Au début de la présidence Trump 2, des sots avaient pointé du doigt le fait que l’administration américaine avait promis des centaines de millions de dollars à Moderna… pour développer un soit-disant “vaccin” contre la grippe aviaire (un énième poison utilisant la technologie foutraque ARNm, bien entendu).
Ils disaient : ‘”la honte, fausse opposition“. Et osaient même ajouter : “prout” (violation intolérable de copyright).
J’avais alors écrit ici même : “vous verrez, ce contrat a été signé par l’administration Biden (forcément) en janvier… juste avant la prise de fonctions de Trump…“.
Eh bien… c’est fait.
L’administration Trump vient d’ANNULER ce fameux contrat (700 millions de dollars au total !).
Game over.
Cela fait des années que j’affirme que :
-Moderna est une non-société… sorte de Poulidor grotesque qu’on a conservé dans le formol pour ne pas prêter le flanc à l’accusation de monopole face au pseudo “vaccin” de Pfizer durant le “Covid”.
-Moderna n’a JAMAIS rien commercialisé d’autre (et on peut se demander si elle commercialisera quoi que ce soit d’autre dans le futur).
-la technologie ARNm appliquée à des “vaccins” est morte-née (que ce soit contre le “Covid”, la grippe, la grippe aviaire, la chiasse alsacienne, le sida du fion, la polio de la girafe, la peste du pangolin, la chtouille de la grenouille et autres joyeusetés infectieuses).
Au bout de l’hubris et de la démesure dans le mensonge… la lame. Finale.
Les fabricants de vaccins sont protégés aux Etats-Unis (loi fédérale dite Prep, votée en mars 2005, qui leur donne l’immunité, c’est le cas de le dire, face aux éventuels dégâts provoqués par leurs produits dans le cadre d’une urgence sanitaire).
Cette loi fut réaffirmée en mars 2020 pour les besoins du “Covid”, bien entendu.
A noter qu’une autre loi datant de 1986 (le National Childhood Vaccine Injury Act) accorde déjà une forte protection aux fabricants de vaccins (et pas uniquement pour les enfants, contrairement à l’intitulé de la loi).
Mais un état américain a trouvé une faille : le Kansas (large victoire de Trump en novembre 2024 avec 57 %).
En janvier 2024, ils ont attaqué Pfizer pour “pratiques commerciales trompeuses“.
Une cour locale a accepté le dossier. Pfizer a immédiatement contre-attaqué au niveau fédéral (pour faire reconnaître et appliquer la protection accordée par la loi Prep).
Pas de bol… Le juge fédéral a précisé que les “pratiques commerciales trompeuses” ne rentraient pas dans le cadre de la loi !
Il renvoie donc le dossier à la cour locale qui va pouvoir continuer.
L’idée du Kansas (et on l’espère, d’autres états ensuite) est géniale.
Oui Pfizer et Moderna sont protégés, leur responsabilité est exonérée pour les terribles effets secondaires provoqués par leurs poisons, décès et blessures (quoi que… ce qu’une loi a fait, une autre loi peut le défaire)… mais ils ont péché.
Comment ? Par leur communication, leur marketing… leurs délires des “95 % d’efficacité” et leurs “sûr et efficace” !
Toute la propagande insensée qui a déferlé sur les Etats-Unis à partir de la fin 2020, sans parler de leurs mensonges et des faits qu’ils ont dissimulés.
En clair voilà les points faibles :
Pfizer n’a pas révélé de liens entre son produit et des risques comme la myocardite, la péricardite (voir l’affaire de l’étiquetage désormais exigé par la FDA).
L’entreprise a faussement vanté l’efficacité sur la durée de son produit (ses données internes montraient au contraire une baisse rapide de son efficacité).
Pfizer a trompé le public en affirmant que le produit empêchait la transmission du virus (affirmation non étayée par des études).
Vous imaginez les risques financiers encourus par Pfizer ? A l’échelle. C’est-à-dire : colossaux. Rappelons qu’aux Etats-Unis la justice débouche souvent sur des réparations qui dépassent l’entendement en termes de montants.
La loi Prep protège certes les fabricants contre les conséquences physiques de leurs produits… mais elle ne les protège pas contre leurs mensonges ni leur propagande délirante.
D’autres actions judiciaires sont en cours, dans d’autres états, et qui elles aussi testent les limites de la fameuse loi Prep…
Cela fait depuis 2021 que je répète que l’étau finira par se resserrer autour de la nuque de ces entreprises criminelles ; nous y sommes.
Oui c’est lent, trop lent, mais c’est réel.
Imaginez un barrage hydraulique… La moindre petite fuite, lente au début, peut subitement devenir catastrophique et provoquer la destruction complète de l’ouvrage.
Et la raison est très simple à comprendre : avec le “Covid”, ils ont été TROP LOIN, TROP FORT.
Sans parler de l’aspect politique, évident, brûlant même.
Impossible de comparer en termes d’échelles et d’intensité avec d’autres scandales pharmaceutiques “classiques” (thalidomide, Mediator, OxyContin, Vioxx, Dépakine, etc.).
POST-SCRIPTUM
Nous disposons d’un excellent indicateur avancé… celui qui criera à la face du monde que Pfizer et son complice Moderna sont finies.
Leurs cours de bourse. 😉
A fortiori aux Etats-Unis où le pognon est maître.
