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Se rouler un patin : contagion émotionnelle ?

“Chérie, tu me donnes tes Clostridia ? En échange, je te refile mes Streptococcus”

Le microbiome. L’ensemble des micro-organismes qui vivent en nous et sur nous (bactéries, virus, champignons et autres protozoaires [parasites]). L’univers en somme. Ensuite, on dénombre des “galaxies” locales comme le microbiote intestinal (le fameux “deuxième cerveau”). Idem dans la bouche, sur la peau, le système respiratoire, ou encore le vagin chez les femmes.

Aujourd’hui, concentrons nous sur le microbiote buccal, avec en ligne de mire… de solides patins nuptiaux !

Des scientifiques ayant probablement aussi bien le sens de l’humour que de l’amour ont étudié des centaines de jeunes mariés sous l’angle de la dépression, de l’insomnie et de l’anxiété.

(Etude : Oral Microbiota Transmission Partially Mediates Depression and Anxiety in Newlywed Couples, publiée en avril 2025. Synthèse disponible ici).

Que se passe-t-il entre le partenaire en bonne santé (mentale) et celui souffrant de tels troubles, dans les six mois qui suivent leur mariage ?

Vous l’aurez deviné… On constate une sorte de… partage. 😉

On pourrait penser à un simple mimétisme. Mais la composition du microbiote buccal côté partenaire sain change significativement… et devient similaire à celui de sa moitié.

Ces changements microbiens étaient corrélés à des altérations des niveaux de cortisol [hormone du stress] salivaire ainsi qu’aux scores de dépression et d’anxiété.

Vous connaissez par coeur la litanie : la corrélation… ne prouve pas la causalité.

Des esprits malicieux pourraient par exemple dire que le partenaire sain se rend vite compte que son mariage est une erreur… et commence donc à déprimer à son tour. Ou à perdre le sommeil. 😉

Mais au-delà, il y a bien ce fait extrêmement troublant qui lie nos émotions, certains de nos comportements à l’action de micro-organismes (action directe ou via leurs métabolites).

Le microbiome influence de nombreuses fonctions corporelles, y compris notre formidable système immunitaire. Alors pourquoi pas le cerveau… ?

En réalité, la question doit être remise à l’endroit : au nom de quoi le cerveau ne serait pas influencé par des micro-organismes ?

Formulée ainsi, une telle proposition apparaît pour ce qu’elle est : absurde.

On étudie par exemple des causes infectieuses pour la schizophrénie. Le parasite responsable de la toxoplasmose, Toxoplasma gondii, impacte nos fonctions cognitives (prise de risques, ralentissement des réactions, sentiment de doute, etc.).

Pour l’alzheimer, on soupçonne les virus de l’herpès et d’Epstein-Barr (l’hypothèse dominante des plaques amyloïdes étant plombée par de nombreuses fraudes scientifiques).

En réalité, la liste est longue : autisme, TOC, anxiété, trouble bipolaire, Parkinson, encéphalites, etc.

Bien sûr, on parlera systématiquement de “corrélations” (multiples)… sans jamais pouvoir creuser et affirmer la causalité. La compréhension du fonctionnement de notre cerveau nous échappe encore largement.

De plus, nous avons tendance à envisager le processus infectieux comme extrêmement rapide. Mais quid des infections chroniques… lentes ? A bas bruit. Sur des années ?

Autre complexité : le micro organisme pourrait avoir des effets directs (et on parlerait alors de “symptômes” qui seraient plus ou moins facilement identifiables)… mais aussi indirects via ses métabolites (tous ses sous-produits)… Sans parler des associations entre ces bestioles et autres effets de potentialisation.

Et quid de la quantité ?

Notre système immunitaire va tenir en respect un micro-organisme (par exemple un Candida) pendant de longues périodes, sans toutefois le détruire complètement… Et à certains moment, il lâche prise, il s’affaiblit… permettant à l’agent de reprendre ses aises, ses activités et pourquoi pas de devenir pathogène. Et de croître, et avec lui la quantité de ses métabolites libérés dans le corps.

Enfin, si on admet des causes infectieuses dans tel ou tel trouble du comportement… alors il faut envisager la prochaine étape : l’idée que ces troubles puissent être dans une certaine mesure… CONTAGIEUX.

