L’Express, la poubelle hebdomadaire possédée par le multipatride “maroco-franco-luso-israélien” Patrick Drahi (je cite Wikipedia) est à la pointe de la covidémence (BFM, etc.).
Forcément, puisque ce magazine est par essence mainstream.
Ils viennent de lancer une offensive contre… les “rassuristes” !
Toubiana, Mucchielli, Toussaint… Enquête sur les marchands d’espoir du Covid
Qui sont ces “rassuristes”, très présents dans les médias, qui nient la reprise de l’épidémie et assurent que les autorités nous font volontairement peur ?
Des marchands ? Depuis quand les résistants vendent quoi que ce soit ?
Ici, c’est L’Express qui vend, littéralement, sa propre merde sous la forme de publicité. Payante. Comme un tapin vend ses miches.
Le dispositif, car c’est cela dont il s’agit, se trouve prestement complété par un deuxième article, au titre encore plus direct :
Covid-19 : Pourquoi il faut dénoncer les “rassuristes”
Laisser dire que l’épidémie s’essouffle nous met tous en danger. Le relâchement des gestes barrière et le rejet des mesures de prévention seraient catastrophiques.
On voit bien le pas de deux, le pas de danse emmené par une bande de petits télégraphistes, de porteurs de valises du FLNCovid.
Et je boucle avec l’expression, parfois galvaudée, mais qui se révèle ici appropriée : l’inversion accusatoire.
Voilà un média qui n’est qu’une vulgaire caisse de résonnance de la campagne de terreur organisée par le gouvernement… campagne qui détruit volontairement le pays et même provoque des morts… ce média se permet de dénoncer ceux… qui dénoncent la terreur couillonavirale, en les qualifiant de “rassuristes“.
Comme si “rassuriste” était désormais une insulte, ou la marque d’une maladie mentale, ou d’une tare.
Rassurer autrui en se basant sur des faits c’est mieux, c’est plus sain, c’est plus noble, c’est plus intelligent que de terroriser autrui avec des mensonges.
Ces mots ne sont pas sur le même plan. Il y a clairement une hiérarchie.
Et pourtant, ces étrons, pseudo journalistes tentent le coup.
En clair : le salopard dans l’histoire c’est… le terroriste, plutôt que le rassuriste.
La justice finira par passer… En attendant, boycottez tous ces “journaux”.
Ou à la limite vous pouvez vous en servir de cette façon :
Vous entendez la petite musique depuis quelques jours :
-le nombre des patients couillonavirés en réanimation augmente régulièrement
-dans certaines zones, on s’approche des limites
-puis : ça y est, on est saturé, il faut réagir etc.
Aboutissement de cette opération (ce jeudi 8 octobre) :
Déclenchement du plan blanc en Île-de-France, «une marée très forte» attendue.
Le directeur général de l’ARS d’Île-de-France a pris jeudi cette décision «au vu de la pression sur les lits de réanimation et d’hospitalisation conventionnelle dans la région». (source le Figaro)
Disons-le tout net : c’est du pipo. Un plan “blanc” pour une zone “écarlate“… Fantasia de couleurs.
C’est une énième manipulation.
Déjà en mars dernier, lors de la “première vague”… c’était bidonné pour une raison très simple : ils n’ont pas utilisé en temps et en heure… les capacités des établissements privés !
A l’époque on pouvait mettre cela sur le compte de la réaction à chaud, du manque de préparation, de l’incompétence, voire de la bonne vieille haine recuite dans la mafia publique contre tout ce qui est “privé” (eh oui, c’est un point commun aux mafias : elles détestent la concurrence !).
Pourquoi pas.
Mais quand six mois après, le gouvernement nous refait le même coup… Alors l’évidence s’impose : c’est une énième manipulation, avec toujours le même objectif : renforcer la peur, maintenir les populations dans la terreur couillonavirale, de manière artificielle.
Autre pipo qui permet de gonfler les chiffres : on met aujourd’hui en réanimation… des patients qui n’ont pas besoin d’y être.