Cela sera, avec une ironie imposée, comme… une myocardite financière fatale…
Les rats quitteront le navire de plus en plus rapidement. Jusqu’au zéro de la destinée.
Aujourd’hui, à 23,32 dollars l’action… la valorisation de Pfizer est renvoyée au MEME NIVEAU que septembre 2012 !
un calendrier absurde (des pseudos “vaccins” conçus en UN WEEK-END… et ensuite “testés” et fabriqués en quelques mois).
… Toutes les lumières clignotaient au rouge. Rouge sang. Les incertitudes, les risques étaient là, sous nos yeux.
Avec le recul, nous savons désormais que cette technologie n’est pas aboutie, pire encore qu’elle est incontrôlable et donc dangereuse.
Face à tous les ravis de la crèche qui continuent d’y croire et à tous ceux qui ont -hélas- été injectés, vous devez leur mettre sous le nez les 3 anomalies congénitales qui définissent les produits de Biontech/Pfizer et Moderna :
QUANTITE
Personne ne peut contrôler/garantir la quantité de protéines (antigènes) produite dans chaque individu. Avec un vaccin classique, la dose peut varier mais l’amplitude est CONNUE, maîtrisée. Avec l’ARNm… c’est la loterie et surtout le grand écart. Certaines personnes produiront très peu d’antigènes (donc aucune efficacité), d’autres en fabriqueront des quantités très élevées et pendant un temps long (provoquant des effets délétères sur le système immunitaire et autres désordres physiologiques).
DISTRIBUTION
Personne ne peut contrôler/garantir… où exactement ces produits vont se balader dans le corps, ni quelles sont les cellules dans quels organes qui vont fabriquer les protéines. La biodistribution est incontrôlable.
FIDELITE
Personne ne peut contrôler/garantir la fidélité du “plan” ARNm. En clair, il y a des “décalages” réguliers dans le code ARNm (frameshifting)… conduisant à la fabrication de protéines Frankenstein (en plus de la protéine voulue).
1+1+1 = ?
Quand vous additionnez ces 3 anomalies… vous obtenez un produit qui n’est EN RIEN une formulation pharmaceutique destinée à être utilisée chez l’humain c’est-à-dire un produit offrant des garanties aussi nombreuses que serrées et un profil de risque bien établi.
Vous avez en lieu et place un truc grotesque qui n’a AUCUN SENS ; une insulte à l’intelligence et à la Nature.
C’est un truc infantile, excitant sur le papier mais dont la réalisation est une catastrophe. Il y a beaucoup de pensée magique dans ce procédé.
Vous voulez visualiser les promoteurs de la technologie ARNm ? Des mômes dopés au sucre qui s’extasient sur une maquette de l’Enterprise dans Star Trek… et qui affirment ensuite qu’ils vont construire le vaisseau spatial grandeur nature…
L’énormité du crime commis est telle, en terme d’échelle, qu’on se heurte à une sidération globale.
Avec des MILLIARDS DE DOSES INJECTEES… on se retrouve face à la Gorgone qui statufie le monde.
Voilà pourquoi, la prise de conscience prend du temps.
Au mieux, Trump s’en servira comme de l’arme absolue pour détruire une bonne fois pour toute le parti Démocrate (et ses nombreux complices). C’est ma thèse (un poil gonflée, je l’admets).
Au pire… un beau matin… plus personne ne parlera de ces produits, de cette technologie bidon.
Une vaste amnésie collective s’abattra sur le monde.
En plus des 3 anomalies “congénitales” des vaccins ARNm… d’autres vents contraires soufflent (liste non exhaustive).
D’abord, les “nanoparticules lipidiques”. Ca fait plus de 20 ans qu’on sait qu’elles sont problématiques (réaction inflammatoire, toxicité, dégradation dans l’organisme, difficultés de fabrication). Et on voit mal comment s’en passer (il faut un véhicule pour transporter le code ARNm, très fragile).
Ensuite, le procédé de fabrication. Il y en a deux (à ce jour). L’un est précis mais lent et coûteux. Le second permet une production de masse… mais il est sale (il provoque de nombreuses pollutions ADN variables -bien au-delà des normes en vigueur- qui peuvent poser d’autres problèmes dans le corps humain).
Oui, les fabricants ont utilisé la première version pour le test clinique et la validation… Oui, ils sont passés ensuite… au deuxième procédé industriel (très différent) en affirmant en toute simplicité “c’est kifkif aucune différence“. Et la FDA a répondu “ah bon d’accord, merci“. 😉
Enfin, parlons des conditions de conservation (et donc de distribution en aval). Il est très drôlatique de constater que les poissons rouges ont déjà oublié le coup des “supercongélateurs” (farce absolue). D’abord, le brouet devait impérativement être conservé à -70 degrés (!)…. Et ensuite ? Une simple glacière faisait l’affaire. 😉
Je vous laisse imaginer l’état du “code ARN” et des “nanoparticules lipidiques” à l’intérieur des fioles… après de multiples étapes, entre la sortie d’usine et la piqûre…
Imaginer une logistique parfaite, hyper rapide, sans le moindre accroc, des conditions de stockage optimales, une distribution finale impeccable et une préparation aussi précise qu’experte (car oui… chaque fiole doit être diluée avant utilisation !)… déclenchera une franche crise d’hilarité chez n’importe quel observateur de la condition humaine.
Une conclusion est-elle nécessaire ?
Personne ne peut prendre au sérieux de tels produits.