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Danemark : la plus vaste étude sur le port du masque… cherche publication

“Ahh… Now we are getting somewhere ! “

Comme c’est étrange !

Les auteurs de la plus grande étude, randomisée et tout le tralala, concernant le port du masque face au couillonavirus ne parviennent pas… à publier leurs travaux !

Cette étude est conduite depuis fin avril au Danemark (avec un financement massif de 600 000 GBP) et implique 6 000 personnes.

La moitié portant le masque en public, le second groupe faisant office de contrôle.

Bref du lourd. Du carré.

Et… et ? Et ?

Et l’étude est terminée…

Si, si.

Et alors tout le monde attend les résultats… Trois revues, dont la fameuse Lancet (celle qui publie des bobards écrits par des pieds nicklés, voir le scandale autour de la l’hydroxychloroquine) ont refusé la publication !

Elles se sont débinées.

Ah ? Mais comment est-ce possible ? Puisque forcément l’étude va conclure que le port du masque est une redoutable arme contre le couillonavirus, n’est-ce-pas ?

These include the Lancet, the New England Journal of Medicine and the American Medical Association’s journal JAMA. “They all said no,” says the Chief Physician in the Research Department at North Zealand Hospital, Professor Christian Torp-Pedersen.

However, the Professor does not wish to disclose the journals’ reasoning.

“We cannot start discussing what they are dissatisfied with, because in that case we must also explain what the study showed – and we do not want to discuss that until it is published,” explains Christian Torp-Pedersen. (source)

L’explication de ce soudain mutisme semble assez évidente : les conclusions de l’étude ne sont pas… politiquement correctes, ni conformes à la doxa.

Mais plus ils retardent la publication, plus les auteurs finiront par perdre patience, et balanceront la sauce, sans le peer reviewing de ces revues.

Et c’est sans doute l’effet recherché, afin de minimiser la portée des résultats, et pouvoir apposer le sceau de l’infamie sur toute l’étude.

On le voit, la publication sans difficulté par le Lancet de la pseudo étude sur les dangers de l’hydroxychloroquine (étude retirée depuis)… n’était pas une erreur. Pas un accident de parcours.

Ces revues médicales, sont aux ordres de l’establishement… Comprendre la covidémence.

Quelques mois après le Lancetgate, ce refus de publier l’étude danoise, est une preuve supplémentaire que nous sommes face à un système, global, organisé.

PS : si vous ne l’avez pas lu, je vous renvoie à l’article sur le patron du Lancet, Richard Horton… Un covidément fanatique pour qui le Covid est… un outil de transformation sociale.

Il y a donc une parfaite continuité, une cohérence entre ces gens, les médias qu’ils contrôlent ou dirigent et leurs actions dans le cadre de l’épidémie de Covid.

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Saloperie et sida mental

Halloween : les body bags sont de retour

Parfait timing. A quelques jours d’Halloween, et alors que la terrible pandémie “s’emballe“, que la “seconde vague” devient un tsunami… ils sont de retour.

Qui ? Quoi ?

Les cadavres couillonavirés dans les sacs noirs bien entendu ! Les bloody body bags.

En français, plus chic, les “sacs mortuaires“. Ca fait davantage Chanel. On imagine même le Kelly de chez Hermès. 😉

Vous avez déjà vu les mêmes images... en février et mars dernier… C’étaient des images “volées” qui “fuitaient” sur Internet depuis… la Chine.

Corpses, corpses everywhere‘: Medical worker reveals bodies piled up in a Russian morgue as Covid cases rise by a record 17,000 in one day amid a second wave gripping the country (DailyMail)

La seconde vague est là, il faut donc marquer le coup. Cette fois, les photos sortent (soit disant) de la morgue de… Novokouznetsk, c’est-à-dire de très loin, rendant impossible, une fois de plus toute vérification ou mise en contexte… C’est en Sibérie.

Ah… la Sibérie !

Notre stagiaire illustrateur a des préventions de pucelle. Parlons cru : ce bled c’est le trou du cul du monde. 😉

Le cheptel devenait un peu tête en l’air récemment, voire même un peu rebelle face à la covidémence, alors on a recours aux bonnes vieilles et si grosses ficelles.

