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Israël : la vaccination part totalement en sucette

Au début on vous a dit :

La vaccination empêche l’infection (comme tous les vaccins classiques) : bide

Puis :

La vaccination empêche les formes graves, les hospitalisations : bide

Puis :

La vaccination empêche de… mourir : bide

Le vaccinobide est total, les données israéliennes le prouvent… et sont à la fois grotesques et terrifiantes.

Bon admettons que les admissions en “soins critiques” (ICUs en anglais) soient peu signifiantes…

Alors… les covimorts ? La mort c’est bien la forme ultime de la “forme grave” non ? 😉

Quatre doses de “vaccin” ça vous empêche forcément de covimourir ! Non ?

Ben non.

Vous êtes gros Jean comme devant. Et surtout 6 pieds sous terre.

Zut.

Voilà, vous pouvez l’imprimer et l’encadrer au dessus des WC.

Israël étant le pays “élu“… en avance… vous avez votre futur sous les yeux.

Rappel : Israël ce sont 9,2 millions de glandus, 85 % des adultes sont doublement injectés.

5 millions ont reçu la “3ème dose”.

Et 400 000 la “4ème dose”.

Ca marche tellement bien que les experts israéliens préconisent d’étendre la 4ème dose à tous les individus de plus de 18 ans (comme la Thaïlande, article à venir).

Bon et si ça continue de ne pas fonctionner, alors courage, Pfizer lance ses essais cliniques sur la version 2.0 spéciale “Omicron” qui cette fois juré craché fonctionnera. Ou pas. 😉

Au passage cela constitue un aveu : le produit injecté en ce moment même (3ème, 4ème dose et enfants)… ne fonctionne pas contre le variant courant.

Que penser de tout cela ?

Il est désormais évident que monsieur Albert Bourla, le greco-américain  con comme une enclume qui dirige Pfizer et qui se croyait encore il y a peu le roi du monde… va très mal finir.

Albert, on t’avait pourtant prévenu… Ils te jetteront sous un bus, car tu n’es qu’un idiot utile.

Tu seras l’agneau sacrificiel. Le symbole expiatoire.

Tant tes crimes sont… considérables… à l’échelle planétaire.

Albert, un conseil… écris ton testament, fais des donations, mets tes affaires en ordre, tape toi une dernière pute et un dernier trait de coke, pardon une dernière dose de ton produit ARNm.

Tes contrats à la con évacuant toute responsabilité de la société Pfizer, ne te seront d’aucune aide lorsque tu seras, toi personnellement, traîné au pénal.

Bye, bye Albert.

Tu as joué. Tu as été joué. Et donc tu as perdu.

“Merde… J’ai fait une grosse boulette. Je me suis fait baiser”
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Résistance Vrac

Temps et virus : le problème des 2 pilules rouges

Morpheus s’est planté. Il y a 2 pilules rouges.

Deux ans.

Ceux qui me lisent depuis le 20 juillet 2020 connaissent mon mantra : chaque jour qui passe affaiblit les explications couillonavirales classiques (“ils font des erreurs“, “on n’a pas assez de données” etc.) ainsi que les explications subsidiaires, aussi aberrante (“c’est pour enrichir Big Pharma” etc.).

Plus ça dure, plus la covidémence révèle mécaniquement sa nature extraordinaire.

Pourtant, le virus ne semble pas être à la hauteur, ce n’est pas Ebola.

Conclusion : la covidémence est bel et bien une conspiration.

J’ai proposé dès le début une pilule rouge (psyop organisée par la Chine afin d’affaiblir l’Occident, dans un monde sous contraintes en terme de ressources).

Mais il y a un problème.

Car plus ça dure, plus cela renforce aussi l’angle “arme biologique” de la covidémence et donc… la dangerosité du virus.

Les 2 sont liés. Car une arme biologique est forcément dangereuse… Qui s’amuserait à fabriquer un “rhume” et à le déployer sur la planète ? Ou alors… pour provoquer une “vaccination” qui elle serait l’arme ? 😉

On revient en quelque sorte au point de départ.

Discours typique : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète continuent d’agir comme si le virus était hyper dangereux… donc il est hyper dangereux, ils nous cachent le fait qu’il s’agit d’une arme biologique”.

Autre version : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète font tout pour nous vacciner alors que la maladie est peu dangereuse, donc cela cache quelque chose de terrible : c’est une arme biologique à effet retardé”.

