La situation aux Etats-Unis, avec l’arrivée de l’hiver, empire.
Et comme je l’avais prévu, le circus vaccinal et la pseudo élection du grabataire Joe Biden, n’y changent rien : la covidémence avance comme un train fou, lancé à toute vitesse.
Les Européens ont encore l’image d’un pays “far west”, plus libre que leur Vieux Continent.
C’est une erreur.
Tocqueville est mort depuis bien longtemps. Les Pères Fondateurs relèvent du mythe poussiéreux. Et on rappellera que le président Eisenhower dénonça… le “complexe militaro-industriel” (premier petit nom de l'”état profond “) en 1961… Il y a 60 ans… Bref, ça n’a pas commencé hier…
La covidémence est appuyée très fortement par tout l’appareil médiatique (couverture plus anxiogène qu’en Europe, c’est dire) et par l’appareil politique au niveau de certains états et de certaines villes, démocrates pour la plupart, bien entendu.
Toujours ce fond “gauchiste”, constructiviste qui accentue les effets de la covidémence.
Je vous invite à écouter ce court témoignage de la propriétaire d’un restaurant à Los Angeles…
Une parfaite illustration -visuelle- de la situation outre-Atlantique.
Bar owner in Los Angeles CA is livid to see that mayor Garcetti has approved an outdoor dining area for a movie company directly across from her outdoor dining area (which was shut down) pic.twitter.com/jkUP2CWg35
— Jake Coco 💙🇺🇸🎶🐻 (@jakecoco) December 4, 2020
Cette femme, sa vie, sa famille, ses biens, ses employés… tout cela a été méthodiquement, fanatiquement détruit, déconstruit au nom de la covidémence (voir aussi ZeroHedge).
L’hiver augmente l’intensité du couillonavirus et vu l’état sanitaire des populations (obésité hallucinante etc.)… il fait des dégâts. Forcément.
Au niveau national, les Etats-Unis sont désormais passés devant la France en terme de covimorts par million d’habitants, 871 versus 844 (source Worldometer).