Retour aux roulages de pelles de nos jeunes mariés.

Et plus… si affinités. 😉

POST-SCRIPTUM

Je souhaite élargir un peu le débat… avec les parasites.

Vous connaissez ma passion pour les champignons/levures et leur éventuel rôle dans l’oncogénèse (via leurs mycotoxines, etc.). (je vous renvoie au livre de Mark Lintern, traduit en français).

Autres agents infectieux souvent ignorés (nous les avons oubliés dans nos environnements urbains que nous pensons aseptisés) : les parasites.

Un monde passionnant, renversant.

Ils ont la particularité de pouvoir infecter l’homme (et les animaux)… pendant des années. Voire des décennies.

Comme je l’écrivais plus haut, ils sont “tenus en respect” (plus ou moins, par le système immunitaire)… Et un beau jour, les digues lâchent (et des symptômes neurologiques peuvent aussi apparaître, des troubles du comportement, certains parasites peuvent même simuler une sclérose en plaque par exemple).

Je vous conseille le livre –stupéfiant– du professeur Philippe Humbert : Les Parasites (publié en février 2025).

Un médecin qui soigne en débusquant ces bestioles (il bénéfice d’une longue expérience dans leur identification et leur extermination).

Cerise sur le cachet d’albendazole : Humbert a l’esprit ouvert (forcément, quand on regarde toutes ces horreurs de face !). Ainsi, il n’a pas peur d’évoquer -en tant que piste, hypothèse- les effets de l’ivermectine… contre les tumeurs cancéreuses.

Le livre est impossible à résumer.

Disons simplement ceci : vous vous souvenez du film Alien (le premier of course) ?

Eh bien voilà. Il suffit de factoriser par X. 😉

La prescription est simplissime : livre à commander de toute urgence, puis à Noël, à offrir à papy, mamie, tata, tonton, le frangin, la soeur, la belle-soeur, les potes et même votre patron (surtout votre patron).
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Cancer de l’endomètre : la piste bactérienne

“Aucun doute, je la vois aussi clairement que la perruque de Brigitte… il s’agit bien d’une bactérie !”

Nouvelle surprise surprenante. Et surtout encore un cancer qui pourrait rejoindre la liste de ceux provoquées par… un agent infectieux.

Comment ? Vous ne le saviez pas ? Faut vous mettre à la page !

On estime que seize pourcents des cancers sont directement provoqués par des bactérie, virus et autres parasites. Une proportion officiellement admise a minima (certains parlent de 20 %).

Exemples ? Le col de l’utérus avec les papillomavirus humains ou encore le cancer de l’estomac avec la bactérie Helicobacter pylori.

Soit le cancer de l’endomètre (muqueuse interne de l’utérus). Il s’agit du quatrième cancer chez les femmes. Huit mille nouveaux cas par an en France.

Une étude menée par la clinique Mayo en 2021 pointe du doigt la responsabilité d’une bactérie : Porphyromonas somerae.

Cette association n’est pas totalement nouvelle. Certains scientifiques (qui ont contribué à cette étude) en parlaient déjà en 2016 puis 2019.

Le développement de cette bactérie serait accélérée par… les niveaux d’œstrogènes.

L’un des chercheurs affirme :

« Nous sommes allés au-delà de la simple association et corrélation pour démontrer le comportement pathogène », déclare le Dr Walther Antonio. « Il s’agit d’une avancée significative dans la compréhension du rôle du microbe dans la maladie »

Notons qu’on retrouve souvent cette vilaine bactérie… dans les cancers de la vessie (étude italienne publiée en 2024). Encore une association statistique troublante…

Au-delà de cet agent pathogène, on commence à comprendre l’importance du microbiome dans l’oncogénèse et le développement de la maladie.

Et cette relation est double. D’abord comme réservoir de micro-organismes (certains peuvent devenir pathogènes, lorsque invasifs, à l’instar des Candida), mais aussi (surtout ?) via le système immunitaire (étroitement lié au microbiome).

Ce monde stupéfiant (en taille et en variété) qui colonise nos entrailles et que l’on qualifie même de second cerveau… est décidément au centre de nombreux processus biologiques.

