Categories
Saloperie et sida mental

La guerre des boutons ou la guerre des drapeaux

“Roger ! Là ! Un drapeau ukrainien, vaz-y shoote le ! Oh bon dieu, derrière, un drapeau palestinien, tire j’te dis !”

Le drapeau est au patriotisme ce que le chasseur est à la galinette cendrée ; il y a des bons drapeaux et des mauvais drapeaux.

Décembre 2024

Le tribunal administratif de Versailles interdit le drapeau ukrainien sur le fronton de la mairie de St-Germain-en-Laye… Le tribunal rejette l’argument selon lequel il s’agirait d’une opinion politique. C’est un “signe de solidarité“. Il motive sa décision car le maire n’a pas reçu l’autorisation préalable de son conseil municipal. Un simple citoyen était à l’origine de cette action. (source)

“Mettre un drapeau ukrainien sur la façade d’un bâtiment public n’est pas une revendication politique ; c’est un symbole de solidarité envers une nation victime d’une agression”

Conclusion : le drapeau ukrainien est sur le fond un bon drapeau.

13 juin 2025

Le maire de Saint-Denis place le drapeau palestinien sur le fronton de la mairie.

Le préfet envoie immédiatement un courrier pour exiger son retrait. (source)

“en application du principe de neutralité des services publics”.

Conclusion : le drapeau palestinien est un mauvais drapeau.

19 juin 2025

Christian Estrosi refuse de retirer le drapeau israélien de la façade la mairie de Nice… qu’il a installé en octobre 2023.

Le préfet a écrit le 17 juin un courrier pour réclamer le retrait, en vain. (source)

Conclusion : le drapeau israélien est un (très) bon drapeau.

Bref, la conclusion des conclusions s’impose : tous ces clowns, quelles que soient leurs allégeances, leurs névroses, leur histoire personnelle… ont un point commun, une obsession commune : afficher leur vertu (supposée, fantasmée).

Le législateur se garde bien d’intervenir et les juges suivent l’air du temps… comme des clébards.

La loi devrait être revue et précisée pour INTERDIRE TOUS LES DRAPEAUX AUTRES QUE LE DRAPEAU FRANCAIS SUR LES BATIMENTS PUBLICS.

Voilà, ce serait carré et du bon sens.

Si tel ou tel clown se sent obligé d’afficher sa vertu… il en a le droit mais chez lui, dans le domaine privé… absolument pas sur ou dans des bâtiments publics.

L’argument utilisé par ces émotifs est toujours identique : “mon émotion est supérieure à la tienne“, “ma cause est meilleure que la tienne“.

Non.

Ce pays s’appelle la France et ne possède qu’un seul drapeau.

Les drapeaux étrangers qu’ils soient ukrainien, israélien, palestinien, LGBT, ou même celui des aliens de la planète Jupiton, n’ont pas leur place en France.

En attendant cette clarification nécessaire, ces manifestations de névroses et d’hypocrisie continueront de polluer l’espace public et d’exposer les contradictions internes d’un système politique et social à bout de souffle.

Le drapeau de la connerie, hélas, lui, ne se rend jamais.
Categories
Saloperie et sida mental

Rage américaine : vers un Maïdan 2.0

Le “cri primal” de Jessica lors de l’investiture de Trump en janvier 2017 est devenu célèbre. Symbole d’une maladie mentale naissante… Mais huit ans après… il y a des MILLIONS de Jessica. Et certaines sont désormais prêtes à TUER.

L’extraordinaire victoire électorale de Trump a enragé ses opposants.

Radicalisation évidente qui contamine même les Européens, pourtant d’habitude mous voire ectoplasmiques.

La réalité de la guerre civile américaine ne peut plus être niée.

Certes, Trump a écrasé l’état profond en novembre… Mais, Kamala Harris a malgré tout recueilli… 75 millions de votes. Même avec un peu de triche ici ou là (les Démocrates ne peuvent s’en empêcher) cela demeure un bloc MASSIF.

Et pour voter pour une telle dinde (incompétente et idiote)… il fallait vraiment une grande motivation… en réalité une haine incandescente pour Trump (“tout sauf lui“).

