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Vaccinocide

La lame se rapproche de la nuque de Pfizer

Au bout de l’hubris et de la démesure dans le mensonge… la lame. Finale.

Les fabricants de vaccins sont protégés aux Etats-Unis (loi fédérale dite Prep, votée en mars 2005, qui leur donne l’immunité, c’est le cas de le dire, face aux éventuels dégâts provoqués par leurs produits dans le cadre d’une urgence sanitaire).

Cette loi fut réaffirmée en mars 2020 pour les besoins du “Covid”, bien entendu.

A noter qu’une autre loi datant de 1986 (le National Childhood Vaccine Injury Act) accorde déjà une forte protection aux fabricants de vaccins (et pas uniquement pour les enfants, contrairement à l’intitulé de la loi).

Mais un état américain a trouvé une faille : le Kansas (large victoire de Trump en novembre 2024 avec 57 %).

En janvier 2024, ils ont attaqué Pfizer pour “pratiques commerciales trompeuses“.

Une cour locale a accepté le dossier. Pfizer a immédiatement contre-attaqué au niveau fédéral (pour faire reconnaître et appliquer la protection accordée par la loi Prep).

Pas de bol… Le juge fédéral a précisé que les “pratiques commerciales trompeuses” ne rentraient pas dans le cadre de la loi !

Il renvoie donc le dossier à la cour locale qui va pouvoir continuer.

L’idée du Kansas (et on l’espère, d’autres états ensuite) est géniale.

Oui Pfizer et Moderna sont protégés, leur responsabilité est exonérée pour les terribles effets secondaires provoqués par leurs poisons, décès et blessures (quoi que… ce qu’une loi a fait, une autre loi peut le défaire)… mais ils ont péché.

Comment ? Par leur communication, leur marketing… leurs délires des “95 % d’efficacité” et leurs “sûr et efficace” !

Toute la propagande insensée qui a déferlé sur les Etats-Unis à partir de la fin 2020, sans parler de leurs mensonges et des faits qu’ils ont dissimulés.

En clair voilà les points faibles :

  • Pfizer n’a pas révélé de liens entre son produit et des risques comme la myocardite, la péricardite (voir l’affaire de l’étiquetage désormais exigé par la FDA).
  • L’entreprise a faussement vanté l’efficacité sur la durée de son produit (ses données internes montraient au contraire une baisse rapide de son efficacité).
  • Pfizer a trompé le public en affirmant que le produit empêchait la transmission du virus (affirmation non étayée par des études).

Vous imaginez les risques financiers encourus par Pfizer ? A l’échelle. C’est-à-dire : colossaux. Rappelons qu’aux Etats-Unis la justice débouche souvent sur des réparations qui dépassent l’entendement en termes de montants.

La loi Prep protège certes les fabricants contre les conséquences physiques de leurs produits… mais elle ne les protège pas contre leurs mensonges ni leur propagande délirante.

Voici la source officielle au Kansas :
https://www.ag.ks.gov/Home/Components/News/News/182/1292

D’autres actions judiciaires sont en cours, dans d’autres états, et qui elles aussi testent les limites de la fameuse loi Prep…

Cela fait depuis 2021 que je répète que l’étau finira par se resserrer autour de la nuque de ces entreprises criminelles ; nous y sommes.

Oui c’est lent, trop lent, mais c’est réel.

Imaginez un barrage hydraulique… La moindre petite fuite, lente au début, peut subitement devenir catastrophique et provoquer la destruction complète de l’ouvrage.

Et la raison est très simple à comprendre : avec le “Covid”, ils ont été TROP LOIN, TROP FORT.

Sans parler de l’aspect politique, évident, brûlant même.

Impossible de comparer en termes d’échelles et d’intensité avec d’autres scandales pharmaceutiques “classiques” (thalidomide, Mediator, OxyContin, Vioxx, Dépakine, etc.).

POST-SCRIPTUM

Nous disposons d’un excellent indicateur avancé… celui qui criera à la face du monde que Pfizer et son complice Moderna sont finies.

Leurs cours de bourse. 😉

A fortiori aux Etats-Unis où le pognon est maître.

Cela sera, avec une ironie imposée, comme… une myocardite financière fatale…

Les rats quitteront le navire de plus en plus rapidement. Jusqu’au zéro de la destinée.

Aujourd’hui, à 23,32 dollars l’action… la valorisation de Pfizer est renvoyée au MEME NIVEAU que septembre 2012 !

Sacré “retour vers le futur”, non ?

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Vrac

Cancer de l’endomètre : la piste bactérienne

“Aucun doute, je la vois aussi clairement que la perruque de Brigitte… il s’agit bien d’une bactérie !”

