Ceci est Stéphane Bancel, le PDG de Moderna. Bon il est un peu simple d’esprit. Faut pas lui en vouloir.
“It’s sad to say, I’m in the process of throwing 30 million doses in the garbage because nobody wants them. We have a big demand problem,” Bancel told an audience at the World Economic Forum, adding that attempts to contact various governments to see if anyone wants to pick up the slack was a total fail.
“We right now have governments – we tried to contact … through the embassies in Washington. Every country, and nobody wants to take them.”
Putain Stéphane ! Tu as enfin tout compris ! Incroyable. Pourtant avec ton QI, c’était pas gagné d’avance…
Personne ne veut plus de tes saloperies ARNm, dangereuses, mal conçues, mal fabriquées, pas maîtrisées.
Allez Merdena tu remballes ton poison et tes délires, tu fous tes 30 millions de doses à la poubelle, tu rentres chez ta mère, et tu fous enfin la paix au monde entier.
POST-SCRIPTUM
C’est bien entendu un voeu pieux… Merdena va continuer… à nous emmerder, au sens propre.
Ces salopards de bambins avaient l’outrecuidance d’être totalement insensibles au couillonavirus ! Heureusement, maintenant ils peuvent se choper des hépatites bien dégueulasses. Bien fait pour eux !
Les virus classiques provoquant des hépatites (A, B, C, D, E) ont tous été mis hors de cause.
Il suffit de voir la réaction de l’OMS pour sentir… le délicat fumet d’une énième pysop rehaussé d’un léger foutage de gueule (lire mon article).
On a d’abord accusé… le Covid. Ca coûte pas cher. C’est pratique. C’est à la mode. 😉
Sauf que pas de bol, très peu d’enfants atteints étaient positifs au terrible couillonavirus.
Zut.
Ensuite, les Anglais ont osé nous faire le coup… des chiens (lire ici) ! Les pauvres bêtes auraient refilé un nouveau virus aux gentils enfants…
Aussi ridicule, aussi infantile que le coup du pangolin qui partouzait avec une chauve-souris sur un certain marché à… Wuhan…
Bref.
Une nouvelle hypothèse est aujourd’hui mise en avant.
Medicine Regulators believe attenuated viruses in AstraZeneca & Janssen COVID Vaccines are to blame for rise in deadly Hepatitis among Children (lire ici).
Le CDC explore aussi -comme par hasard- cette voie (source NBC News)…
Eh oui, les “vaccins” (interdit de rire !) d’AstraZeneca et de Johnson&Johnson sont basés sur un…. adénovirus atténué.
Ce dernier aurait pu s’échapper et se recombiner avec d’autres adénovirus dans la nature.
Provoquant ensuite une infection dommageable chez des jeunes enfants dont le système immunitaire n’était pas encore totalement blindé (en particulier depuis 2 ans, à cause des confinements, des écoles fermées, empêchant les bambins de s’échanger leurs miasmes).
L’hypothèse est séduisante…
Et -incroyable malchance- ce nouveau virus se serait répandu ultra rapidement… dans 21 pays, ainsi que 36 états aux Etats-Unis… 😉
Ben voyons…
Car l’idée que la recombinaison… se soit effectuée de la même manière quasi simultanément dans 21 pays… est bien entendu absurde… 😉
Zut.
Il faut donc toujours s’interroger : à qui profite le crime ?
Car enfin on parle à ce jour de 500 enfants touchés dont une dizaine de morts et une vingtaine ayant subi une transplantation… à l’échelle mondiale. Et l’OMS se saisit du dossier et montre un certain empressement ?
Le tout immédiatement relayé dans les médias ?
Les mêmes médias aux ordres qui nous jouent de la flute depuis 2 ans au sujet du couillonavirus ?
Et alors que les produits ARNm de Pfizer/Moderna tuent et blessent dans des proportions bien plus considérables depuis plus d’un an ?
