Monstre du Loch Ness ? Non, c’est Véran qui se baigne. Sans son masque.
Après la piscine, le petit Olivier était auditionné hier par la commission d’enquête Covid 19 du Sénat.
L’exercice n’a aucun intérêt tant la veulerie du ministricule est suintante.
Mais, “merde quand même“, comme disait un ex-ministre qui tente désespérement de franchir les Pyrénées… en sens inverse… Véran a mérité au moins un prix d’interprétation.
Celui de “tapin du jour”.
Ajoutez du fard fluo, une couche de rouge à lèvre de 2 cm d’épaisseur, du mascara qui coule, une perruque platine… et vous obtenez un tapin de compétition.
Olivier Véran, pseudo ministre de la Santé, 24 septembre de l’an couillonaviral 2020 après Jésus Christ (source Le Figaro)
“Merde, j’ai fait une boulette… Quel con. Ils vont me tomber dessus.”
C’est à ce genre d’erreurs qu’on reconnaît les amateurs, les joueurs avec de la diarrhée à la place des neurones.
Olivier Véran, neurologue raté et à ce titre reconverti en politique, trop jeune, bombardé ministre… est un débutant.
Il avait un boulevard devant lui : attendre la grippe et les miasmes hivernaux. Patiemment.
Mais comme il se fait humilier en gros chaque semaine par Didier Raoult, véritable médecin -lui- et grand scientifique dans le domaine des maladies infectieuses… Véran a perdu les pédales.
Il s’est laissé emporté par son ego (qui est à la mesure de son personnage, c’est-à-dire ridicule)… et a cherché à punir la deuxième ville de France.
D’où l’annonce de la fermeture des bars et restaurants (Marseille et Guadeloupe) dans un gloubiboulga mental de “zone d’alerte maximale” et de “zone d’alerte renforcée“.
Décision dont l’absurdité saute aux yeux de tous.
C’est une erreur de débutant. C’est l’erreur de trop pour le petit Olivier.
Il a réussi à se mettre à dos l’infrastructure même de la covidémence : les maires et les politiciens locaux.
Exemple avec Renaud Muselier qui était un parfait covidément complice, et qui a bien senti la bourde de Véran. Il a immédiatement retourné sa veste. Muselier a beau être bas de plafond, il a davantage de bouteille que le petit Olivier.
Autre exemple de collabo covidémente girouette : Anne Hidalgo bien sûr ! La secrétaire de Delanoë maire de Paris dénonce des mesures prises “malheureusement sans aucune concertation“… Et mémère enfonce le clou, histoire de se protéger les miches : “J’avais dit mon désaccord sur ces mesures-là“. C’est la curée.
On citera aussi bien entendu le maire de Marseille qui dénonce un “affront“, celui d’Aix-en-Provence. D’autre suivront. Lionnel Luca, l’édile de Villeneuve-Loubet, qualifie le petit Olivier de “ministre Croquemort ” et appelle à la “résistance“.
Il est clair que Véran n’est pas équipé -intellectuellement- pour faire tenir la covidémence sur le long terme.
Son destin est déjà scellé… Macron va le jeter sous un bus… Comme un préservatif usagé, dont il a -à l’évidence- la tronche et l’envergure.
Et un ministre avec un peu plus d’expérience sera nommé, et qui lui pourra entraîner le pays vers… le Covid-20.
Ah ? Vous n’étiez pas au courant ? 😉
Je plaisante bien entendu. Trop de conspiration tue la conspiration. Ne brûlons pas les étapes…
A ce jour, le jeu est encore parfaitement ouvert… C’est du 50-50.
Soit fin de l’histoire après les élections américaines, fin du spectacle tout le monde rentre à la maison et on oublie tout très vite…
Si l’on en croit le gland préfet du Bas-Rhin, la demeurée écolo maire de Strasbourg et tous les covidéments français, la situation couillonavirale est hyper grave.
Oui.
Toute la ville de Strasbourg est repassée en “zone rouge”.
Strasbourg de nouveau en zone rouge, le taux d’incidence bondit. Strasbourg dépasse de nouveau le seuil d’alerte de 50 cas pour 100 000 habitants. Le virus circule activement dans l’agglomération malgré les mesures sanitaires mises en place. (source)
Or 245 mètres à l’est, à Kehl, en Allemagne… il ne se passe rien.
Non ? Si.
Pas de zone rouge, bleue, verte, caca d’oie, vert de gris ou jaune comme ton slip.
Rien. Normal quoi.
C’est 1986 all over again... A l’époque, vous aviez déjà une coupe de cheveux à la con et vous manifestiez avec les neuneus (“Devaquet t’es foutu“…) mais surtout le nuage radioactif venant de Tchernobyl (distant de 1 629 km de Strasbourg) avait eu le bon goût de s’arrêter juste à la frontière franco-allemande.
Sur le pont donc.
Ce crétin n’avait pas ses papiers en règle et pas de visa !
Trente-cinq ans plus tard, on essaye de nous refaire le coup avec le couillonavirus… Mais cette fois en sens inverse.
Décidément, il y a un problème avec cette satanée frontière franco-germanique… 😉