Toutes ces bactéries, virus et autres champignons ont de multiples effets y compris indirects, via leurs métabolites (leurs sous-produits). On peut même soupçonner des interactions, des effets de potentialisation (ou de suppression) les uns avec les autres.

Rappelons pour les sceptiques qu’une tumeur cancéreuse n’est absolument pas… stérile (idée encore largement répandue y compris chez de nombreux oncologues et autres pseudos professionnels de la profession). En réalité, elle abrite (et autour d’elle) de nombreux micro-organismes (y compris des champignons que l’on découvre peu à peu).

Les pisse-froids, au lieu de se mettre au travail devant ces découvertes extraordinaires n’ont qu’un seul mot à la bouche (en cul-de-poule, forcément) : “Corrélation n’est pas causalité. Nanananèèèèèèèèèère !“.

Y’en a marre des corrélations. Forcément.

Il s’agit d’un terrain encore peu exploré et surtout bien plus complexe que la théorie officielle (dite des “mutations somatiques“) selon laquelle des mutations dans l’ADN d’une seule cellule (sur trente mille milliards) provoqueraient le cancer.

Ces mutations, nombreuses et très variables d’un individu à un autre et même d’une tumeur à l’autre (chez un même cancéreux) sont bien réelles.

Mais elles paraissent de plus en plus (et à part quelques cancers particuliers, des leucémies) comme des effets et non des causes.

Le dogme qui statufie l’industrie du cancer depuis des décennies, vieillit décidément bien mal. Jusqu’à en devenir ridicule, comme un comédien essoré, barbouillé par un maquillage excessif et lâché par les spectateurs et les critiques.

Ainsi, cette pseudo science est toujours incapable d’expliquer pourquoi un jeune sportif qui ne fume pas… se paye un carcinome carabiné des poumons… Alors qu’un vieillard ayant avalé quotidiennement 2 paquets de Gitane depuis son adolescence, décède de sa belle mort à un âge canonique.

Devant tant de contradictions, on baffouillera, on utilisera des mots complexes, on vous débitera des contes à dormir debout.. Sauf qu’à la fin, on en arrive -piteusement- à accuser…. la malchance.

La fatalité.

C’est Alexandre Le Bienheureux appliqué aux sciences de la vie, ou quand la fainéantise dissimule -bien maladroitement- la bêtise ainsi que les conflits d’intérêts, évidemment…

Comme si on pouvait assimiler un cancer à… un accident de voiture.

Cet aspect infantile est frappant (on le retrouve souvent au sein de Big Pharma, inutile de revenir sur la farce des “vaccins” ARNm).

S’il s’agissait d’une simple controverse intellectuelle entre une poignée de scientifiques aussi barbus que barbants… cela n’aurait pas beaucoup d’importance.

Mais rappelons que les cancers tuent en gros 10 millions de personnes dans le monde. Chaque année. Le très méchant Sars-Cov2, rétrospectivement, fait doucement rigoler.

Dans certains pays riches (France, Canada) les cancers constituent désormais la première cause de mortalitédevant les maladies cardiovasculaires (eh oui, le podium évolue !).

Si vous voulez creuser la piste des agents pathogènes, et en particulier les champignons, je vous conseille le remarquable livre de Mark Lintern (dont la traduction française sortira fin juin).

POST-SCRIPTUM

Savez-vous que l’on commence à parler d’agents infectieux… y compris pour l’Alzheimer ?

Eh oui… Cette maladie neurologique (identifiée en 1907 par un médecin teuton eugéniste)… tourne en rond avec une théorie officielle qui craque sous ses propres contradictions : les “plaques amyloïdes“.

On patine dans la semoule depuis des décennies… malgré la mobilisaton de moyens très importants et on s’acharne à produire des molécules high-tech qui vont détruire ces plaques…. Bilan ? Foirage total.

C’est d’autant plus hallucinant que nous savons que des individus ayant le cerveau plein de ces fameuses “plaques”… n’ont jamais développé la maladie de leur vivant !

10 à 30 % des personnes âgées sans symptômes cognitifs peuvent présenter de telles plaques…

La tuile.

Pour se défausser, les clowns de service ont alors inventé  l’Alzheimer… “asymptomatique“. 😉

Cela ne vous rappelle rien ? Si bien sûr !

