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Disparition de la grippe : et les cas asymptomatiques ?

Vous le savez tous, la grippe a disparu.

Totalement. Et dans tous les pays (lire ici, et ).

Raoult en parle dans sa vidéo du 23 février. Face à cette disparition et alors même que le couillonavirus -lui- circule toujours… il conclut que ça cloche.

Et il boucle alors sur les moyens de transmission que nous connaissons toujours mal quoi qu’en disent les experts internationaux comme Cyril Hanouna, la Fée Clochette ou encore le professeur Karine Lacombe.

Il évoque alors les études menées lors du Sars (2003) qui démontraient des cas de contamination… jusqu’à 200 mètres de distance.

[dans sa vidéo du 2 mars il évoque également… les chichas, nouvelle piste selon lui, par exemple à Marseille]

Bref. Dans les commentaires sur un de mes articles, j’avais évoqué la possibilité d’une erreur (ou d’un bidonnage) dans les données en input.

En clair, la grippe n’aurait pas réellement disparu. Elle serait simplement dissimulée par le couillonavirus, ainsi que faiblarde.

Et en terme de bidonnage, je rappelle que dans un pays où un homme qui se tue en tombant dans l’escalier de sa maison est classé “mort du Covid”… tout est possible. 😉

J’apporte de l’eau à mon propre moulin grâce à cet article de 2014 évoquant… les cas asymptomatiques de grippe, une donnée qu’on a tendance à oublier.

Les trois quarts des personnes atteintes de la grippe n’ont pas de symptômes et l’on peut tout simplement avoir la grippe sans le savoir, conclut cette large étude britannique. Et même en cas de symptômes, seulement une petite minorité de patients ira consulter.

Le virus de la grippe cette saison est peut-être très mou du genou en terme de symptômes, à tel point que tous ceux qui le chopent… seraient asymptomatiques.

Le virus de la grippe mute chaque année (voilà pourquoi le vaccin doit être “refait”). En outre, il y a des années à grippe “forte” ou “faible”.

Pour élargir le débat, on rappellera enfin que certains ont fait des liens entre les épidémies de grippes faibles en 2019 et 2018… et la surmortalité couillonavirale de 2020 (lire article ici).

En clair l’effet moisson : le stock de vieillards fragiles n’ayant pas été attaqué pendant 2 ans… le stock grossit… grossit… puis le couillonavirus débarque et il “moissonne” dans les ehpad.

Telle la Grande Faucheuse.

“Entre faire les foins et faucher les âmes… mon coeur balance”
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Covidémence : et si c’était un raté technique ?

L’enseignement de Patrick McGoohan ? Il faut toujours faire des scénarios.

Nous partageons un même constat : la covidémence est fragile car elle gonfle trop le réel.

Elle en fait trop. Sa crédibilité en prend un coup.

La terrible pandémie… fait pschiit. Très peu de morts. L’existence de ce blog le prouve. Vous-mêmes êtes une… preuve. 😉 La covirébellion gronde et augmente.

Je vous propose un exercice, inspiré par un extrait d’une interview de la généticienne Alexandra Henrion-Caude (vidéo 1 mn ici) datant d’octobre 2020.

L’idée de départ ? La covidémence est bien entendu une fabrication, et qui repose… sur un virus, fabriqué lui aussi.

Je sais, c’est mal, ça fait de la peine à Xi Jinping, mais justement.

Ses concepteurs et promoteurs auraient donc, de leur point de vue... échoué.

Tous les horribles “modèles” mathématiques de début 2020, qui prévoyaient des millions de morts… étaient en réalité justes, ils auraient dû se vérifier… mais l’opération a foiré.

Pourquoi ? Mère Nature s’est jouée des apprentis démiurges.

Dès le séquençage de son génome, on a su que le couillonavirus avait bénéficié d’un “gain de fonction”.

Une séquence a été insérée, entre S1 et S2, de la protéine S (la fameuse “spike” qui permet l’infection des cellules humaines, et que de nombreux vaccins visent, Pfizer, Moderna etc.).

C’est la caractéristique (“hors du commun” affirme Henrion-Claude) du Sars Cov2.

En clair : vous prenez un coronavirus type Sars ou Mers (peu contagieux, mais  mortalité importante) et vous l’équipez d’une autoroute pour infecter les cellules humaines.

Les tenants des histoires pour enfants, type pangolins, vous disent que c’est la Nature qui a inséré cette saleté pile au bon endroit, via sa baguette magique darwinienne.

D’autres scientifiques (Montagnier, Wiesendanger etc.) pensent que c’est artificiel. Le labo P4 de Wuhan travaillait sur les coronavirus de chauve-souris depuis des années. Ce fait est incontestable.

