Le collectif de professionnels de santé Stop-Postillons, qui milite pour le masque dans l’espace public depuis mars, demande qu’il soit porté par les enfants dès 6 ans, à l’école primaire et non dès le collège, pour « colmater la brèche » de l’épidémie de Covid-19. (source Le Figaro)
Commencez par “colmater la brèche” de votre connerie. Qui est béante.
Ca suffit avec ce terrorisme. Gardez vos troubles psychologiques, vos TOC, votre covidémence pour vous.
Arrêtez de nous casser les couilles. De nous infecter l’esprit. Et surtout ne touchez pas à nos mômes.
“Stop-Postillons” ? On croit rêver !
Stop la bêtise crasse plutôt.
Ce gang n’en est pas à son coup d’essai. Ils font chier le monde depuis mars, puis ont remis le couvert régulièrement, avec le masque partout.
Quand ce ne sont pas les enfants, ce sont les entreprises etc.
D’après cet article, Karine Lacombe, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine, grande covidémente devant l’Eternel, appartiendrait à ce mystérieux collectif.
On rappellera qu’elle s’est opposée à l’hydroxychloroquine.
Et qu’elle touche des subventions de Gilead et autres labos. Le fait que ce soit pour le VIH ou l’hépatite C, comme le rappellent les glands de FranceInfo, ne change rien à l’affaire !
Et le fait que madame Lacombe a payé des “charges sociales” (!) sur ces sommes… (argument qu’elle utilise pour se défausser !) là encore ne modifie en rien le Réel.
Ce lien d’argent est… un lien par définition. Et un lien de subordination.
A noter que l’actualité est chaude pour elle… puisqu’elle vient d’annoncer qu’elle était… positive au couillonavirus !
Non ? Si !
La tuile.
Bon remarquez, de nos jours, qui ne l’est pas, positif, hein ? 😉 C’est très à la mode.
On lui souhaite bien entendu plein de cachets de chloroquine dans ses céréales le matin et un prompt rétablissement (mais elle ne sera pas malade, évidemment, mais c’est toujours bon à prendre pour les relations publiques).
Ajoutons à cela un peu de vitamine C, une bonne bouteille de vin rouge le soir, et zou, en 3 jours… eh bien elle ne sera toujours pas malade. 😉
Puisque c’est le jeu, non ?
Po-si-tif ! Mais asymp-to-ma-tique !