
Un énième symbole de la covidémence, de ce monde “post-moderne” où la simple logique et le bon sens n’existent plus.
Le chef de la diplomatie US est animé par une obsession, un objectif vachement important qui lui tient à coeur. Il vient de signer un accord international dans ce sens.
Concrètement, l’accord doit «faciliter la première livraison de vaccins Johnson & Johnson», qui ont l’avantage d’être unidose et d’être faciles à transporter et stocker, «à des personnes vivant dans des zones de conflit» ou en proie à des crises humanitaires, a-t-il ajouté. «Nous sommes impatients de voir ces personnes dans des situations difficiles être protégées dès que possible du Covid-19. Nous savons que ce combat est urgent», a insisté Antony Blinken. (source Le Figaro)
Reformulons : tu vis en Afrique, pas de bol, dans une zone où les tiens et d’autres tribus se foutent sur la gueule (depuis la nuit des temps).
Tu as 20 ans, tu n’as rien à bouffer à part des herbes et des cailloux. Tu marches au milieu des rafales de Kalachnikov, tu as choppé un Sida carabiné plus la malaria, ta femme peut être gang raped à tout moment puis éventrée (juste pour le fun) et tes cinq enfants découpés à la machette (“long sleave or short sleave ? “).
Bref… tu as une somme d’emmerdements assez considérable à gérer…
Mais le blanc neuneu, covidément, gauchiste, suicidaire et manipulé par les Chinois ainsi qu’une chiée de lobbies, sait ce dont tu as le plus besoin.
Si, si.
Il le sait.
Un “vaccin” contre… le Covid !
Voilà.
Et il faut lui dire “Merci Bwânâ”.
