Des culs de 200 kilos et larges de 1 mètre 50 qui débordent. Des volumes adipeux invraisemblables.
Donc, la compagnie aérienne woke… offre un siège gratuit en plus d’un siège payé… pour accommoder ces masses gélatineuses (source) !
Problème. L’industrie du transport aérien se résume en une équation économique simplissime : poids x distance. 😉
En clair : le siège “offert” à Madame ou Monsieur Gras-Double… c’est vous, les gens bêtement normaux qui le paierez.
Imparable.
Notez que Southwest utilise l’expression “client de taille” (“customer of size“).
Vous -grossophobes d’extrême-droite- en étiez restés à l’aimable “fort” voire “corpulent“…
Au-delà de ce wokisme commercial… cela révèle une profonde maladie.
Les Etats-Unis récompensent, célèbrentdes monstruosités physiques, des comportements aberrants et dangereux (car ces gens sont condamnés à mourir jeunes).
C’est toute la propagande contre le “body shaming” et en faveur de la “body positivity“.
La “body positivity” est un permis de tuer (lire ici).
Madame Oligéaneuse au lieu de pourrir la vie des autres passagers… devrait plutôt se mettre au régime fissa. Et si elle veut vraiment faire voler ses 200 kilos à 40 000 pieds d’altitude, alors elle devrait en payer le prix.
Le prix au kilo.
Je boucle sur mon mantra : où est la volonté de puissance dans ce culte mortifère, dans ce suicide civilisationnel ?
Nulle part bien entendu.
Vous connaissez la question subsidiaire. Qui va gagner ? Qui ? Mais qui ? 😉
Poutine fait la retraite de Russie à l’envers. Xi Jinping est blanc comme un linge jaune. Et les Africains se fendent la poire.
Les Etats-Unis implosent et gonflent… en même temps.
La chute est alors toute trouvée : c’est la fin des temps.
POST-SCRIPTUM
La photo au début de cet article n’est pas une fake niouze.
Il s’agit bien d’une “influenceuse” (auto proclamée)… âgée de 27 ans et obèse (150 kilos) du nom de Jealynn Chaney (originaire de Vancouver).
Elle fait actuellement du lobbying auprès d’un sénateur US pour généraliser la pratique du “siège gratuit” en faveur des obèses.
Et puis de l’autre… il y a le terrain. Les observations. Les mains dans le cambouis. Les témoignages.
On ne peut pas dissocier les uns des autres en se pinçant le nez comme le font trop souvent les propagandistes (“on peut discuter de tout sauf des chiffres, prout“) ou les simples d’esprit (“t’es pas docteur, t’es pas qualifié, re-prout“).
Voilà pourquoi dès janvier 2020, il fallait écouter les uns et les autres.
Des médecins, des infirmières, des malades, des injectés-empoisonnés en France et dans les autres pays… en plus du travail effectué sur les données.
“On utilise des antibiotiques… c’est miraculeux !… Nous sommes une trentaine de médecins et nous traitons le Covid avec des antibiotiques… Le virus agit avec un co-facteur bactérien… On a plus de 3 000 patients… quasiment tous des succès”.
Rien que cette seule interview de ce seul médecin aurait dû stopper net le délire ambiant et envoyer Véran, Salomon en taule.
Et on peut se demander pourquoi son interview ne fut JAMAIS censurée sur Youtube (vérifiez)…
[note : un grand merci au lecteur qui a envoyé l’article paru le 30 JUIN 2020 du docteur Bellaïche dans La Tribune Juive… Son premier témoignage sur l’utilisation avec succès des antibios pour traiter les malades du Covid est donc ENCORE PLUS ANCIEN ! Il faut absolument le lire.]
Parce qu’il s’agissait d’un média israélien (Radio futée) ?
J’en suis persuadé… tant l’antisémitisme est l’angle mort des gauchistes-constructivistes qui sévirent pendant la Covidémence.
Le souk post 7 octobre 2023 le démontre AMPLEMENT.
Ils n’ont tout simplement pas osé.
A l’époque, l’hystérie était pourtant généralisée, massive.
Il suffisait d’écrire le nom de Raoult ou d’évoquer l’azithromycine (antibiotique) pour être intimidé, attaqué par le Conseil de l’Ordre, censuré, humilié, honni, exclu, pourchassé, banni des réseaux sociaux…
Bref.
Trois ans plus tard… il n’est jamais trop tard.
Voici donc le témoignage remarquable d’une infirmière californienne (qui fut licenciée fin 2021).
Elle est posée, éloquente, très précise ; un modèle !
Impossible de croire qu’elle soit embauchée comme actrice.
Faites l’effort (22 minutes).
Son point fort ? Quasiment tout y est !
Tout ce que Pierre Chaillot a pu vous dire (armé avec ses statistiques)… Tout ce que les vrais médecins, les lanceurs d’alerte français ont affirmé depuis 2020 (Perronne, Christine Cotton, etc.)… TOUT SE RECOUPE.
Voilà l’intérêt de ces témoignages.