Cette radicalisation ne s’est pas manifestée subitement au lendemain du 5 novembre 2024.

Elle a débuté en réalité dès le premier mandat de Trump (sa victoire surprise en 2016). D’abord par le haut, avec les élites qui ont tout essayé -littéralement – pour éliminer politiquement Orange Man Bad.

Très vite, le poison commença à agir et à se répandre “en bas” aussi.

Avance rapide 2025. On se retrouve aujourd’hui avec des illuminés qui s’attaquent… à des voitures (Tesla)… et qui appellent ouvertement au meurtre de Trump et de ses supporters. Le plus naturellement du monde, si l’on ose dire.

Toutes les barrières morales ont sauté.

La haine de Trump et de ses électeurs emporte tout, tel un tsunami.

Nous sommes passés d’une pathologie mentale (cheveux bleus, transgenrisme, transitionnisme, écologisme, xénophilie fanatique, obsession pour la sexualité des enfants, etc.)… à une rage incendiaire ; un rejet en bloc, viscéral, total.

Quid du futur ? Je vous livre mon intuition (et vous connaissez bibi, je vise souvent juste).

Des émeutes éclateront avant les mid-terms (élections législatives de “mi-mandat”, en novembre 2026).

Le format ? Celui de Black Live Matter, opération téléguidée par l’état profond en 2020 et qui rentrait dans le cadre du coup d’état contre Trump 1 (avec bien entendu le “Covid”, les élections bidonnées grâce aux millions de votes par correspondance, etc.).

Des manifestations d’abord “pacifiques” qui deviendront rapidement violentes.

Puis… surgira le “moment Maïdan” (du nom de l’opération menée à Kiev début 2014, avec le soutien des Anglo-Saxons, pour renverser le pouvoir pro-russe).

Le principe ?

Des individus cachés tirent sur une foule de manifestants.

On ne les voit pas, on ne sait pas qui ils sont.

Confusion. Le sang coule. Des femmes et des enfants tombent sous les balles.

Images diffusées en temps réel sur toutes les chaînes de télévision. Et sur TikTok en boucle.

Rage des survivants. Outrage des spectateurs.

Des trumpistes voire même des forces de l’ordre (flics, garde nationale, agents du FBI ou du Secret Service en civil) seront inévitablement accusés.

A côté, la pseudo émeute du “6 janvier” (manif au Capitole, pathétique traquenard tendu aux trumpistes) paraîtra comme une aimable réunion Tupperware se déroulant dans un Ephad un dimanche après-midi (après l’émission de Jacques Martin… les jeunes ne peuvent pas comprendre).

Trump réagira forcément et fortement… répression… provoquant encore plus de blessés (voire de morts, bavures, etc.) et encore plus de colère haineuse.

Avec un peu de chance, de véritables patriotes, excédés, eux aussi commenceront à manifester, à organiser des ratonnades contre les gauchistes (“antifas”), voire tireront carrément dans le tas.

Il y aura immanquablement l’image des asiatiques… ouvrant le feu sur des noirs pour protéger leurs maisons ou business.

Cette image -indépassable- alimentera la division raciale (les connoisseurs auront bien entendu reconnu les émeutes de 1992 à Los Angeles avec les fameux “Coréens sur les toits”).

Le principe est de créer un tsunami de colère, d’émotions chez les “centristes”, ceux qui ne votent pas, les “indécis”, les femmes, les autorités religieuses, etc. Et monter toutes les communautés les unes contre les autres (pas difficile chez l’Oncle Sam).

Et ensuite, les élections suivront.

Si l’opération est bien menée… alors les Démocrates pourraient remporter une large victoire et devenir majoritaires au Congrès (voire au Sénat) par réaction (“contre les violences de l’état fasciste de Trump“).

Ce coup d’état mettrait un terme à la présidence impériale de Trump. Et débouchera ensuite sur son impeachment

Bref, si on exclut d’autres scénarios (du type “pandémie” comme le “Covid”, guerre chaude contre l’Iran par exemple, assassinat de Trump)… le Maïdan 2.0 est le seul moyen pour l’état profond de reprendre la main.

