit une forte communauté… somalienne, forcément).

Hystériques, cinglées, haineuses : elles ont déjà tout des grandes ! 😉

L’évolution saute aux yeux : les vieux éléphants blancs s’effacent… les jeunes d’origine immigrée, les “minorités” comme on les appelle outre-Atlantique, s’affirment. Et bruyamment.

Et ces gens disposent de tout un éventail idéologique (anti Occident, socialiste, globalo-tiers-mondiste, woke).

Il y a encore quelques années, ils ne formaient qu’une “frange”, quelques hurluberlus.

Sauf que la gangrène a progressé, menant à la radicalisation du parti et de ses électeurs (alimentée aussi par la victoire de Trump il y a un an).

Je rappelle (mais tout le monde s’obstine à oublier) qu’il y a exactement 12 mois… 75 millions d’Américains ont voté pour la dinde Kamala Harris.

Si ce n’est pas de l’extrémisme, ça !

Et aujourd’hui, ce processus débouche –le plus naturellement du monde– sur l’élection de Zohran Mamdani à la mairie de New York, un musulman de 34 ans (!), né de parents indiens (!!) en Ouganda (!!!)… et qui est un communiste/tiers mondiste décomplexé.

Il y a une parfaite continuité, une montée en puissance évidente.

Ajoutons un élément qui échappe comme d’habitude aux crétins européens : Mamdani a été CONSIDERABLEMENT aidé par les super donateurs du parti Démocrate et leurs relais financiers (Soros, et autres milliardaires californiens dégénérés, etc.). La moitié des donations pour sa candidature venait de l’extérieur de l’état de New York, prouvant l’existence d’un mouvement national et d’une organisation.

Mamdani n’est donc pas un accident, mais bien l’aboutissement d’un processus.

New York est une grande ville. Et Allah est grand aussi. Mamdani dans son habit d’apparat avec ses coreligionnaires.
Mamdani dit qu’il n’aime pas les milliardaires… Mais il y a des exceptions. Par exemple le fils ultra-radical de Soros. Inch Allah ! Dieu reconnaîtra les siens !

Les Etats-Unis sont en réalité désunis. C’est la manifestation physique du déclin de l’empire de l’Ouest. Les divisions, les tensions internes augmentent, inexorablement et dangereusement.

Jusqu’aux fractures.

Les classiques commentaires mous de la presse française, font rire (exemple avec le FigaroMamdani triomphe à New York mais le parti recentre son message ailleurs” !)

Difficile d’atteindre un tel niveau de bêtise ou de veulerie.

Revenons au réel : les Etats-Unis ne peuvent pas poursuivre leur domination mondiale alors même qu’ils se fracturent intérieurement.

C’était la principale gageure pour Trump : négocier au mieux la fin de l’imperium, le repli sur soi (nécessaire historiquement) ainsi que la purge de l’état profond, comme on négocie un virage dangereux sur une route sinueuse. Une tâche immense. Et il échouera sans doute (sur ce front, le seul qui compte).

Les Républicains risquent de perdre les élections de mid-terms (dans un an) ce qui neutralisera la fin du mandat présidentiel. Pire : Trump sera immobilisé par des procédures d’impeachmentIls ne le rateront pas.

Vance jouissait jusqu’à aujourd’hui d’une bonne dynamique. Il pourrait faire la différence en 2028… s’il revient avec le credo “America First” et s’il s’y tient (cette fois).

Dans le cas contraire (bêtises ukrainiennes, délires israéliens et iraniens, imbécilité taïwanaise, farce vénézuélienne et plus largement obsession pathologique du “We come in peace” à coups de bombes), il sera balayé… Et le pays repassera aux mains du parti Démocrate, mais cette fois encore plus fanatisé, haineux et revanchard qu’en 2020.

Bref, les indices sont nombreux : le verdict de l’Histoire semble déjà rendu.

En termes géopolitiques, il suffit à Pékin et Moscou de jouer la montre. Car, concrètement, ils ont DEJA GAGNE.

Comme souvent, on informe les perdants en dernier.

Dans quelques années, les Etats-Unis ne représenteront plus une menace pour le monde… Leur passage en seconde division sera acté. Et ils sombreront dans des luttes intestines perpétuelles, de plus en plus violentes, chaotiques.

Donald Trump n’aura été ainsi qu’une sorte de parenthèse étrange dans un inéluctable processus historique de décomposition

Comme les derniers feux d’une formidable et lointaine étoile… mais qui -lorsqu’on l’observe- est en réalité déjà morte.

“What kind of American are you ?” (fulgurance extraite de film Civil War, sorti en 2024). La voilà la fracture -terrifiante- que personne en Occident ne veut voir.
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Gendarme, juge, bourreau et infirmière du monde : Trump dans le piège

America First incarnait le retour de l’intelligence américaine. C’est hélas terminé.