Si vous placez côte-à-côte cancer, Alzheimer et Covid… alors tout s’éclaire !

Suprême ironie : ces “plaques” pourraient en réalité être… une DEFENSE NATURELLE contre des pathogènes…

D’où l’hypothèse infectieuse en tant que cause -principale- de la maladie.

Bref, encore un sujet passionnant qui secoue Big Pharma dans ses fondations et avec toujours le même tryptique en filigrane : bêtise, hubris et fraude.

Pour aller plus loin, je vous recommande le nouveau livre de Charles Piller (un journaliste scientifique) : Doctored : fraud, arrogance and tragedy in the quest to cure Alzheimer’s.

Edifiant. Renversant.

Et j’insiste : tout est lié. La fraude insensée sur Alzheimer (avec des études bidonnées)… fait parfaitement ECHO à la fraude hallucinante au sujet du “Covid”, des vaccins ARNm (et derrière on peut ajouter les antidépresseurs, les opiacés “non addictifs”… la liste est longue, etc.)…

Les mêmes causes produisent TOUJOURS les mêmes effets.

POST-SCRIPTUM BIS

Et la sclérose en plaques alors ? Terrible maladie auto-immune… 120 000 personnes affectées en France… 3 000 nouveaux cas diagnostiqués par an. Cause inconnue…

Là aussi, vous avez sans doute entendu “génétique”… Les plus pointus d’entre-vous… certains virus… Mais sans succès.

Les dernières recherches… pointent du doigt des bactéries !

Source : https://www.sciencealert.com/scientists-identify-specific-bacteria-linked-to-multiple-sclerosis

On soupçonnait déjà l’influence du microbiote, mais sans en comprendre les détails.

Peut-on parler de coïncidences pour toutes ces pathologies étranges ?

Ou bien l’étau est-il en train de se refermer ?

A-t-on ignoré pendant des décennies ce que nous avions sous les yeux ? Des infections tout bêtement… et un système immunitaire qui parfois répond mal, de travers ou pas du tout… ?

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Le temps file : où est la riposte israélienne ?

On signale une pénurie de papier-toilette du côté de Tel Aviv. Yala ! Mazel tov !

Vous connaissez l’adage populaire : “le temps file“.

Vous vous souvenez quand l’Iran a balancé plus de 200 missiles sur Israël ?

Le 1er octobre… Il y a plus de 3 semaines déjà !

Et depuis, certains s’interrogent… Où est le cabinet israélien ? J’ai fait la blague à plusieurs reprises : “aux cabinets“.

On sent un certain flottement. Pour ne pas dire un flottement certain. On sent des mauvaises odeurs venant des WC… On sent les effluves d’une franche diarrhée.

En un mot : on sent la peur.

Il est facile de raser Gaza, de pulvériser des combattants du Hamas avec beaucoup de civils autour… et d’écraser des immeubles à Beyrouth. Mais… l’Iran ? On change d’échelle, de dimension. Ca n’a plus rien à voir.

Revenons donc sur cet événement majeur du 1er octobre, dont la portée stratégique est passée sous le radar de nombreux commentateurs qui n’analysent pas les faits, mais qui font de la propagande et qui prennent leurs désirs pour des réalités.

Je rappelle l’essence de cette grossière propagande :

  • Israël super gentil. Axe du bien.
  • Iran super trop méchant (presque davantage que la Russie, c’est dire !). Axe du mal.
  • Israël : startup nation high tech façon Star Trek, peut faire exploser à distance des téléphones comme des coussins-péteurs (et paf, prends ça dans la gueule !)
  • Iran : pays de ploucs analphabètes en sandales avec des turbans ridicules, tout juste bons à cultiver des pistaches (avec un peu de caviar aussi).
  • Israël : phare de la dimoucrassie occcidentalo-branlo-LGBTiste respectueuse des droits des minorités (y compris sexuelles, surtout sexuelles car pour les autres, genre les Arabes israéliens c’est pas vraiment ça, et ne parlons pas des Palestiniens… pas de bol pour eux, ils ne sont même pas transsexuels ! Ah les cons ! Ils n’y mettent vraiment pas du leur !)
  • Iran : dictature mohamétane ambiance arabisante (alors que la Perse n’est absolument pas arabe, surtout pas arabe, mais c’est un point de détail).
  • Israël : pays gigantesque, de 9,4 millions d’habitants, allié à toutes les superpuissances de la planète, du système solaire, voire de la galaxie.
  • Iran : petit pays faible, isolé, de 91,8 millions d’habitants, allié à des nains comme la Russie ou la Chine.