Quand des gens différents voient les mêmes choses, arrivent aux mêmes conclusions à des milliers de km les uns des autres, le tout rehaussé par des données… cela PARLE.
Mieux, cela DEMONTRE.
Cela reconstitue le puzzle.
Cela dévoile la vérité.
Synthèse et traduction à la volée :
-elle souligne d’abord que toute la Californie était très “compliant” [comprendre, conforme, le petit doigt sur la couture de la covidémence. Normal puisque état gouverné par la gauche].
-“2020 : les hôpitaux n’étaient pas pleins contrairement à ce que les médias racontaient. Notre hôpital était vide. C’est là où j’ai compris qu’on nous mentait. J’ai des collègues partout en Californie et durant 2020 et l’hiver 2020/2021 aucun hôpital n’a été surchargé.”
-“les hôpitaux sont pleins en hiver… et vides en été. C’est normal. C’est le cycle. En hiver, les gens sont malades avec la grippe. Nous n’avons jamais été submergés.”
-“les protocoles Covid… faisaient du mal. Je n’ai pas réalisé immédiatement… Tenir à l’écart les familles, ça c’était un crime. Une violation de mon serment.”
-“Ensuite le Remdesivir… Le seul médicament autorisé -autorisation expérimentale- pour les patients Covid [en France, ce fut l’infâme Rivotril… Outre-Manche le Midazolam]. On apprend à l’école qu’un anti-viral donné plus de 24 à 48h après le début des symptômes n’est pas efficace et est même contreproductif. Avec le Covid, on attendait 10 ou 12 jours après les symptômes. Et je demandais : mais pourquoi on fait ça ? Aucune réponse des administrateurs. Je savais par contre que ça coûtait 3 000 dollars par dose.”
-“Très tôt il y a eu des témoignages sur l’efficacité des stéroïdes contre le Covid” (venant de soignants). [contre l’inflammation] Nous avons ignoré ces recommandations. Mais en plus, il était interdit de les utiliser. C’était criminel, face à une maladie avec forte inflammation.” [on retrouve le même thème universel : l’interdiction de tout traitement… HCQ, de l’invermectine, antibiotiques etc.]
-“Le restez chez vous a aggravé la situation. Si les cas n’étaient pas assez graves, on renvoyait les malades chez eux… et quand ils ne pouvaient plus respirer, ils revenaient…” [autre élément-clé de la covidémence début 2020… qui permit de tuer, littéralement, des gens, afin d’incarner la pseudo terrible pandémie].
-Début des injections des produits ARNm (fin février 2021). Début mars elle commence à constater… que l’hôpital se remplit (inhabituel puisque le pic hivernal est passé) et que les personnels manquent à l’appel. “Avril, juin, je travaillais non stop. Mon manager m’a dit fin juin que l’hôpital avait eu 3 fois plus d’admissions que d’habitude. J’ai vu de nombreux patients avec des caillots sanguins étranges, des attaques cardiaques.”
“En 10 ans, j’ai eu 2 Guillain-Barré. Là en quelque semaines, 4, avec apparition rapide des symptômes. Deux m’ont dit qu’ils avaient reçu le vaccin juste avant”.
-“J’ai voulu rapporter ces incidents (“adverse events“). Mon manager m’a dit : non. Car on ne peut pas prouver la causalité” [argument lancinant, répété ad nauseam par les faibles d’esprit… qui ne comprennent pas que le nombre parvient à circonscrire cette impossibilité].
-“Une collègue fut menacée d’être licenciée” [elle-même le fut en octobre 2021].
-Elle estime à 30 % la proportion de ses collègues qui voyaient les mêmes choses qu’elle… “Les autres ne voulaient pas faire de vagues. Peur de perdre leur carrière, leur source de revenus etc. Ils ont vendu leur âme” [on retrouve au fond les mêmes proportions que dans l’expérience de Milgram].
-“Dès le début de la vaccination, nous avions facilement la moitié des hospitalisés Covid… qui étaient vaccinés.”
-Le système informatique à l’hôpital [“Epic system“] : “pas programmé (et les personnels pas formés) pour indiquer le statut… vacciné” [pour les malades du Covid hospitalisés] !
C’était en standard “non vacciné“, voire “statut vaccinal inconnu” [on retrouve ici toute la thématique du “codage” des données au niveau hospitalier, leur manipulation, un élément-clé de la Covidémence, thématique explorée de fond en comble par notre serial commentateur, Jean-Luc Bozek avec Pierre Chaillot].
-“De nombreux collègues ne posaient même pas la question à leurs patients ! Ils supposaient que les malades n’étaient pas vaccinés puisque c’est ce qu’on leur répétait, y compris dans les médias.”
POST-SCRIPTUM
Au-delà des témoignages de praticiens, il y a également les témoignages… de malades. De victimes.
En France, citons les associations :
-Où est mon cycle : des milliers de femmes furent blessées (problèmes menstruels).
Tous ces témoignages sont importants… Leur masse donne du sens. Leur nombre révèle les faits.
