La liste des molécules actives contre le couillonavirus devient longue comme le bras.
A tel point que ça en devient… embarrassant…
Une équipe de chercheurs en Floride a identifié un couple de molécules qui démolit le couillonavirus, lorsque elles sont utilisés en conjonction.
Il s’agit d’un antihistaminique (contre les allergies, les rhumes)… le Diphénhydramine (en France, c’est le fameux Nautamine par exemple, contre le mal des transports, ou encore Actifed, contre les rhumes).
Et de la Lactoferrine (une protéine présente dans le lait maternel, vendue comme complément alimentaire).
Bref, deux molécules vendues sans ordonnance… dont il sera difficile de dire qu’elles sont subitement très dangereuses. 😉
Mais on ne sait jamais ! Dans ce domaine, l’imagination d’Olivier Variant et de ses complices est dé-bor-dan-te.
In lab tests on human and monkey cells, the combination was particularly potent: Individually, the two compounds each inhibited SARS-CoV-2 virus replication by about 30%. Together, they reduced virus replication by 99% (source).
Karine Labombe va encore nous faire une jaunisse et changer de mari.
La pauvre.
Data from the experiments show that a highly specific sigma receptor binding drug candidate (with pain relieving properties), and formulated combinations of over-the-counter products (such as diphenhydramine and lactoferrin) have the potential to inhibit virus infection and decrease recovery time from COVID-19, the researchers concluded.
Quelques liens :
Protective Effects of Lactoferrin against SARS-CoV-2 Infection In Vitro