C’est la députée Martine Wonner qui a dévoilé le pot aux rose à l’Assemblée (“c’est du jamais vu, on n’a jamais mis ce type de patients en réanimation“). Vidéo ici.
Citons un article du Docteur Gérard Maudrux (dont le blog est listé dans mes Sources) :
On refuse de faire appel, sauf en dernière minute et en catastrophe, aux capacités de l’hospitalisation privée. Ignorés, méprisés depuis le premier jour, cela continue. A Lyon, deux grandes cliniques attendent depuis fort longtemps l’autorisation de 20 lits de réanimation chacune, les demandes restent toujours lettre morte.
Rappelons que dans tous les établissements privés il y a des blocs opératoires disposant de respirateurs pouvant être déplacés, même chose dans les salles de réveil, ainsi que dans des unités de soins intensifs ou réanimation. La clinique où j’exerçais avait 15 lits. Si 1 000 établissements peuvent dégager en moyenne 10 lits, cela fait 10 000 lits mobilisables immédiatement avec du personnel qualifié.
L’évidence est là, brûlante : ils se foutent de nous.
Plus largement, concernant la réanimation et le couillonavirus, je vous conseille une excellente vidéo du docteur Louis Fouché, médecin anesthésiste réanimeur (à l’IHU Marseille, l’hosto de Raoult).
Son discours est très clair, malgré des termes techniques difficiles pour le commun des mortels.
Mais vous comprendrez enfin ce dont il s’agit, ce qu’ils font, et une fois de plus les “erreurs” obstinées, imbéciles, fanatiques commises par Paris, et infectant ensuite tout le pays avec des instructions fausses.
C’est passionnant. Et en plus d’actualité, puisque toute honte bue, on est en train de nous refaire le coup des lits de réanimation “en tension“.
En guise de PS, c’est le cas de le dire tant le mec est socialiste, et concernant le directeur de l’ARS Ile-de-France, le mec qui dégaine des “plans blancs” plus vite que son ombre sombre, voici la copie d’un commentaire lapidaire et assassin trouvé sur le Figaro mais qui résume parfaitement la covidémence.
Le directeur de l’ARS Ile-de-France, Aurélien Rousseau, est un pote à Delanoë, ex-prof d’histoire en lycée, passé ensuite par l’ENA, le Conseil d’Etat, la Mairie de Paris, avant d’être dircab de Bernard Cazeneuve. Il est aussi qualifié qu’une femme de ménage pour s’occuper de médecine, mais ça ne le dérange pas de faire des déclarations alarmistes et d’affoler les populations pour justifier toujours davantage de restrictions.
Il est intervenu à plusieurs reprises dans les médias français, martelant toujours le même discours.
Ainsi, dès la fin janvier, on le voit apparaître sur Twitter et dans tous les médias mainstream (AFP, Nouvel Obs, LCI, Paris-Match, BFM etc.)
Le 2 février, il affirme que les chiffres des autorités chinoises sont… “fiables“. 😉
Le 23 mars, il donne à RMC une interview surréaliste et infantile (“c’est l’histoire d’un type qui part faire son jogging…“)… qui démontre qu’il n’est pas vraiment équilibré… Voire même franchement dingue, pardon, covidément.
En clair, Klein est une pièce du dispositif… qui nous a fait du mal, et qui continue de nous faire du mal : la covidémence.
En ce sens c’est une sorte de collabo de la première heure. Vivant et travaillant en Chine, il doit bien entendu donner des gages au Parti (par choix idéologique ou par contrainte, la question importe peu à ce stade).
Il se trahit d’ailleurs avec une grande ingénuité en soulignant dans une interview à un média chinois… la”liberté ” que les autorités chinoises lui accordent.
cette liberté que les autorités chinoises m’ont laissé de pouvoir pratiquer la médecine comme on la pratique en France […] je roulais dans la ville des heures en voiture dans Wuchang, dans Hankou et dans Hanyang !
Toute la ville était durement confinée… mais monsieur Klein -lui- était libre et se baladait partout…
Et il se permet de remettre le couvert six mois après, et de venir nous narguer dans une interview stupéfiante publiée par Marianne, en louant encore et toujours la Chine, et en déroulant les arguments de la psyop (preuve donc qu’elle se poursuit).
