Il s’agit d’une histoire individuelle parmi des milliers d’autres (hélas).
L’histoire de la haine éprouvés par des médecins pour leurs patients, et de l’oubli de tous les principes fondamentaux de la médecine.
Le tout factorisé par un fanatisme, un zèle qui fait froid dans le dos.
Soit un papy de Hong-Kong, 71 ans, qui se rend aux Etats-Unis pour visiter sa fille et sa petite-fille (qui fêtera son 1er anniversaire).
Pas de bol, à l’arrivée, il chope le Covid. Très vite, son état empire… Il est hospitalisé (dans l’Illinois)… ça s’aggrave… Il finit en réanimation, sous ventilation, pendant plusieurs semaines (source ZeroHedge).
Et c’est là où ça devient magique, osons le mot.
Les médecin de l’hosto déclarent que ce patient :
“basically on his death bed” with a mere 10 to 15 percent chance of survival.
Voilà, ils s’apprêtent à faire passer le chariot à roulettes. Ciao Mickey. On va tirer le rideau. Le générique de fin commence à défiler.
A ce moment, la fille du patient, ingénieur de formation, se documente un brin et demande aux médecins de lui donner de l’ivermectine.
Après tout, foutu pour foutu… ça coûte quoi d’essayer ?
L’hôpital refuse.
Ca-té-go-ri-que-ment.
La fille va alors voir un juge. Ce dernier impose à l’hôpital d’administrer le produit au patient.
L’hôpital refuse encore, et fait preuve de mauvaise foi, en interdisant à la fille de visiter son père et en déclarant que les médecins qui peuvent administrer l’ivermectine sont… absents.
La fille retourne une fois de plus en justice, cette fois le juge s’énerve.
L’hôpital se soumet enfin… Le patient est traité… Et… miracle, alors qu’il était quasiment déjà mort… Le type se réveille, s’alimente, réapprend à marcher, et zou, finit par sortir de l’hosto (un mois au total) !
Disons le tout de suite : peu importe de savoir si l’ivermectine est responsable ou pas de ce miracle (ou Jésus, ou Boudha ou Allah ou le tirage du Loto).
Ce n’est pas le sujet.
Ce qui est significatif c’est cette folie hospitalière et surtout cette haine absolue les poussant à refuser d’administrer une molécule éprouvée, ancienne, inoffensive à un patient qui selon leur propre diagnostic est quasiment déjà mort.
Pourquoi une telle réaction fanatique ? Pourquoi un tel refus enragé, si irrationnel ?
Nous sommes là au coeur du réacteur de la covidémence.
Il est bien évident que toutes les actions anti ivermectine (anti HCQ, anti antiobios etc.) ont été décidées au plus haut niveau, mais sans haine, par pragmatisme simplement parce qu’il fallait tuer tout traitement médicamenteux contre le couillonavirus, pour la réussite du plan.
La haine, elle, se développe ensuite naturellement chez les kapos, les échelons inférieurs, les petites mains de la saloperie. Dans le cas présent, des médecins, des infirmières, des administrateurs.
Et si l’on prend un peu de recul, c’est une constante historique car humaine.
Ce sont les petits qui montrent la plus grande saloperie mentale et surtout le plus grand zèle dans le mal.
Inutile de les payer, de les soudoyer… Il suffit de correctement les manipuler.
La covidémence s’appuie sur une connaissance pointue, systématique de la psyché humaine… D’où son succès planétaire.
Ce n’est pas uniquement de la propagande, façon tonton Joseph G.