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Saloperie et sida mental

En accompagnement de la dinde : Tampon Tim

Je vous présente Kamala Harris, candidate à l’élection présidentielle américaine…

Kamala Harris, dite la Dinde, a choisi son partenaire, son vice-président.

Tim Waltz, gouverneur de l’état du Minnesota.

Je sais, c’est pointu. 😉

Et ce n’est certainement pas la presse française qui vous expliquera qui est cet homme puisque pour Libé, Le Monde, BFMerde, LScie et tous les autres, Kamala est la réincarnation de Jésus, du Dalaï Lama et d’Einstein (avec aussi Marie Curie), tout à la fois ; une synthèse.

Je vous donne un indice.

Trump a immédiatement réagi sur son réseau social… en publiant un seul mot : “merci“. 😉

Deuxième indice : on surnomme Tim Waltz… “Tampon Tim“.

Car en mai 2023, le gouverneur a signé une loi… pour mettre à disposition des tampons et serviettes hygiéniques dans les toilettes de toutes les écoles publiques… Y COMPRIS LES TOILETTES POUR GARCONS… à partir du “grade 4”, c’est-à-dire neuf ans.

Cette loi est entrée en vigueur le 1er janvier 2024.

Non, il ne s’agit pas d’une fake niouze créée par des militants trumpistes adorateurs de Poutine, transophobes et racistes.

Les Démocrates présentent cette loi comme un moyen de  lutter contre “la pauvreté menstruelle“.

Leur argument ?

Les collégiennes et lycéennes pauvres ne peuvent pas acheter des tampons et donc elles ratent l’école, et donc c’est trop horrible (égalité des chances souillée de sang et foulée aux pieds) et donc l’état doit y remédier.

Pourquoi pas ?

Cela respecte les canons étatistes et sociaux de la gauche. On est des deux mains et des deux pieds dans le fameux “care“.

L’état-nounou. L’état-maman.

Après tout, le “Big government” commence avec les serviettes hygiéniques ! From the bottom to the top !

Mais… la névrose transodélirante se greffe désormais sur la plupart des idées “sociales” des Démocrates… D’où le coup des toilettes pour garçons.

Car pour ces gens, dire que seules les filles menstruent c’est discriminatoire. 😉

Et même carrément transophobe.

Donc des tampons gratuits d’accord… mais aussi pour le sexe fort, pardon pour les garçons !

Posons la question qui tue : dans le Minnesota chaque année, combien de collégiens et de lycéens (de sexe mâle) font leur “transition” pour devenir (pardon pour prétendre devenir) des filles ?

Quelques uns ?

Le Minnesota compte au total 5,7 millions d’habitants.

On voit bien l’autre versant de la folie gauchiste : c’est virtuel. Tout est virtuel. Leurs obsessions s’appliquent à… PERSONNE ! En gros.

Et pour “personne”… ils veulent absolument déconstruire, violer, violenter, avilir, humilier l’écrasante majorité de la population.

La démence “minoritaire” atteint son paroxysme : un seul individu devient une “minorité” qu’il faut ensuite opposer à tous.

En dernier ressort, pour défendre le gouverneur, vous allez me dire : ce jour-là, il était bourré, il n’a pas réellement compris ce qu’il signait. 😉

Pas de bol. Car en 2023, Tampon Tim s’est illustré avec un ordre exécutif (et une loi est en préparation)… faisant de son état un “état refuge” pour les transdingos !

L’idée ?

Offrir une protection aux enfants, parents, et “providers” (médecins) qui seraient dans un processus de “transition” (gender affirming health care, selon l’expression grotesque et orwélienne, car cela n’a rien d’un acte de soin) et qui seraient poursuivis à ce titre dans un autre état, un état dirigé par les Républicains bien entendu, un état méchant.

Il s’agit bel et bien d’une obsession qui tel un virus  contamine toute l’action publique de la gauche américaine.

Tim Waltz sert cette obsession, fidèlement et avec zèle. Un parfait apparatchik.

Et voilà pourquoi les Démocrates l’ont désigné (car il est inutile de préciser que la Dinde, la pauvre, n’a rien choisi du tout…).

Erreur stratégique.

Il fallait désigner pour le “ticket” un centriste (il en reste quelques-uns au sein du parti)…

Un type qui aurait rassuré les modérés et les électeurs  “indépendants”.

Un politicien qui aurait pu dissimuler, ou disons contre-balancer le gauchisme radical de Kamala Harris et de ses complices (Obama, Pelosi etc.).

Les Démocrates, enflés par leur hubris, ont en définitive sélectionné un homme à leur image : idéologue, buté, borné et complètement dérangé.

Un homme dont finalement la seule qualité, vue de l’extérieur, est de plaire au Washington Post, au New York Times, et à quelques milliardaires dégénérés et stars du cinéma.

Ce ne sera sans doute pas suffisant pour remporter l’élection de novembre prochain.

Aïe ça fait mal ! Tampon Tim s’est trompé de trou !
POST-SCRIPTUM-COITUM

On peut, on doit encore enfoncer le clou.

En 2023, Leigh Finke, un député transgenre du Minnesota (le premier de l’état, youpi !) a présenté une loi, le “Take pride act“… redéfinissant l’expression “orientation sexuelle” (source).

Hein ?

Oui, avant, le Minnesota s’appuyait sur une définition légale sans équivoque : l’orientation sexuelle EXCLUAIT L’ATTRACTION PHYSIQUE POUR LES ENFANTS, en clair la pédophilie.

C’était carré.

Mais… insupportable pour les transdingos et leurs amis radicaux gauchistes ou cinglés sexuels. D’où la nouvelle loi qui a supprimé cette précision…

Et ce texte -totalement malsain- est devenu loi quand il fut signé en août 2023 par… le gouverneur, le fameux Tampon Tim.