Regardez ! Tous ces cadavres ! Toute cette bidoche froide ! Sur des charriots, dans les couloirs, ça déborde comme des sacs… poubelle. C’est formidable. Ca vous pose une terrible pandémie.

C’est le frisson garanti.

Où sont les potirons ?

Le journal britannique nous explique que le type qui est censé avoir tourné ces images, a déclaré façon zombie grand guignol :

‘You can even stumble and fall. We literally walk over the heads of the dead.’

Eclat de rire général.

C’est putassier de la part du DailyMail, la psyop est évidente… Les photos de cadavres ça fait toujours vendre.

C’est un des mécanismes, hélas, qui perpétuent et renforcent la covidémence.

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Médicament Saloperie et sida mental

Hydroxychloroquine : la chasse à l’homme est désormais ouverte

On sent que s’ils le pouvaient ils élimineraient physiquement Raoult, tous ceux qui le soutiennent, et tous ceux qui parlent de l’hydroxychloroquine…

Le docteur Maudrux publie une remarquable synthèse au sujet de l’hydroxychloroquine en tant que traitement du Covid.

Chloroquine : le plus grand scandale sanitaire (français) du siècle ?

La guerre que les gouvernements occidentaux mènent contre cette molécule dure depuis le mois de mars, et ne faiblit pas. Bien au contraire.

On vient encore de le constater avec la décision ahurissante de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament qui refuse l’Autorisation Temporaire d’Utilisation pour cette molécule, demandée par le professeur Didier Raoult.

Mais ce n’est pas tout. Cette offensive… est appuyée par des revues médicales (voir le Lancetgate) mais aussi par les grandes sociétés Internet, et devient une véritable chasse à l’homme.

Facebook a ainsi purement et simplement supprimé samedi 24/10 le groupe “Didier Raoult vs Coronavirus”, un groupe de soutien au professeur de Marseille… qui comptait près d’un demi million de membres ! (source Le Figaro).

(devant le tollé, ils ont… réactivé le groupe 24 heures après… l’histoire est racontée par le journal Marianne)

L’entreprise américaine invoque même maintenant… une simple “erreur” 😉 (source Nouvel Obs). Un stagiaire qui a malencontreusement appuyé sur le bouton rouge. Fâcheux…

Je signale également un papier dans France Soir qui met en doute la sincérité de Buyzn et tous les autres covidéments lorsqu’ils affirment que la décision du 13 janvier 2020 de classer l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses était purement technique et provoquée par une demande de Sanofi (le labo concerné qui fabrique le Plaquénil).

Cette explication est fausse. Ce n’est pas vraiment une surprise.

Cela obscurcit encore davantage le mystère autour de cette molécule et l’énergie folle dépensée dans tout l’Occident pour la dénigrer, et écarter ceux qui l’utilisent contre le couillonavirus et qui en parlent.

Cela ne peut pas être une simple affaire de “pognon”. Je n’y crois plus. Au début oui. Mais au fil des mois, et devant un tel fanatisme et sur une telle échelle… cela cache sans doute autre chose.

En outre, on rappelle que la vérité officielle martelé sans arrêt est qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid.

Ainsi l’HCQ n’est pas dénigrée comme le concurrent d’un autre médicament…

Cette molécule est en fait dangereuse… car elle attaque le coeur de la Covidémence : l’existence même d’une terrible pandémie qui tue !

C’est la seule explication rationnelle pour justifier encore une fois l’énergie, les moyens, les ressources déployés simultanément dans tous les pays riches pour écarter l’HCQ.

Si cette saleté de virus devient endémique mais qu’on est capable de réduire la mortalité à un rien statistique grâce à des traitements à base d’HCQ, alors c’est toute le principe même de la covidémence qui s’écroule.

Et manifestement, cette idée est insupportable… à de nombreuses personnes, à de nombreux groupes d’intérêts dans le monde.

PS : Raoult contre-attaque, suite à la décision de l’ANSM. Et plus grave : il dénonce les pressions directes du Ministère de la Santé –cette saleté de Véran- sur Sanofi… pour NE PLUS LIVRER ce médicament à l’IHU de Marseille !

C’est stupéfiant.