Une fois de plus, on peut, on doit invoquer l’esprit Zemmourien : “ben voyons“. 😉
Mais on pourrait également voir dans cette opération à deux bandes… l’idée de tuer les derniers concurrent de Pfizer… afin de promouvoir encore et toujours les produits ARNm (une obsession occidentale maladive, fanatique depuis le début) et du même coup dissimuler leurs propres responsabilités.
Car avant d’accuser l’adénovirus atténué d’AstraZeneca (hypothèse qui ne doit bien sûr pas être écartée)… il faudrait d’abord étudier la question… du lait maternel.
Les enfants touchés sont majoritairement très, très jeunes. Il est donc clair qu’ils n’étaient pas eux-même injectés.
Mais étaient-ils allaités ?
Si oui, les mères étaient-elle dosées ?
Et dans l’affirmative, avec quel produit ?
Voilà des questions très simples et essentielles puisque même Pfizer reconnaît qu’aucune étude n’a été faite concernant le lait maternel et son produit ARNm.
On sait déjà que les protéines Spike se baladent dans de nombreux organes… Alors pourquoi pas dans le lait maternel, pouvant ensuite provoquer des dommages au foie (on sait que le “vaccin” peut provoquer des hépatites) ?
Et pour le moment, ces questions très simples n’ont pas été abordées, ce qui est hautement suspect (un mois après, toujours aucune trace d’investigation).
Bref, le mystère demeure entier… Mais il faut toujours mettre en question les “plats cuisinés” que les médias nous servent.
Ces hépatites mystérieuses pourraient servir de levier pour accuser les concurrents, les achever, tout en dissimulant la responsabilité des produits ARNm…
Si on pouvait prouver que tous ces enfants (moins de 5 ans) :
-n’étaient pas positifs au Covid
-qu’ils étaient tous allaités
-et que les mères étaient toutesdosées avec des produits ARNm…
… alors, tout l’édifice pourrait s’écrouler… en une seule nuit. Le scandale serait considérable.
Même les personnes sans enfants comprendraient que ces produits sont dangereux.
Pfizer cloué au pilori. Jeté sous le bus par les politiciens cherchant à sauver… leur peau.
La charge émotionnelle serait sans doute suffisante pour faire imploser la conspiration (mot ad hoc pour qualifier l’obsession… pathologique de promouvoir et imposer les produits ARNm, dépassant forcément ET DE LOIN de simples considérations pécunières).
Ah… j’entends une voix au fond… “Faut faire diversion ! Release le Krakenpox ! On accusera les homos, ça marche toujours !”
Voici le virus de la variole du singe d’Afrique de l’Ouest. Il est sympa. Il a une bonne bouille. “Eh les gars ! Moi j’ai pas changé. Je suis décontracté. C’est vous qui êtes différents !”
Les scientifiques font la course… C’est à celui qui publiera en premier le génome de la nouvelle bébète : la variole du singe.
Après les Portugais (mais incomplet, lire mon premier article), une équipe belge franchit à son tour la ligne d’arrivée. Bravo !
Belgian case of Monkeypox virus linked to outbreak in Portugal (source)
En se basant sur 98,9 % du génome décodés… ils affirment que :
Le prélèvement du malade belge (mâle, 30 ans, AUCUN historique de voyage au Portugal)… correspond au prélèvement du malade… portugais qui lui même correspond à la famille ouest-africaine du virus.
Preliminary phylogenetic analysis clearly shows that the obtained genome belongs to the West African clade of MPXV and is most closely related to the recently uploaded genome from the outbreak in Portugal providing further evidence of substantial community spread in Europe.
Rien encore de définitif (l’analyse portugaise n’est pas complète en réalité).
Mais admettons que l’observation soit validée : Belgique = Portugal = la souche ouest-africaine de la variole du singe.
Ni plus, ni moins.
Alors… nous serions confrontés à un gros problème.
Car enfin, comment expliquer que subitement, le virus classique de la merdouille qui est endémique en Afrique de l’Ouest… se mette à pouvoir infecter des gens en Europe, dans plusieurs pays, et quasi simultanément ?
On peut bien entendu, et une fois de plus, accuser les saucisses. Du moins l’abus de saucisses. 😉
Ou encore le réchauffement climatique ou même… Vladimir Poutine.
