Selon les données officielles du gouvernement britannique… le variant indien a tué en proportion deux fois plus de gentils vaccinés que de méchants non-vaccinés, du 1er février au 14 juin 2021.
Hein ? What ?
Si, si.
Il s’agit d’un rapport du Public Health of England publié le 18 juin (document PDF ici) et consacré au terrible variant indien (ils le suivent semaine après semaine).
Page 12, on trouve ce superbe tableau :
- 35 521 cas confirmés avec le variant indien n’étaient pas vaccinés.
- 17 642 cas étaient vaccinés (1 doses, 2 doses)
Bilan ? 34 non vaccinés sont morts versus 37 vaccinés…
Zut.
Les autorités lâcheraient-elles aussi facilement un smoking gun ?
D’abord, il faut préciser que les Anglais sont les champions du séquençage quand la France (comme le rappelle Didier Raoult) se situe quelque part entre le Botswana, le Bantoustan et la Transylvanie bosniaque…
Ils sont équipés…. Nous on utilise plutôt le fric pour payer la CMU et les demandes d’asile de tous les docteurs en physique nucléaire qui débarquent quotidiennement dans notre beau pays.
Chacun ses priorités.
Quand les Anglais disent “on a X cas confirmés avec le variant indien” on peut donc les croire. Les mecs ont vraiment séquencé le bouzin.
Ces chiffres sont édifiants. Alors ? Tout est fini ? Je peux enfin fermer ce blog insensé ? 😉
Non, bien entendu.
D’une part, les médias ne reprennent pas ces rapports. D’autre part, ces chiffres sont -hélas- incomplets.
Si l’âge moyen des non-vaccinés est mettons 30 ans. Et que l’âge moyen des vaccinés s’élève à 80 ans… Il est bien évident que le couillonavirus (indien, pakistanais, breton, bosniaque ou sud-africain peu importe) décimera plus facilement les seconds que les premiers. 😉
Même un débile léger comme le petit Oliver Véran peut le comprendre (pour Karine Lacombe en revanche, joker voire même “l’appel à un ami”).
Autre croisement nécessaire : il faudrait indiquer l’âge… des morts. Vous imaginez si l’âge des vaccinés et non-vaccinés décédés était kif-kif ?
Alors cela démontrerait que les vaccins… tuent. Au lieu de protéger (par exemple la fameuse “Facilitation de l’infection par des anticorps”, ADE en anglais).
Autre données manquante : le type de vaccin… C’est un facteur important…
Il est bien évident que le Public Health of England dispose de ces données complémentaires… Leur absence dans le rapport semble donc assez signifiante… 😉
Toutefois, ces chiffres (durs, objectifs) ont déjà deux mérites :
-ils ridiculisent les vaccinés et les vaccinateurs. De nos jours, c’est révolutionnaire. Ne boudons pas notre plaisir.
-et ils démontrent que l’efficacité claironnée à 95,55565468 % de ces produits relève de la patacommunication, de la patascience, et rien d’autre (si on ajoute les hospitalisations, les effets secondaires et bien entendu les morts… forme ultime des “cas graves” si l’on peut dire…)
Bref, dans tous les cas de figure, les vaccinés et les vaccinateurs sont… déjà baisés. 😉
Et en prime, chaque jour qui passe est une sorte de tirage permanent du Loto… avec une chance de remporter la cagnotte : crever comme un gros benêt…
Eh oui mes chéri(e)s… vos injections remontent à quelques mois, voire quelques semaines. A peine.
Faut laisser sa chance au produit.
Faut laisser le temps d’agir. 😉
POST-SCRIPTUM
On attend toujours des données équivalentes du côté des gentils… Français. Après tout, la Sécu nous coûte encore plus cher que le NHS anglais. Alors on en veut pour notre pognon !
Et puis merde quoi, on a davantage de missiles et de sous-marins nucléaires que la Perfide Albion.
Les guignols fonctionnaires de l’agence Santé Publique France et des ARS continuent de compter chaque semaine les cas, les morts et les lits de réa occupés… mais c’est étonnant toujours aucune donnée concernant le statut vaccinal de ces covicas, covimorts et covimalades !
Quel dommage…
Vous n’avez pas encore appuyé sur la touche F12 de votre PC sous MS-DOS 8.0 ?
Ou alors… les données sont trop piquantes et vous n’osez pas les divulguer ?
Olivier ? Jérôme ? Jean ? Y’a quelqu’un ?
Vous avez tous piscine ?