Dès le début, il frappe fort : en Chine c’est terminé car on a décidé que c’était terminé, et il y a même une date très précise : la date du déconfinement !
L’épidémie est maîtrisée en Chine depuis le 8 avril 2020, jour du déconfinement. D’après les chiffres officiels, cela fait plus d’un mois et demi qu’aucune contamination locale n’a été enregistrée.
Ensuite, voici comment il explique la fameuse “seconde vague” qui touche la France, mais pas la Chine (il tient à le souligner)… Bijou de sophisme à la con.
En Occident et notamment en France, on a voulu freiner l’épidémie et pas la stopper. On n’a pas assez écouté et observé la Chine alors que le pays a vécu en premier le choc de cette épidémie.
[…]
Par ailleurs, en Chine tous les patients ont été traités. Le gouvernement a fait construire des structures en un temps record. L’Occident s’est beaucoup moqué à ce titre. Encore une fois, la Chine a montré dès le départ sa volonté de stopper l’épidémie alors que nous, nous avons décidé de seulement la freiner, certainement faute de moyens. C’est la grande différence.
C’est quoi le rapport avec la choucroute ? En quoi traiter des patients, construire des hôpitaux de campagne durant la 1ère vague… empêcherait la terrible pandémie de revenir ?
La Chine est-elle un espace totalement fermé ? Il suffit de regarder une carte. Elle partage des milliers de km de frontières terrestres avec des pays infectés et des mouvements humains sont inévitables.
Encore récemment, il y a eu des cas de Covid en Birmanie… 2 185 km de frontières avec le puissant voisin du nord… Personne ne va et ne vient ?
Sans oublier la façade maritime.. 14 000 km au total… Aucun navire ne passe ?
Quelle vaste blague.
Un point majeur pour ne pas perdre la confiance du peuple. C’est ce que s’attèlent à faire les autorités chinoises au cours des deux premières semaines du mois de mai. En quinze jours, les 11 millions de Wuhanais ont été testés. Seuls 600 positifs furent dénombrés. Ils ont ainsi été isolés, et leurs contacts tracés. L’utilisation de l’intelligence artificielle a elle aussi joué un grand rôle.
On dirait un catalogue La Redoute, pages lingerie fine.
On dirait Sartre le Ravi de retour de son voyage en URSS en 1954, et qui avait alors écrit :
«La liberté de critique est totale en URSS et le citoyen soviétique améliore sans cesse sa condition au sein d’une société en progression continuelle. » « Vers 1960, avant 1966 si la France continue à stagner, le niveau de vie moyen en URSS sera de 30 à 40 % supérieur au nôtre… »
Monsieur Klein est, avouons-le, obscène.
Un véritable vendeur porte-à-porte de bible… chinoise !
La “confiance du peuple” ! ? Confiance dans le parti communiste chinois ? Dans le gang de Xi Jinping le purgeur ? Avec l’arrestation des médecins lanceurs d’alerte à Wuhan ? Le système de flicage généralisé dit de “crédit social ” ? C’est une blague, non ?
En outre, il n’est pas capable de voir qu’il y a un léger problème arithmétique… d’échelle entre 11 millions = 600 cas… Et la France, où des millions de tests… révèlent des dizaines de milliers de cas ?
Il n’est pas capable ou… ne veut pas avouer qu’en effet quelque chose ne tourne pas rond ?
Pourquoi dans l’interview qui date de septembre répétons-le, il ne dit pas que la situation en Occident est très… particulière avec cette épidémie… de “cas asymptomatiques” ?
Non. Son seul message est : la terreur. Le confinement. Et gloire à la Chine.
Il faut vraiment lire l’interview en entier, pour comprendre que cet homme a été littéralement conditionné par le régime de Pékin, et qu’il déroule la psyop en bon élève.
C’est une preuve supplémentaire que la Chine continue de tirer les ficelles (voir mon article A qui profite le crime).