Vous connaissez Delfraissy, le papy qui a vu le diable (si, si) et qui voit aussi le futur (lire ici).
Il est accessoirement le président du “Conseil scientifique”, une sorte de secte vaudou à base d’esprits frappeurs, de virus foireux et de Satan.
Il est surtout con comme une enclume (d’où son poste).
Et c’est pour cela qu’il vient de commettre une boulette… en révélant benoîtement… la suite du plan ! 😉
Le grand âge est un naufrage…
Nous sommes «au début d’une nouvelle ère», marquée par une «circulation contrôlée du virus» du Covid-19 et, de temps en temps, «des pics épidémiques» donnant lieu à des restrictions, estime le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy. (source Le Figaro)
Après le “monde d’après “… voici donc la “nouvelle ère ” ! Il suffisait d’y penser.
Le virus est là pour toujours.
Périodiquement… il se réveillera (ou plutôt on le réveillera), par exemple en hiver, ou avant des élections, ou pendant des manifestations d’opposants… et zou, les restrictions seront réactivées.
Aucun des outils créés (passe sanitaire, passe vaccinal, le masquage etc.) ne sera donc aboli.
Au mieux ils seront “suspendus” (“levés” pour reprendre l’expression du gland Gabriel)… jusqu’à leur réactivation lors de nouveaux “pics épidémiques” (comprendre de simples prévisions basées sur des modèles bien foireux comme d’habitude).
C’est complètement tordu, certes, mais il s’agit bel et bien d’une “nouvelle ère“.
the secret to Japan’s “success” – so far – has been in some significant part due to the widespread proliferation of mask-wearing.
Toujours en juin 2020, le New York Times, temple woke de la covidémence, se pâmait :
Is the Secret to Japan’s Virus Success Right in Front of Its Face?
In America, masks have become a weapon in the culture wars. In Japan, wearing one is no big deal, and deaths have stayed low.
Le Japon sert de symbole et entretient la mystique du masque… Car dans l’archipel, c’est une vieille coutume. Dès qu’un Japonais est malade, il porte un masque (par respect pour le collectif).
Une coutume qui a longtemps amusé les Occidentaux.
La covidémence a bien entendu changé cela… Et le Japon est devenu la preuve que le masquage était efficace pour lutter contre le couillonavirus.
Les gogos, les journalistes les pseudos scientifiques de plateaux TV et les crapules factorisaient cet exemple.
Exemple :
A study published in April by a team of researchers in Hong Kong, France, the UK and Finland found “a near perfect correlation between early universal masking and successful suppression of daily case growth rates and/or reduction from peak daily case growth rates,” and that 80% to 90% masking has the potential of “eventually eliminating the disease.”
Une corrélation parfaite ? Un outil pour éliminer la maladie ?
Deux ans après, les faits démontent à coup de cric cet énième mythe.
Bref, il est aujourd’hui évident que ces petits bouts de papier ou de tissus… ne servent à rien. Surtout lorsque des gouvernements vendus aux Chinois l’imposent à l’extérieur (n’oublions jamais que les Occidentaux furent capables de les imposer… sur les plages, ou encore à la montagne, en plein-air).
Le masque est un grisgris, un totem de la patascience. Mais c’est surtout une composante essentielle de la psyop, afin d’incarner visuellement la terrible pandémie.
Une terrible pandémie sans masque, c’est comme un MacDo sans un Coca Cola, ou Valou Pécresse sans son prompteur ; ça cloche.
C’est également un outil de conditionnement basé sur la gêne, voire même la torture physique et psychologique (chez les jeunes enfants à l’école en particulier).
Et c’est pour cela que les covidéments les plus fanatiques s’accrochent à lui, si désespérement, et souhaitent même le conserver… pour toujours.
Au sujet de l’Ukraine et de la stupéfiante campagne de désinformation américaine (qui dépasse même en intensité le délire Covid)… la presse anglaise se déchaîne.
Poutine attaquera l’Ukraine mercredi 16 février.
A 11h18 du matin très précisément. Si, si.
Je le sais, j’ai vu le rapport confidentiel de la CIA écrit par un stagiaire immigré bac – 5 et une ex-actrice de films porno (comme le Lancetgate, on ne change pas une équipe qui gagne).
Bref… Inutile de tirer sur l’ambulance, c’est le cas de le dire.
Mais pour illustrer le degré de folie atteint, je vous propose de zoomer sur un extrait de l’article du DailyMail.
Il s’agit de cette photo :
Avec le légende qui va bien :
Videos purportedly showing atomic canons being moved towards Ukraine sparked The video – showing huge 2S7 Pion guns (file photo) – was captured in Vesela Lopan, Bolgorod in Western Russia and just 10 miles from the Ukrainian border
DES CANONS ATOMIQUES ! 😉
Ca c’est du scoop, coco !
Pour une éventuelle attaque nucléaire… avec de l’artillerie (c’est plus rigolo alors que la Russie dispose de gazillons de missiles).
Bref, on mesure l’étendue du sida mental, mais surtout de l’amateurisme gogole des mecs qui sont aux commandes de cette opération.
Je vais prendre un autre exemple, cette fois de mon cru.
Soit cette photo exclusive prise dans les tranchées, du côté russe de la frontière (où Poutine a massé près de 4 millions7 millions 12 millions de soldats).
On en est là.
Sérieusement.
POST-SCRIPTUM
Pour expliquer les raisons du bordelo insensé américano-russo-ukrainien, je pense que cet article frappe en plein dans le mille :
Tout, finalement, se concentre sur l’énergie… un sujet qui deviendra de plus en plus fondamental dans les prochaines années.
Les idéologies ne sont plus que des cache-sexes et des attrape-couillons…..
La géopolitique est l’énergie.
Et inversement.
Depuis 20 ans, des pans entiers de la politique extérieure américaine peuvent s’expliquer sous cet angle : dans un monde qui quitte peu à peu l’abondance énergétique… alors les pays dotés de ressources d’hydrocarbures deviennent mécaniquement de plus en plus puissants, et donc dangereux pour l’hégémonie américaine.
Iran… du pétrole de qualité et “facile” ? Une guerre sans merci. Pour quoi ? Faire tomber les mollah ? Satisfaire Israël ? Oui sans doute, mais surtout pour leur interdire de devenir plus puissants à mesure que le temps passe.
Russie ? Là encore, les réserves de gaz, de simples réserves virtuelles deviennent de plus en plus, concrètement, des outils de puissance (le nouveau pipeline vers l’Allemagne).
Dans le monde d’avant, le pétrole et le gaz russes… étaient de simples sources de pognon. Dans le monde de demain, ces ressources seront de plus en plus des armes. De formidables leviers de puissance.
Irak, Libye, Venezuela… La même obsession : briser les pouvoirs locaux -plutôt hostiles- avant qu’ils ne deviennent de plus en plus forts par la simple mise en valeur de leurs ressources.