Vous la voyez la filiation si j’ose dire ?

Le futur partenaire de Kamala Harris, et éventuellement futur vice-président des Etats-Unis, aurait pu envoyer le député transdingo et ses névroses sexuelles aux fraises et dans sa niche.

Non.

Il a signé cette monstruosité.

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Jeux olympiques : on me dit qu’il y a eu une cérémonie d’ouverture

Fête de la musique 2018. Palais de l’Elysée.
Fête de la musique 2018. Palais de l’Elysée.

Pour celles et ceux qui auraient oublié : https://www.leparisien.fr/politique/macron-avec-des-danseurs-a-l-elysee-une-photo-qui-continue-a-faire-du-bruit-23-06-2018-7789650.php

Formellement, rien n’a donc changé.

Et le programme n’a pas évolué d’un iota.

Pour les poissons rouges qui auraient une fois de plus tout oublié… on rappelle sa substantifique moelle :

Encore trois ans à tirer…

Minimum…

Car pépère trouvera bien un moyen de continuer à vous pourrir la vie… par l’entremise de sa… euh… descendance (citons Gaby Le Branleur, mais hélas il y en a d’autres) ! 😉

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C’est fait : le New York Times pousse Joe Biden sous le déambulateur

“Comment je m’appelle ? Où suis-je ?”

Jeudi, lors du premier débat télévisé contre Trump, Joe Biden a perdu, en 1h30, toute crédibilité en tant que candidat à sa propre réélection en novembre prochain.

Reformulons : les observateurs sincères de la vie politique américaine savent depuis… 2 ans que Biden a subi un déclin cognitif sévère et qu’il n’est plus apte à occuper la Maison Blanche… et a fortiori d’y rester 4 années supplémentaires !

Cette évidence –qui se voit, s’entend– fut pendant 2 ans… combattue, niée par les médias, les commentateurs proches des Démocrates et bien entendu par toute l’administration américaine sans oublier les proches de Biden (à commencer par son épouse, véritable criminelle).

Mais jeudi soir… tout a brutalement changé.

La campagne de Trump a synthétisé le débat… en 95 secondes.

Et ces secondes sont extrêmement brutales. Violentes.

La non assistance à personne en danger, ainsi que la maltraitance de personne âgée… s’étalent sur grand écran, en “direct live” comme disaient les jeunes (désormais vieux).

Sans oublier la phrase assassine de Trump… comme quoi il ne sait pas ce que vient de dire Biden !

Il aura fallu attendre… exactement 24 heures pour que l’hallali soit officiellement sonné.

Et ici, il s’agit bien entendu du New York Times… le célèbre quotidien américain qui tient le haut du pavé de la moralitude, de la moraline, de la justice, du bien, du beau.

Le New York Times c’est la Bible de la bienpensance, le Kama Soutra des gauchistes, le Petit Livre Rouge des constructivistes, les Dix Commandements des dégénérés.

Mais le New York Times c’est surtout… la voix de son maître (l’état profond américain, le clan Obama etc.).

Le comité de rédaction du prestigieux journal américain New York Times a appelé vendredi le président Joe Biden à se retirer de la course à la Maison-Blanche après son calamiteux débat la veille face à Donald Trump.

Dans un éditorial publié vendredi soir et intitulé «pour servir le pays, le président Biden doit quitter la course» à la Maison-Blanche, le New York Times a décrit Joe Biden comme étant «l’ombre d’un dirigeant», après que le président de 81 ans a «échoué à son propre test». (Le Figaro)

Le maître a donc parlé. Le Verbe fut.

Joe Biden est ainsi poussé sous le bus. Ou plutôt sous un déambulateur, voire un fauteuil roulant.

Toutes les troupes reçoivent le message 5/5 (seuls quelques malades mentaux continuent d’y croire et de jouer la comédie).

Sous la pression de sa garce d’épouse, mais aussi de son propre délire cognitif, l’entourage de Joe Biden a affirmé qu’il ne se retirerait pas

Mais c’était AVANT l’édito du New York Times… 😉

Joe Biden (1942-2024)

Que va t-il se passer maintenant ?

Une simple… urgence médicale.

Une mauvaise chute, un mauvais virus, une mauvaise pathologie.

Joe Biden, hospitalisé, pourra alors se retirer en sauvant la face.

De l’autre côté, le remplaçant a déjà été choisi. La machine Démocrate tournera à plein régime jusqu’à la  convention du parti mi-août. On peut s’attendre à un torrent inouï de propagande.

Le remplaçant (ou plutôt la remplaçante) de Biden sera alors propulsé, mieux encore que la fusée géante Space X de Elon Musk.

Littéralement placé en orbite. Il ne manquera plus que le “bip bip” façon Spoutnik, et le “Houston, do you copy ?” d’Apollo.

C’est la seule chance, la seule narration possible pour éviter la catastrophe absolue (pour eux) : le retour de Trump à la Maison blanche.

Au-delà de l’état de décrépitude de Joe Biden, il faut souligner l’autre éléphant dans la Maison blanche : le bilan désastreux.

Voilà pourquoi… nous assistons à une mise en scène (le débat sur CNN… dont la date fut fixée très en avance par rapport à la tradition… voilà bien une preuve flagrante qui expose le plan du parti Démocrate…).

Remplacer Joe Biden est le meilleur moyen de se débarrasser du terrible bilan !

Nommer au dernier moment un autre candidat c’est l’équivalent politique de la Vierge Marie.

Toute l’opération est en réalité décidée et paramétrée depuis de nombreux mois.

Si la candidate Vierge Marie échoue, si la psyop ne prend pas… alors il restera la dernière carte à jouer, très, très risquée, incendiaire même : l’élimination physique de Donald Trump.