Voire (pour faire plaisir aux cinglés, nombreux parmi mes chers lecteurs) les ondes 5 G ! Les ondes cosmiques ! Le rayonnement des aaaaaaaaaâstres.
Okay.
Mais sinon… pas besoin d’avoir fait l’ENA option cuisine pour comprendre que si le virus n’a pas changé, et que jusqu’à présent il ne parvenait pas à se répandre hors-Afrique… alors ce sont les hôtes européens qui ont changé.
Et une fois que vous en êtes là du raisonnement, inutile d’avoir fait Polytechnique option couture pour voir 2 pistes -entremêlées- devant vous :
PISTE 1
-des gazillons de mecs ont été infectés par… le terrible couillonavirus depuis 2020. Ce dernier serait-il capable d’agir -chez certaines personnes et au long cours- comme un “passeur” pour la variole du singe ? Un “facilitateur” ? Rendant possible ce qui ne l’était pas avant ?
PISTE 2
-des gazillons de mecs ont participé à la plus folle expérience pharmacologique de toute l’histoire de l’humanité et ont été injectés avec des produits ARNm, des thérapies géniques présentées faussement comme des “vaccins”, absolument pas maîtrisés, et qui depuis un an se révèlent déjà dangereux par bien des aspects… Et que ces produits ont littéralement modifié/endommagé le système immunitaire des “vaccinés”… permettant ensuite à des virus classiques de pouvoir subitement faire des dégâts.
On peut mesurer donc le potentiel d’emmerdements tout à fait extraordinaire… le paquet de merde radioactive qu’on pourrait avoir sur nos fragiles épaules… 😉
Que va t-il se passer maintenant ? Que doit-on faire ?
Nous devons suivre les indicateurs évidents : nombre de cas, nombre de pays (car piste 1 ou piste 2… ça continuera forcément, en raison de l’effet de base : des gazillons de personnes…).
Et pister toute info relative au génome du virus, dans différents prélèvements, dans tous les pays touchés, afin de pouvoir absolument confirmer -ou pas- que c’est bien le même virus, classique, qui se balade en Afrique depuis des années.
Enfin, guetter les données relatives au profil des infectés (ont-ils été infectés par le couillonavirus avant, ont-ils été “vaccinés” contre le couillonavirus, si oui, avec quel produit).
Plusieurs mois après, nous ne sommes toujours pas capables de dire (ou on refuse de le dire) si les 500 enfants dans le monde touchés par des hépatites mystérieuses, étaient allaités ou pas… et dans l’affirmative si les mères étaient “dosées” ou pas…
On peut donc penser, au vu de la sensibilité du dossier… que ces infos seront difficiles à obtenir.
Mon opinion ? Les conséquences sont tellement vertigineuses… que le Système SERA OBLIGE de nous dire que le virus a MUTE (même si ce n’est pas vrai).
En terme de discours, c’est la seule position tenable. Mais elle sera fragile, car des scientifiques concurrents (je pense aux chinois, aux russes)… pourront détruire ces mensonges.
Je reboucle : imaginez la gueule des centaines de millions de “vaccinés” contre le Covid en Occident… si on leur disait :
“Ah… désolé les gars… mais maintenant vous pouvez ramasser comme des gros benêts des virus du moyen-âge contre lesquels vous étiez parfaitement protégés… euh… avant”.
😉
Popcorn et pinard.
Le spectacle ne fait peut-être que commencer.
(bien entendu, ce débat n’est valable que dans un certain cadre. Ainsi, si on pense que le Covipox est une fabrication, que le virus a été trafiqué en labo comme le couillonavirus le fut à Wuhan et qu’il s’agit du deuxième chapitre de la psyop chinoise… en clair une attaque, alors ça ne tient plus).
Currently, the CDC is monitoring six people in the United States for possible monkeypox infections after they sat near an infected traveler who had symptoms while on a flight from Nigeria to the United Kingdom in early May.
Bande de débiles mentaux… Si 1 mec = 6 infectés lors d’un vol de 6h30… alors nous avons un ENORME problème sur les bras !