Depuis le début de la covidémence, on nous bourre le mou : “seule planche de salut pour sauver la planète, l’humanité, les animaux, l’univers : les vaccins”.
D’accord.
Les vaccins sont enfin arrivés… Mais bien entendu… l’histoire a changé.
L’OMS lâche le morceau.
Alors que plus de 1,9 million de personnes sont décédées dans le monde depuis le début de la pandémie, il y a un an jour pour jour, l’OMS prévient que, malgré le développement des vaccins, l’immunité collective ne sera pas atteinte en 2021.(source Le Figaro)
Passons outre le fait qu’il s’agit de patascience, puisque aucune étude n’est capable de déterminer cette fantasmatique “immunité collective“, expression clé que la propagande répète sur les plateaux de TV ad nauseam.
Les crétins prennent un air profond en évoquant des pourcentages… mais ils n’en savent rien, en réalité.
Patascience, patacommunication, patapensée.
En revanche on comprend bien le message et la volonté derrière : la covidémence continuera jusqu’à fin 2021, et bien entendu au-delà.
Fin 2021 on nous annoncera que le mutant… a muté, ou que la variant a varié, et qu’il faut donc revacciner la planète entière.
L’adolescent perturbé de l’Elysée s’en donne à coeur joie.
Et se lance des fleurs, au propre et au figuré.
La crise n’impacte visiblement pas tout le monde de la même manière. Alors que la pauvreté explose dans le pays, que l’État a plus que jamais besoin de ses deniers pour contenir les effets économiques et sociaux désastreux de la crise sanitaire, Emmanuel Macron, lui, explose le plafond du budget fleurs passant de 134.000 euros hors taxe en 2015 sous François Hollande à… 600.000 euros en 2020. (source Politis)
Alors même que le palais de l’Elysée est bouclé pour cause de terrible pandémie (plus de grandes réunions, moins de visiteurs).
Macron vous conchie. Et en est fier.
Une pensée émue à tous les crevards qui ne peuvent plus travailler, qui ont tout perdu, qui sont lessivés par la covidémence et les actions de Macron et de ses complices…
(ps : le scandale est même repris par la presse étrangère ! Exemple : le DailyMail).
POST-SCRIPTUM
Vous allez me demander : quel rapport avec la choucroute couillonavirale ?
Nous avons accepté l’inacceptable. Nous avons intégré l’irrationnel et l’absurde dans nos vies.
Parlons covifatigue.
Ou “la grenouille dans la casserole d’eau chaude”.
Ou encore “On s’habitue à tout, même à ce que l’on n’acceptera jamais”.
Voire -et là je balance du lourd, poussez-vous – Dostoïevski : 😉
Un être qui s’habitue à tout, voilà, la meilleure définition qu’on puisse donner de l’homme.
J’ai pris l’avion récemment, court et long courrier.
Puis, j’ai vu ce photo-montage quelque part sur les réseaux.
On rit bien entendu, forcément comme disait notre chère Marguerite.
Mais on doit aussi en faire une analyse plus sérieuse, plus sinistre.
Car c’est la toile de fond de la covidémence : l’habitude enfoncée dans nos gosiers grâce à toutes ces petites absurdités.
Ces absurdités provoquent littéralement des courts-circuits psychiques qui nous affaiblissent, très rapidement.
Nous nous habituons donc, nos réactions (immunitaires pour le coup) s’émoussent et finissent par céder.
C’est ainsi que le nouveau “normal” est créé. Une succession de petites agressions qui violent la Raison, qui piétinent le bon sens.
Et concrètement un an après (posez-vous la question, pratiquez l’introspection), voilà où cela nous mène… on commence à parler de troisième confinement.
L’opération médiatique a débuté… et… bof… on l’a intégré… On proteste un peu, mais sur la forme.
Autre illustration : le couvre-feu, totalement absurde.
Cette mesure devrait nous révolter, d’une manière adamantine, brutale même.
Or nous en sommes réduits à constater qu’on le passe de 20 h à… 18h dans tel ou tel département. Là encore, on proteste mais mollement.
On fait avec.
Au lieu de parler du fond, de cette intolérable privation de liberté doublé du piétinement de la Raison (l’avancer de 2 heures…) on se dit : “oh zut, comment je vais faire les courses chez Franprix ? Chérie on mange quoi ce soir ? ”
Idem pour les vaccins.
Le fond a été escamoté. On ne parle que des frigos pas branchés par le technicien Darty et des doses livrées mais qui n’ont pas été livrées, de la taille des aiguilles…
L’absurde érigé en mode de gouvernement nous mine, nous détruit de l’intérieur.
Ce mécanisme est aussi simple que terriblement efficace.
C’est ainsi que survient la covifatigue.
Nous avons collectivement baissé les bras.
Nous avons accepté l’inacceptable.
Une seule question demeure : à quel étage “inacceptable” somme nous descendus ? Est-ce le dernier ?
On peut craindre que la descente ne soit pas terminée…