L’histoire d’un couple d’expatriés vivant à Hong Kong… et pris dans la punition infligée par Pékin à ce territoire, anciennement rebelle.
Leur fille de 11 mois a été admise à l’hôpital après un covitest positif… Elle doit demeurer à l’isolement… sans ses parents !
Plus fort encore : la règle est qu’elle ne peut quitter l’hôpital que si un autre test est négatif… sept jours après son admission…
Tous ces cas sont aussi foireux que virtuels (des bébés de 11 mois on croit rêver, mais non).
Bref, pendant sept jours (au minimum) ce bébé est séparé de sa mère, de son père et fuck you, au nom du “Zéro Covid”, mais surtout de la politique démentielle imposée par le PCC à Hong Kong, territoire martyrisé (lire mon article de fond au sujet de cette punition).
Du côté de l’hôpital, inutile de rappeler que l’infirmière qui s’occupe de ce nourrisson est habillée en combinaison hazmat avec masque et visière… achevant de terroriser l’enfant.
Voilà où mène la covidémence, par essence une action politique.
La punition chinoise va continuer.
L’humiliation du fameux “un pays deux systèmes“, l’idée absurde -du côté de Pékin- que les habitants de HK puissent s’opposer et prétendre être indépendants… se paye aujourd’hui cash.
Sur ce cliché exclusif, on peut voir le ministre thaïlandais (cercle jaune) qui constate que l’eau de mer ça mouille. C’est scientifique.
Dr Kiattiphum Wongrajit, the ministry’s permanent secretary, said 95% of cases are now either asymptomatic or mild, meaning there is no need for most people who are infected to receive medical treatment at hospitals.
Less than 1% of Omicron infections reach a moderate let alone critical level, he said. (source Bangkok Post)
Après plusieurs mois de danse du ventre vaudou… le Royaume de Siam vient de faire une découverte extraordinaire : l’eau ça mouille.
Et surtout : les gens pas malades du Covid n’ont pas besoin d’être… hospitalisés !
😉
C’est fou, hein ?
Bon on plaisante, on mitraille l’ambulance, mais c’était pourtant la politique officielle du pays : un covitest positif, et zou, ambulance, petits hommes verts en combinaison, alarme, panique, direction l’hospitalisation forcée et l’internement pendant 1 à 2 semaines !
Avec ou sans…. symptômes.
Alors bien entendu, les hôpitaux ont rapidement été… débordés.
Les autorités ont alors créé des… “hospitels“. Truc très malin, mélange d’hôpital et d’hôtel… En réalité des hangars avec des centaines de lits, où s’entassaient les gens covimalades… mais pas vraiment covimalades. 😉
Cozy l’hospitel ! Pour un peu, on souhaiterait y prendre une pension complète, pour toujours…Non vous ne rêvez pas. Les “lits” sont en carton…
Bref, un bon gros délire qui entretenait la psychose (et poussait les gens positifs, après un test ATK effectué en privé… à ne surtout pas se déclarer !).
Délire que l’on voit encore chaque jour dans les bilans officiels.
22,197 confirmed new cases and 17,514 probable cases. 118 cases were from abroad and 221 from prisons. Out of 218,784 people in care, 77,444 are in hospital.
Non, il n’y a absolument pas 218 784 personnes en “soin”, ni encore moins 77 444 couillonavirés qui crachent leurs poumons dans les hôpitaux.
Les chiffres sont réels mais les mots utilisés totalement faux.
Comme le reconnaît le ministre, à peine 5 % de ces totaux sont réellement malades, et ont donc réellement des “soins”, de vrais soins !
Tous les autres, on leur prend la température 3 fois par jour, on leur file de la vitamine C, et une herbe médicinale thaïe. Et encore…. 😉
Ils font le poireau comme des prisonniers, en bouffant de la merde, en passant leur journée sur la télé et sur leur téléphone, et en devenant fous.
Deux ans donc.
Il aura fallu 2 ans de covidémence carabinée pour que la Thaïlande finisse par comprendre… qu’il était temps de passer à autre chose et d’arrêter cet engorgement hospitalier parfaitement artificiel et stupide (et avec des effets négatifs très réels, eux, puisque cela mobilise du personnel, des ressources pour rien, repoussant des véritables soins pour de vraies pathologies, bref un fantasme, une terreur infantile entretenue par le grand voisin chinois).
“Aucun soucis. Des centaines de millions de gogos reprendront -volontairement- leur dodose à l’automne”.
“I think there’s a 20% chance that we might have a new variant that is more virulent, causing more disease than what we had with omicron,” Bancel noted. “So I think it’s a good scenario.”
Moderna remains in clinical study phases for its omicron-specific booster vaccine, according to Bancel, who believes COVID-19 immunity will “wane” in vaccinated individuals by fall.
“We want to be ready with anything that biology will throw at us by the time the fall comes,” Bancel explained, “because I’m not too worried about the next few months in the spring and summer.” (interview à Fox News le 24 février)
Le patron de Moderna, le Français Stéphane Bancel, a tout dit :
-mais… l’immunité procurée par nos “vaccins”… disparaîtra à l’automne
Traduction : nos produits sont de la merde. L’immunité procurée est très courte, bien plus faible que celle de l’immunité naturelle. Mais des centaines de millions de gogos (les vieux boomers, les jeunes wokes, les immunodéprimés, les déprimés tout court etc.) voudront -volontairement- prendre notre booster avant l’hiver prochain.
Plus d’obligation déguisée (finis les passes sanitaires et autres). Un bon petit chiffre d’affaires récurrent. On aura désormais le vaccin annuel contre la grippe plus le vaccin annuel contre le Co(quoi ?)vid.
-20 % de chances pour qu’un nouveau variant arrive et soit plus méchant.
Traduction : autant faire pipi dans le marc de café et y déceler les chiffres du loto, l’essentiel n’est pas là. Le Co (quoi ?) vid c’est fini. Big Pharma a désormais un modèle…
Entre les “boosters” pour la vieille version du Co(quoi?) vid et de futurs virus, l’industrie a développé tout un nouveau marché.
Et donc les mecs attendent, ils savent que de toute façon dans le futur, ils pourront recommencer.