Nouvelle surprise surprenante. Et surtout encore un cancer qui pourrait rejoindre la liste de ceux provoquées par… un agent infectieux.

Comment ? Vous ne le saviez pas ? Faut vous mettre à la page !

On estime que seize pourcents des cancers sont directement provoqués par des bactérie, virus et autres parasites. Une proportion officiellement admise a minima (certains parlent de 20 %).

Exemples ? Le col de l’utérus avec les papillomavirus humains ou encore le cancer de l’estomac avec la bactérie Helicobacter pylori.

Soit le cancer de l’endomètre (muqueuse interne de l’utérus). Il s’agit du quatrième cancer chez les femmes. Huit mille nouveaux cas par an en France.

Une étude menée par la clinique Mayo en 2021 pointe du doigt la responsabilité d’une bactérie : Porphyromonas somerae.

Cette association n’est pas totalement nouvelle. Certains scientifiques (qui ont contribué à cette étude) en parlaient déjà en 2016 puis 2019.

Le développement de cette bactérie serait accélérée par… les niveaux d’œstrogènes.

L’un des chercheurs affirme :

« Nous sommes allés au-delà de la simple association et corrélation pour démontrer le comportement pathogène », déclare le Dr Walther Antonio. « Il s’agit d’une avancée significative dans la compréhension du rôle du microbe dans la maladie »

Notons qu’on retrouve souvent cette vilaine bactérie… dans les cancers de la vessie (étude italienne publiée en 2024). Encore une association statistique troublante…

Au-delà de cet agent pathogène, on commence à comprendre l’importance du microbiome dans l’oncogénèse et le développement de la maladie.

Et cette relation est double. D’abord comme réservoir de micro-organismes (certains peuvent devenir pathogènes, lorsque invasifs, à l’instar des Candida), mais aussi (surtout ?) via le système immunitaire (étroitement lié au microbiome).

Ce monde stupéfiant (en taille et en variété) qui colonise nos entrailles et que l’on qualifie même de second cerveau… est décidément au centre de nombreux processus biologiques.

Toutes ces bactéries, virus et autres champignons ont de multiples effets y compris indirects, via leurs métabolites (leurs sous-produits). On peut même soupçonner des interactions, des effets de potentialisation (ou de suppression) les uns avec les autres.

Rappelons pour les sceptiques qu’une tumeur cancéreuse n’est absolument pas… stérile (idée encore largement répandue y compris chez de nombreux oncologues et autres pseudos professionnels de la profession). En réalité, elle abrite (et autour d’elle) de nombreux micro-organismes (y compris des champignons que l’on découvre peu à peu).

Les pisse-froids, au lieu de se mettre au travail devant ces découvertes extraordinaires n’ont qu’un seul mot à la bouche (en cul-de-poule, forcément) : “Corrélation n’est pas causalité. Nanananèèèèèèèèèère !“.

Y’en a marre des corrélations. Forcément.

Il s’agit d’un terrain encore peu exploré et surtout bien plus complexe que la théorie officielle (dite des “mutations somatiques“) selon laquelle des mutations dans l’ADN d’une seule cellule (sur trente mille milliards) provoqueraient le cancer.

Ces mutations, nombreuses et très variables d’un individu à un autre et même d’une tumeur à l’autre (chez un même cancéreux) sont bien réelles.

Mais elles paraissent de plus en plus (et à part quelques cancers particuliers, des leucémies) comme des effets et non des causes.

Le dogme qui statufie l’industrie du cancer depuis des décennies, vieillit décidément bien mal. Jusqu’à en devenir ridicule, comme un comédien essoré, barbouillé par un maquillage excessif et lâché par les spectateurs et les critiques.

Ainsi, cette pseudo science est toujours incapable d’expliquer pourquoi un jeune sportif qui ne fume pas… se paye un carcinome carabiné des poumons… Alors qu’un vieillard ayant avalé quotidiennement 2 paquets de Gitane depuis son adolescence, décède de sa belle mort à un âge canonique.

Devant tant de contradictions, on baffouillera, on utilisera des mots complexes, on vous débitera des contes à dormir debout.. Sauf qu’à la fin, on en arrive -piteusement- à accuser…. la malchance.

La fatalité.

C’est Alexandre Le Bienheureux appliqué aux sciences de la vie, ou quand la fainéantise dissimule -bien maladroitement- la bêtise ainsi que les conflits d’intérêts, évidemment…

Comme si on pouvait assimiler un cancer à… un accident de voiture.

Cet aspect infantile est frappant (on le retrouve souvent au sein de Big Pharma, inutile de revenir sur la farce des “vaccins” ARNm).