“Arrêtez de « favoriser l’échec » à Gaza : Vance, en Israël, fustige les médias occidentaux”

Source : https://www.zerohedge.com/geopolitical/stop-rooting-failure-gaza-vance-israel-lambasts-western-media

Le vice-président américain débarque en urgence en Israël… car le fameux “plan de paix” est en train de prendre l’eau.

Ou plutôt le sable.

  • Le Hamas fout le bordel à Gaza (avec des sessions très opportunément filmées et diffusées ensuite dans le monde : exécutions de “collaborateurs” et même tortures… avec dislocation de genoux à coups de barre de fer !).
  • Israël bombarde (un peu).

Tous les Trump haters, les gauchistes, les néocons et les médias… SOUHAITENT l’échec américain.

C’est une évidence y compris bien entendu, le cinglé Nettanyahou. Il jouit de pouvoir dire au président : “je te l’avais bien dit, les Palestiniens sont des animaux, il n’y aura jamais de paix“.

Mais plus largement, il est important de souligner que cette question (paix possible ou pas)… démontre le PIEGE dans lequel Trump tombe.

A force de se présenter comme le faiseur de paix, le gendarme, le juge, le bourreau et l’infirmière du monde… Trump prend le risque de se couvrir de ridicule. Et surtout de flinguer sa présidence.

Imposer la paix entre Inde et Pakistan ou Thaïlande et Cambodge… c’est FACILE.

Mais l’échec est cuisant en Ukraine et probable à Gaza.

Voilà le piège grossier. Les mois passent et Trump se débat à l’intérieur.

Les Américains NE LUI PARDONNERONT PAS.

Les Etats-Unis n’ont rien à gagner avec Gaza ou l’Ukraine, bien au contraire.

America First devait mettre un terme à cette folie. Ils ont été élus grâce à cela.

Hélas, Trump et son entourage agissent de manière irrationnelle depuis leur entrée à la Maison Blanche.

Leur diagnostic pré-électoral était parfait (relisez les discours de Trump et ceux de Vance).

Dès janvier 2020, hop, retour de l’hubris impérial.

Et pendant ce temps, la Chine n’en finit pas de rire de voir son ennemi dépenser son temps, son énergie, ses moyens sur des dossiers totalement absurdes (et même stratégiquement contreproductifs, face à la Russie).

L’asymétrie est flagrante, une fois de plus.

Pendant que Trump, son VP, ses ministres courent d’un avion à un autre, d’une réunion à une autre (passer des heures avec des crapules comme Zélinsky ou Nettanyahou on se pince, c’est ahurissant !!!)… la Chine -elle- TRAVAILLE.

Elle réfléchit, produit, investit, recherche, construit… Elle est concentrée sur ses objectifs et la préservation de ses intérêts vitaux.

La Chine n’est pas distraite.

Le constat est terribe : les Etats-Unis sont bel et bien un empire déclinant… c’est leur stupidité qui le démontre.

“Franchement, y’a des matins, je me dis que c’est vraiment trop facile de se battre contre les Etats-Unis”
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Qui sera le candidat mandchou en 2027 ?

Laid. N’attire pas la ménagère de moins de 50 ans.

Les comploplos affirment que le Système a choisi Raphaël Glucksmann pour succéder à Macron, avec la présidentielle d’avril 2027.

Soit le parfait “candidat mandchou” (si vous êtes un jeune acculturé ou malculturé, lire ici).

J’aime bien les comploplos. Ils sont intelligents mais parfois encore un peu naïfs.

Sur le papier, certes, l’animal coche quelques bonnes cases : positionnement “socialiste” neuneu, écolo-gogo mou, pro-Ukraine fanatique, pro-américain suintant et anti-France pathologique.

Sauf que -et il est étonnant de devoir le rappeler- Raphaël Glucksmann est juif.

Et ça, dans la France islamisée, pardon tiers-mondisée, pardon “créolisée” (copyright Mélenchon)… c’est ce qu’on appelle un gros passif.

En clair : une impossibilité pour un scrutin uninominal majoritaire national à deux tours.

L’idée de faire voter les millions de franco-musulmans pour un candidat juif au 2ème tour de l’élection présidentielle de 2027 est plus qu’hystérique.

(Inutile de préciser que la proposition opposée… c’est-à-dire un candidat musulman élu, est toute aussi impossible… POUR LE MOMENT… Symétrie évidente mais qui se dissout dans la durée).

Combien de fois faudra-t-il répéter cette évidence ?

Le grand remplacement démographique a FORCEMENT des conséquences électorales (entre autres).

Cela vous défrise ?

Cela vous attriste ?

Vous pensez que c’est injuste ? Que c’est antisémite ?

Suck it up et inch Allah mes chéris. C’est trop tard. Fallait réfléchir avant.