On dispose désormais d’une importante littérature quant aux effets du virus : les poumons, le système immunitaire qui s’emballe, les problèmes vasculaires, les caillots sanguins etc.

Le virus a plusieurs moyens/voies pour abîmer/détruire l’organisme (déjà affaibli, un point à ne jamais oublier).

Il ne tue que des gens… déjà morts (en gros).

En revanche, personne ne se retrouve en réanimation avec les poumons fondus, plusieurs mois après avoir été infecté.

Tout le monde sera d’accord sur ce point.

Mais quid des effets neurologiques ?

Car enfin, ce virus a une particularité… il peut s’attaquer au cerveau.

On pense bien entendu aux symptômes immédiats : la perte du goût et de l’odorat

La science est comme un enfant en bas âge face au cerveau… On accumule des connaissances mais à une échelle toujours réduite face à sa complexité.

Dès lors, une question surgit : le Covid pourrait-il, en tant qu’arme biologique, avoir des effets long terme sur le cerveau ?

Voilà la deuxième pilule rouge.

D’où mon titre.

Résumons :

-c’est désormais évident le Covid est bien une situation du type “pilule rouge/pilule bleue”… entre ceux qui réfléchissent et les covidéments neuneus qui gobent le spectacle.

-mais, le problème se complexifie… car nous pouvons avoir 2 pilules rouges.

Laquelle choisir ?

😉

Personnellement, je rejette la deuxième, je tente simplement de comprendre le fonctionnement des covidéments, voire de l’anticiper.

La problématique de la durée, de l’obstination ahurissante, extraordinaire au sens propre, des gouvernements du monde entier… sont des arguments que les covidéments peuvent retourner en quelque sorte, pour justifier et renforcer encore davantage leur comportement.

Car n’oublions pas que le premier symptôme du couillonavirus est… la paranoïa.

One pill makes you larger
And one pill makes you small
And the ones that mother gives you
Don’t do anything at all

Go ask Alice
When she’s ten feet tall
And if you go chasing rabbits
And you know you’re going to fall

(Jefferson Airplane – White Rabbit)

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Asie Saloperie et sida mental Tests PCR

Viol : Pékin réintroduit le test PCR anal

Hélas, les propagandistes du PCC ne veulent pas le peindre en vert (votre cul).

Qui est partant pour un test PCR dans le fion ? C’est le coup de génie des propagandistes du PCC.

Au début on a cru à une blague. C’était en janvier 2021.

Je m’en suis donné à coeur joie… Vous me connaissez, le cul c’est mon dada… 😉

Lien : https://covidemence.com/2021/01/27/dites-33-apres-la-bouche-le-nez-voici-le-test-pcr-anal/

Lien : https://covidemence.com/2021/02/12/test-anal-comment-interpreter-les-resultats/

Puis, c’est devenu un peu plus sérieux. Plusieurs diplomates américains dans l’Empire du Milieu ont été humiliés de cette façon en février 2021

Lien : https://www.nbcnews.com/news/world/u-s-diplomats-china-subjected-anal-swab-testing-covid-19-n1258844

Pékin a dit comme d’habitude qu’il s’agissait d’une “erreur“. Forcément. 😉

Ils étaient au mauvais endroit, au mauvais moment. Pas de bol. Les risques du métier, en somme.

Un an après, et pour l’anniversaire de l’opération de Wuhan, le cirque est réactivé.

Cette fois pour rehausser l’hystérie covidémentielle (et les nombreuses mises en scènes) liée aux Jeux olympiques d’hiver… organisés par la Chine.

Ainsi, un quotidien chinois affirme que 27 personnes ont été testées analement suite à la découverte horrifique du premier (?) cas Omicron dans un immeuble à Pékin (dont les portes ont été bien entendu scellées dans la plus grande tradition wuhanienne).

Un cas Omicron dans une mégalopole de 21 millions d’habitants ça la fout mal.

Lien : https://www.the-sun.com/news/4512129/china-anal-swabs-covid-mandatory-winter-olympics/

On est ici au coeur de la psyop chinoise : mélanger choses grotesques (pangolins…) et sérieuses pour achever de vous faire perdre le nord.

Sans oublier, les méthodes classiques des états totalitaires : l’humiliation des victimes.

Un test PCR anal est un viol.

Un viol physique doublé d’un viol psychique.

Technique de guerre sale régulièrement remise au goût du jour.

Et nous parlons ici de Pékin, le centre du pouvoir chinois.

La situation est donc limpide : ces techniques, leur mise en scène et leur communication, sont approuvées par le pouvoir central.