Bref… Vous voyez le… genre.

Ah le genre ! Quel bon mot ! 😉

Gaypride à Tel Aviv. L’arme secrète de l’Occident contre l’obscurantisme et contre la Russie, l’Iran, la Chine, l’Inde, l’Indonésie, l’Afrique… bref 85 % de l’humanité.

Pas de bol : c’est complètement à côté de la plaque. Certes les mollahs ont la main dure et n’y vont pas par quatre chemins (pendaisons publiques, tortures et autres joyeusetés)… mais les mecs alignent une très belle expertise dans la fabrication de drones, des missiles hypersoniques, une population de 91 millions d’individus, des réserves d’hydrocarbures mahousses… sans oublier toutes les connaissances et le matos nécessaires pour assembler une bombe nucléaire… disons en 45 minutes top chrono (je sais j’exagère, mais en fait… non).

Pour des paysans qui vivent à l’Age de Bronze et qui conduisent des chameaux sans le contrôle technique ad hoc, ça la fout mal.

Le 4 octobre, soit 3 jours après la frappe iranienne… le Washington Post, le quotidien de référence américain, comprendre la voix de son maître (CIA, NSA, DOJ, FBI et plus si affinités, ce qu’on appelle le Deep State) publiait un article au titre sans appel : “Iranian missiles hit Israeli military sites, visuals show“.

Lien : https://www.washingtonpost.com/world/2024/10/04/iran-missile-israel-attack-video

Aïe. La tuile.

« Au moins deux douzaines de missiles balistiques iraniens à longue portée ont percé les défenses aériennes israéliennes et alliées mardi soir, frappant ou atterrissant près d’au moins trois installations militaires et de renseignement, selon un examen des vidéos et des photos de l’attaque et de ses conséquences.

Des vidéos vérifiées par le Washington Post ont montré 20 missiles frappant la base aérienne de Nevatim, dans le désert du sud du Néguev, et trois frappant la base de Tel Nof, dans le centre d’Israël. Des analystes ont déclaré au Post que les images correspondaient à des impacts directs sur les bases plutôt qu’à des débris de missiles interceptés. D’autres vidéos ont montré qu’au moins deux missiles ont atterri près de Tel Aviv à Cinema City Glilot, Hod Hasharon, près du siège de l’agence d’espionnage israélienne du Mossad, laissant au moins deux cratères. »

Pendant que tous les médias neuneus vous servaient une soupe peu appétissante… Le Réel -lui- était bien différent. Et le Washington Post a publié le Réel sous la forme d’une photo satellite.

Re-aïe. Re-la tuile.

Réalisé sans trucage (pour une fois) 😉

Pourquoi cela change tout ? Parce que cela change tout. 😉

Téhéran a démontré ses capacités à frapper le coeur d’Israël, tout en faisant fi de ses défenses antiaériennes pourtant formidables.

Reformulons : le Dôme d’acier, la Fronde de David et autres batteries “Patriot” made in America… sont parfaits pour descendre des drones et des roquettes fabriqués dans une cuisine et envoyés par les Palestiniens et le Hezbollah… Mais contre des missiles balistiques, voire des missiles hypersoniques… ça fonctionne “beaucoup moins bien“, selon l’expression consacrée…

Ajoutez à cette bascule stratégique majeure… une “ambiance” un brin nucléaire… et alors vous obtenez quoi ?

Un cabinet israélien… aux cabinets. Au fond du jardin.

Une certaine clique apocalyptique israélienne veut y aller, veut se faire l’Iran une bonne fois pour toute, c’est un rêve vieux de plusieurs décennies, partagé par une partie (complètement cinglée) de l’état profond américain (les fameux néocons)… mais en même temps… elle a les jetons, elle vient de comprendre que toutes ses certitudes divines (?) se sont probablement effondrées… un premier octobre.