Vous allez sans doute entendre les échos de cette étude… belge.
Lien : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.07.04.22277226v1
(pas encore revue par les pairs).
Elle peut faire du bruit… car elle parle de contamination… ASYMPTOMATIQUE au Covipox.
Vous avez bien lu.
Le mot est lâché. 😉
Coup de tampon sur la carte de membre.
Cela ferait du Covipox une maladie “agréée” (pour pharaphraser le bon vieux cancer de Dieudonné).
L’idée des scientifiques belges ? Revoir les échantillons prélevés (anus et pénis) chez des hommes du 1er au 31 mai… dans le cadre de diagnostics de gonorrhée/chlamydia.
En clair : des bonnes vieilles MST.
224 hommes sont concernés.
Ils ont passé le tout à la moulinette des tests PCR….
Et à ce moment… miracle.
3 positifs.
Ces 3 hommes ont nié avoir des symptômes Covipox. Et ils n’ont pas été en contact avec des cas Covipox.
Enfin, ils ont refait un test PCR, 21 à 37 jours après…. qui revint négatif.
Les auteurs concluent donc :
“The existence of asymptomatic monkeypox infection indicates that the virus might be transmitted to close contacts in the absence of symptoms. Our findings suggest that identification and isolation of symptomatic individuals may not suffice to contain the outbreak.”
Comprendre : on recommencerait le délire couillonaviral c’est-à-dire des cas “positifs” mais… pas malades… Grâce à des tests PCR… foireux.
D’abord 3 sur 224, c’est upsilon.
Ensuite ces 3 hommes… ont aussi le HIV ainsi qu’une “histoire” chargée de MST multiples…
De quoi bien foutre la merde au niveau génétique sur les prélèvements effectués…
La possibilité d’un test PCR foireux est ainsi très élevée. On revient toujours à ces tests… qui peuvent rendre un simple caillou “positif”.
Un morceau de matériel génétique, grossi X fois… qui identifie soit disant la présence d’un virus… (actif ? Et surtout… lequel ?).
Enfin, nous savons que des cas Covipox (Québec) ont été très “légers”.
Un bouton sur le pénis, rien de plus. Sans douleur. Parfois même sans fièvre (et puis la fièvre peut aussi ne pas être remarquable).
La conclusion s’impose : cette étude belge est -pour le moment- bien trop tirée par les cheveux.
Mais elle arrive pile au bon moment pour achever de paniquer la population et de pousser l’OMS à la faute (réunion semaine prochaine pour déclarer le Covipox une urgence sanitaire mondiale… toutes les tatas, les assoces LGBT, et tous les covidements agitent la queue, excités).
Enfin, cette étude ne doit pas occulter ce fait fondamental : le Covipox se transmet par le sexe.
C’est l’élément clé.
Et depuis 2 mois, avec 7 500 cas dans 60 pays… IL N’Y A AUCUNE PREUVE, donnée tangible, vérifiée qui indiquerait une contamination HORS RELATIONS SEXUELLES.
Il faut donc arrêter le délire. Mais bien entendu, il n’en sera rien. Le Covipox sera instrumentalisé, comme son grand frère, le couillonavirus.
Le Covipox est à notre image.
Des bites. Des boutons. Des plumes dans le cul. De l’hystérie. Un QI de 50.
Il synthétise l’Occident.