Les crapules bloquent les données en amont, via les systèmes de pharmacovigilance (sous-déclaration patente et ensuite l’argument des ravis de la crèche : “impossible de prouver la causalité“)…
Tous les témoignages de victimes, en aval, viennent combler ces trous.
POST-SCRIPTUM BIS
Un autre médecin témoigne. Cette fois en Allemagne. Et ce qu’elle dit est bouleversant…
Elle reconnaît avoir détruit la vie de dizaines de personnes (“jeunes et en bonne santé“)… en injectant.
C’est bientôt Noël. Quel sera le cadeau-tendance cette année ?
Un variant du Covipox ?
Rappel des faits.
En mai 2022, une nouvelle psyop débute. Son nom ? La “variole du singe“.
Appellation fallacieuse… car cet énième virus est différent de celui qui traîne depuis des décennies en Afrique.
Différent ? Ou bien ce sont les corps humains qu’il infecte qui seraient différents… comme plus sensibles ?
Il ne cible que les homos, les purs, les durs (partouzes, chemsex, VIH… la totale)…
C’est une MST anorectale.
CQFD si j’ose dire.
En outre, ce virus provoque de simples… boutons… et ne tue pas (là aussi, l’OMS chercha de toutes ses forces un mort “de” la variole du singe en Occident… sans succès à part quelques mecs ravagés par… le Sida).
Le CDC américain et les médias sombrèrent, bien entendu, dans le ridicule le plus absolu en tentant de parler des gays… mais sans parler des gays puisque il s’agissait de ne surtout pas discriminer (lire mon article séminal : comment s’enculer sans s’enculer). 😉
On découvrit même avec stupéfaction… qu’une simulation d’une pandémie à base de “variole de singe” avait été effectuée en… 2021 !
Les médias aux ordres répétaient donc que ce virus pouvait s’attaquer à “tout le monde” y compris les femmes et les enfants (ce qui est complètement faux, à la différence de la véritable variole du singe… en Afrique).
En vain.
Le wokisme des sociétés occidentales eut raison de la pseudo nouvelle pandémie.
Même le nom provoqua des remous ! “Monkeypox“… c’était trop “raciste” ! Prout !
La tuile. 😉
Les autorités choisirent alors le neutre “mpox“… La farce était ainsi complète.
Toute l’affaire se termina dans une flatulence grotesque… ambiance Saga Africa / secousses anales.
Quant à moi, la filiation logique et provocatrice s’imposait : le “Covipox“…
Car inutile d’avoir fait Médecine 1ère année option Couture pour détecter un lien.
Un virus connu mais toujours circonscrit (endémique Afrique de l’ouest/centrale)… qui “sort” subitement (après une campagne massive de “vaccination” contre le Covid)… de manière opportuniste…
Et que l’on retrouve -comme par hasard- dans des corps épuisés par des produits ARNm toxiques, épuisés par le chemsex et épuisés par un bain permanent de miasmes (relations sexuelles anales, partenaires multiples…).
Rappelons en outre que le Covipox apprécie particulièrement les porteurs du VIH…
Un pseudo vaccin fut mis en avant (expérimental puisque créé dans une optique de défense nationale, face à la variole, la vraie, mortelle, et qui pourrait être militarisée… absolument pas contre la “variole du singe”).
A l’été 2022, quelques gays hystériques à New York, San Francisco ou encore Londres firent la queue (forcément) et furent ravis de recevoir 2 injections supplémentaires, après les 4 ou 5 contre le “Covid”, sans oublier celle contre… la grippe.
Des bons gros neuneus !
(on ne répètera jamais assez à quel point ces “communautés”, ces “minorités” sont de parfaits idiots utiles).
Un an et demi après… vont-ils tenter de rejouer la pièce ?
L’alerte de l’OMS pourrait le laisser croire :
WHO ‘very worried’ about spread of mpox in DRC (source Reuters)
Ils font le coup du variant et cette fois en insistant… sur le tueur d’enfants (près de 600 au Congo) !
Je rappelle que la population infantile est une cible de choix. Un virus qui fauche des vieillards (Covid) les gens s’en tapent un peu, voire complètement (soyons honnêtes).
Alors qu’une maladie qui tue des enfants, la charge émotionnelle est considérable (et à raison, puisque les enfants par définition constituent l’avenir de toute société humaine).
Bref… comme pour le couillonavirus, on retrouve les mêmes ingrédients, mélange de faits et de manipulations, avec une bonne lampée de foutage de gueule.
Quelque chose a bel et bien tué ces “600 enfants” au Congo, mais quoi ?
Un virus ? Ancien ou nouveau ? Ou la malnutrition ? Et est-ce que cela arrivera chez nous ? L’étiquette “mpox” est-elle une manipulation ?
Un virus est désormais toujours le “variant” d’un autre…
C’est bien pratique pour raconter des histoires.
POST-SCRIPTUM
Pour vous remonter le moral en ce jour du seigneur, rappelons les sombres prédictions de Geert Vanden Bossche… au sujet du Covipox.