L’épouse de Raphaël Gkucksmann, la pseudo journaliste franco-libanaise, Léa Salamé, constitue également un passif.

Même la CGT à France 2 ne peut pas la sacquer, c’est dire ! On perçoit immédiatement l’entre-soi rive gauche canal historique. Cela ne passe plus du tout chez les prolos. C’est terminé.

Pour résumer : ce couple sent mauvais.

Il est difficilement vendable sur papier glacé.

Il n’est pas banquable.

Glucksmann, en réalité, c’est la bonne poire qu’on envoie au casse-pipe et qui finit avec 13,8 % des suffrages… à un scrutin de liste… pire encore… à une élection européenne (interdit de rire).

Nous sommes donc très, très, très loin des 50 % plus une voix pour remporter l’élection suprême de la cinquième raiepoublique.

En outre, les casseroles de Glucksmann sont bien trop voyantes : son job pour un dictateur d’opérette (Géorgie), son ex-épouse (occupant des fonctions ministérielles en Ukraine, en Géorgie !)… Même pas besoin de relayer des rumeurs autour de la CIA ; ce type est de facto un agent de l’étranger.

Bref, il est tricard.

Même Mimi Marchand et ses copines chargées à la poudre colombienne pure à 275 % seraient incapables de travestir de tels dégâts.

Dernier point, oui cela compte aussi : il n’est pas beau. L’alopécie, c’est rédhibitoire.

La ménagère de moins de cinquante ans n’est certainement pas attirée. Et encore moins émoustillée.

Alors ? Qui sera le candidat mandchou ? Qui ? Mais qui ?

Le môme gay Attal ? Grotesque. Le chauve pathogène Edouard Philippe ? Repoussant lui aussi et politiquement carbonisé.

Alors Dirty Harry ? Casimir ? James Bond ?

Les gars, vous devez faire un effort d’imagination.

Le candidat que le Système vous imposera en 2027… sera bien entendu… une femme !

Forcément.

Une étoile filante. Sortie de nulle part, du moins aux yeux du grand public (comme Macron).

Elle sera jeune (mais pas trop), jolie. Voire même sexy .

Parfait contrepied face à Marine Lepen (qui est empâtée, pas avenante) et la galerie des über laiderons politiques (la poissonnière Martine Tonnelière, la catcheuse Dany Obamao sans oublier la déconstruite Sardine Ruisseau).

Son positionnement idéologique ?

Celui de Marie-Ségolène Royal qui était en avance sur son temps (face à Sarkozy, le 16 mai 2007, elle obtint quand même 16,79 millions de votes !)

L’ordre juste, le parler vrai.

Le côté maîtresse d’école (ou maîtresse tout court, avec le fouet), dure mais juste à la fois.

Voilà l’arme absolue, dans l’air du temps.

Elle conjuguera Janus au féminin.

Elle saura à la fois mater les émeutes et ramener le calme à coups de matraque (ordre) mais aussi soigner et consoler les veaux meurtris (justice, le “care“).

Pour synthétiser :

La grenade LBD 40 et le pansement.

Le CRS nazi et l’infirmière qui sent bon le savon de Marseille.

En clair : la putain et la môman.

Qui mieux qu’une femme peut incarner cette dualité ?

L’excellente Florence Foresti avait d’ailleurs parfaitement analysé ce profil dès 2006. Cliquez ici pour rire une bonne tranche

“J’aime tous les jeunes. Viscéralement. Je kiffe les rebeus. Je kiffe les renois. Je kiffe ma race”.

On en riait en 2006. En 2027, cela deviendra très sérieux.

En clair : une Margaret Thatcher en string brésilien incendiaire, et avec une poitrine agressive.

La Dame de fer ? La Dame des érections de fer plutôt ! Des décennies plus tard, on apprend que Maggie… eut  de belles aventures extraconjugales. Si, si.

Sa sexualité demeurera d’ailleurs un brin mystérieuse… floue… comme celle de Manu, l’adolescent aussi détourné que retourné.

Elle en jouera bien sûr.

Dans les dîners parisiens, on privilégiera l’hypothèse bisexuelle… De quoi exciter à la fois les hommes et les femmes (par opposition au lesbiannisme hideux d’Elisabeth Borne, sans oublier l’homosexualité façon médaille en chocolat du gamin Attal).

Le scénario est cousu de fil d’or.

Et de manière assez ironique, il fut éventé il y a longtemps déjà par un certain Jacques Attali (“un pays est un hôtel“, l’essence même du traître).

Sauf qu’il y a eu maldonne. Les gens n’ont pas compris à l’époque.

On a cru qu’il parlait de Marine Lepen pour le scrutin de 2022 ! 😉

La boulette.

“Vous montez mes chéris ? Je vais bien m’occuper de vous…”