Lorsque le britannique AstraZeneca a présenté les “résultats” de son vaccin anti couillonaviral, nous avons tous bien ri.
Le laboratoire claironnait une “efficacité de 70 %“… nombre magique mais qui était le résultat de… deux protocoles différents !
Une moyenne.
Dans le premier, une demi dose suivie un mois plus tard par une dose = 90 % d’efficacité.
Dans le second, une dose suivie un mois plus tard par une dose = 62 % d’efficacité.
Le tout demeurait bien entendu entouré de mystère. Ensuite, la société a dit que cette fantaisie avait été causée par une “erreur“.
J’avais écrit que c’était totalement “loufoque“.
J’étais en-deçà de la réalité…
La vérité apparaît enfin… et elle est ahurissante.
How the Oxford vaccine’s dosing mix-up REALLY happened: University researchers ‘didn’t trust Italian manufacturer’s measurement of the jab’s strength’ so gave participants smaller doses, investigation reveals (source DailyMail)
On parle d’événements qui se sont déroulés… en mai 2020… Il aura donc fallu 7 mois pour enfin connaître les dessous -puants- de l’affaire.
Je vous livre la synthèse covidémente :
-En mai 2020, soit 4 mois après l’apparition officielle du terrible virus en Chine, pouf, crac, un industriel italien est déjà en train de faire tourner ses bécanes pour produire un lot du candidat vaccin conçu par le labo britannique. La Perfide Albion est très rapide…
-Mais pas de bol, le Rital chie dans le pot de colle, enfin plutôt dans la cuve du produit…
-Les British qui reçoivent la came se méfient. Le truc est couleur jaune fluorescent… Alors qu’il devrait être bleu-nuit ! Zut. La tuile. 😉
-Ni une ni deux, alors que tout ce joli monde est soit-disant en “essais cliniques” hyper sérieux, randomisés mon-cul-mes-testicules… Ils décident par précaution de réduire la dose du produit, car Luigi, l’industriel italien, a eu la main lourde sur les quantités des composants Zob12 ainsi que Foune18 lors de la fabrication du fameux lot…
Shaun McLeod, le laborantin écossais responsable du contrôle-qualité, est formel : il a mis le doigt dedans et il a goûté. 😉 Trop fort, trop concentré. Beurk.
-Et c’est ainsi que finalement, dans le cadre des essais cliniques (phase 3), on se retrouve avec des cobayes qui reçoivent 2 doses du produit normal, et d’autres une dose et demi du brouet fabriqué en Italie.
Mamma mia !
Et vous appelez cela de la science ? !
Et il y a encore des demeurés pour accepter de se faire injecter un gag pareil ? 😉
Bonne année. Et à la revoyure l’année prochaine à Marienbad.