Voilà pourquoi, sa probabilité est très élevée (quasiment 100 %, en revanche sa réussite n’est pas garantie).

Ce plan est d’autant plus facile à mettre en oeuvre que… la rage est DEJA LA.

Partagée par des millions d’Américains.

Il suffit d’une allumette.

Et d’un ordre venu d'”en haut”.

Mémoire poisson rouge… Vous avez déjà oublié 2020… En plus du Covid… on a eu aussi Black Live Matter…
Les chorégraphies ont déjà été mises au point. Il faudra simplement changer les costumes (ici au premier plan… la crapule Nancy Pelosi)… Tout recommencera.
Categories
Saloperie et sida mental

Immigration : quand le droit devient gauche

Benny Hill était anglais… Voilà pourquoi chez la Perfide Albion, immigration et droit font mauvais ménage…

Face à l’invasion migratoire, nos systèmes juridiques et nos lois sont détournés, instrumentalisés. Pire même : tournés en ridicule.

Je me suis livré à un petit exercice, fort simple, basé sur la lecture quotidienne du DailyMail (second plus gros tirage de la presse britannique), durant un mois et demi.

Le but du jeu ? Relever les histoires aberrantes liées au droit de l’immigration et à son détournement (souvent via la convention européenne des droits de l’homme).

VIOLEUR DEPRESSIF

Un violeur roumain, condamné pour viol en Grande-Bretagne, recherché en Roumanie, évite l’expulsion en expliquant au juge que cela serait “injuste” car cela aggraverait son stress post-traumatique lié à un précédent séjour en prison en Roumanie durant lequel il fut “abusé” (18 mars).

CA PIQUE

Une femme née à la Grenade (Caraïbes), vivant illégalement en Grande-Bretagne, affirme qu’elle ne peut pas être expulsée car son mari -d’origine lettone- ne serait pas capable de supporter… la nourriture épicée (cuisinée sur l’île de la Grenade) (15 février).

E.T. NE PEUT PAS PHONE HOME

Un Irakien clandestin évite l’expulsion en expliquant qu’il a perdu son téléphone et sa carte d’identité et qu’il ne se souvient plus des numéros de sa famille ce qui l’empêcherait d’entrer en contact avec eux, une fois de retour en Irak (23 mars).

TROP OCCIDENTAL

Un trafiquant de drogue irakien, emprisonné pour 5 ans, ne peut pas être expulsé selon le juge car il est devenu entre temps trop “occidentalisé“… ce qui serait mal vu et provoquerait le “soupçon” dans son pays natal (3 mars).

POETE EN MAL D’INSPIRATION

Un trafiquant de cocaïne d’origine jamaïcaine, condamné à 13 reprises (vivant illégalement au UK depuis 2001)… affirme que ses droits seraient violés s’il était renvoyé dans son pays, car cela endommagerait sa carrière de “poète” et qu’il ne trouverait pas de travail. Son appel a finalement été rejeté (financé par les contribuables). Cinq ans après (le premier ordre d’expulsion), il vit toujours au UK (26 mars).

L’ALCOOLIQUE

Un Pakistanais pédophile était en prison pour de multiples agressions sexuelles. A sa sortie, il a agressé une adolescente. Ordre d’expulsion. Appel citant la convention européenne des droits de l’homme. L’homme explique que son expulsion le mettrait en danger (“traitement inhumain ou dégradant“) à cause de son… alcoolisme. Car la consommation d’alcool est interdite au Pakistan. Il a gagné son appel (26 mars).

ROLE DU PERE

Un trafiquant de drogue albanais, condamné à 3 ans de prison pour avoir créé une “ferme à cannabis”, est parvenu à éviter l’expulsion en expliquant que sa fille serait privée de “modèle du père“. Toujours au nom de l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme (“respect de la vie de famille“) (5 mars).

Note : ce cas est emblématique. Il suffit donc que n’importe quel criminel étranger, vivant illégalement sur le territoire national, ait un enfant né au UK… pour devenir de facto INEXPULSABLE.