Mais là encore on se heurte à une dissonnance cognitive : si je me fais chier à trafiquer un coronavirus, à monter une pysop à l’échelle mondiale qui repose sur la terreur… et qu’au final j’obtiens 1,8 million de morts (de vieillesse souvent) de janvier 2020 à decembre 2020, sur une planète avec plus de 7,5 milliards d’êtres humains… Mon opération porte un nom : un four. Un flop technique.

Sachant en outre que plus les mois passent, plus la covirésistance augmente car le cheptel voit bien que quelque chose cloche… La terrible pandémie… c’est au fond une grosse grippe qui ne tue que des vieux malades…

Reformulons : la terreur avec les sales gueules de Vérandouille et Jeannot Avé L’Accent à la télé… ça ne peut marcher qu’un temps.

Toute l’opération aurait fonctionné sans aucun soucis... si le virus avait fait de vrais dégâts. Des dégâts sortant de l’ordinaire. Genre un Sars ou Mers hyper contagieux…

Dans le cadre de ce scénario… que peut-il se passer maintenant ?

Trois pistes :

  • Terminer l’opération, arrêter la covidémence, siffler la fin de la partie. L’échec serait terrible pour ses promoteurs. Tout ça pour ça ?
  • Continuer l’opération “quoi qu’il en coûte“… Là danger. Comment entretenir la covidémence, alors que c’est objectivement un bide, et chaque jour davantage ? Les risques de révolte augmentent exponentiellement.
  • Dernière idée : revenir au plan initial. Et là le foirage du début pourrait même se révéler… productif. Car il introduirait l’idée d’une gradation… La version 1 du virus prépare le poil…. Une version 2, réellement méchante, coupe le poil, et achèverait l’opération dans un superbe bouquet final.

Cette dernière possibilité me permet de boucler sur une de mes antiennes : quelle que soit son origine, la covidémence pour se poursuivre va devoir se réinventer.

En clair : trouver quelque chose de nouveau. Même les fameux “mutants” sont en train de faire pschiit.

Une version 2, fabriquée en labo et compte tenu de l’échec relatif de la version 1, pourrait être cette nouveauté.

De plus, autre “gain de fonction”… son apparition pourrait être mise sur le compte des mutations naturelles du virus…

On reviendrait ainsi au scénario initial de la covidémence : “Un terrible virus se déchaîne contre l’humanité, la Nature est responsable, des mesures drastiques et globales sont nécessaires si vous ne voulez pas mourir. Oubliez le monde d’avant”.

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Je n’aime pas les gros

“Le covid il ne passera pas par moi ! “… Ben si. Justin Trudeau a beau s’excuser, ça ne change rien au Réel.

Oui je n’aime pas les gros, j’en conviens“.

Je paraphrase le conducteur de scooter… Il s’agit de poser le décor et surtout de mettre ses références culturelles au niveau de l’époque…

Dans ma collection de phobies, je suis donc grossophobe. Aïe.

L’obésité est une aberration, une anormalité.

Et de plus, lorsque le couillonavirus s’invite à la garden party, ça tourne souvent en bal tragique à Colombey-les-Deux-Souches.

En clair : en ces temps couillonaviraux, c’est une tare. Le mot est lâché.

Il y a donc encore moins de raison d’être fier d’être obèse, mouvement totalement dégénéré qui nous vient des Etats-Unis.

Les fameuses fiertés.

Fier d’être homo, fier d’être hétéro (celui là, c’est pour rire), fier d’être con, fier d’être obèse, fier d’être moche, fier d’avoir les pieds rentrés ou sales voire les deux, fier d’être fier etc.

Rincez, répétez.

Où je veux en venir ?

Obesity link to UK Covid toll: Britain’s status as the ‘sick man of Europe’ led to shocking number of deaths from coronavirus, experts claim (source DailyMail)

Non  ? Sans déconner Sherlock !

Et le prof d’enfoncer le clou :

A third of our nation are in the obese category.

“This is much higher than other parts of Europe and does contribute to the high excess [Covid] mortality that we’ve seen in the UK.”

Eh oui. Il y a des personnes à risques.

Ces risques sont identifiés, pour une grande part.

Les obèses en font partie.

Et en France ? 17 % de la population, ce qui représente 8 millions de personnes (source). L’obésité très sévère toucherait plus de 500 000 personnes…

Ah quand même…

Donc au lieu de prendre la pose, de faire chier le monde avec leurs  problèmes, réels ou fantasmés, ces personnes à risques doivent se reconnaître comme telles, et se protéger.