S’il s’agissait d’une simple controverse intellectuelle entre une poignée de scientifiques aussi barbus que barbants… cela n’aurait pas beaucoup d’importance.

Mais rappelons que les cancers tuent en gros 10 millions de personnes dans le monde. Chaque année. Le très méchant Sars-Cov2, rétrospectivement, fait doucement rigoler.

Dans certains pays riches (France, Canada) les cancers constituent désormais la première cause de mortalitédevant les maladies cardiovasculaires (eh oui, le podium évolue !).

Si vous voulez creuser la piste des agents pathogènes, et en particulier les champignons, je vous conseille le remarquable livre de Mark Lintern (dont la traduction française sortira fin juin).

POST-SCRIPTUM

Savez-vous que l’on commence à parler d’agents infectieux… y compris pour l’Alzheimer ?

Eh oui… Cette maladie neurologique (identifiée en 1907 par un médecin teuton eugéniste)… tourne en rond avec une théorie officielle qui craque sous ses propres contradictions : les “plaques amyloïdes“.

On patine dans la semoule depuis des décennies… malgré la mobilisaton de moyens très importants et on s’acharne à produire des molécules high-tech qui vont détruire ces plaques…. Bilan ? Foirage total.

C’est d’autant plus hallucinant que nous savons que des individus ayant le cerveau plein de ces fameuses “plaques”… n’ont jamais développé la maladie de leur vivant !

10 à 30 % des personnes âgées sans symptômes cognitifs peuvent présenter de telles plaques…

La tuile.

Pour se défausser, les clowns de service ont alors inventé  l’Alzheimer… “asymptomatique“. 😉

Cela ne vous rappelle rien ? Si bien sûr !

Si vous placez côte-à-côte cancer, Alzheimer et Covid… alors tout s’éclaire !

Suprême ironie : ces “plaques” pourraient en réalité être… une DEFENSE NATURELLE contre des pathogènes…

D’où l’hypothèse infectieuse en tant que cause -principale- de la maladie.

Bref, encore un sujet passionnant qui secoue Big Pharma dans ses fondations et avec toujours le même tryptique en filigrane : bêtise, hubris et fraude.

Pour aller plus loin, je vous recommande le nouveau livre de Charles Piller (un journaliste scientifique) : Doctored : fraud, arrogance and tragedy in the quest to cure Alzheimer’s.

Edifiant. Renversant.

Et j’insiste : tout est lié. La fraude insensée sur Alzheimer (avec des études bidonnées)… fait parfaitement ECHO à la fraude hallucinante au sujet du “Covid”, des vaccins ARNm (et derrière on peut ajouter les antidépresseurs, les opiacés “non addictifs”… la liste est longue, etc.)…

Les mêmes causes produisent TOUJOURS les mêmes effets.

POST-SCRIPTUM BIS

Et la sclérose en plaques alors ? Terrible maladie auto-immune… 120 000 personnes affectées en France… 3 000 nouveaux cas diagnostiqués par an. Cause inconnue…

Là aussi, vous avez sans doute entendu “génétique”… Les plus pointus d’entre-vous… certains virus… Mais sans succès.

Les dernières recherches… pointent du doigt des bactéries !

Source : https://www.sciencealert.com/scientists-identify-specific-bacteria-linked-to-multiple-sclerosis

On soupçonnait déjà l’influence du microbiote, mais sans en comprendre les détails.

Peut-on parler de coïncidences pour toutes ces pathologies étranges ?

Ou bien l’étau est-il en train de se refermer ?

A-t-on ignoré pendant des décennies ce que nous avions sous les yeux ? Des infections tout bêtement… et un système immunitaire qui parfois répond mal, de travers ou pas du tout… ?

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Vaccinocide

Vaccins ARNm : une technologie trisomique

Pourquoi “trisomique” ? Parce que ça y ressemble fortement, en terme de résultat… Et parce qu’il y a 3 anomalies… congénitales.

ARNm. L’un des mots-clés de la covidémence (avec Chine, peur, mensonge, folie, etc.).

Dès le début, nous nous sommes méfiés :

  • une nouvelle biotechnologie jamais utilisée sur une telle échelle
  • des sociétés pharmaceutiques à la manoeuvre, connues pour leur corruption insensée (et leurs très nombreuses condamnations en justice)
  • un calendrier absurde (des pseudos “vaccins” conçus en UN WEEK-END… et ensuite “testés” et fabriqués en quelques mois).

… Toutes les lumières clignotaient au rouge. Rouge sang. Les incertitudes, les risques étaient là, sous nos yeux.

Avec le recul, nous savons désormais que cette technologie n’est pas aboutie, pire encore qu’elle est incontrôlable et donc dangereuse.

Face à tous les ravis de la crèche qui continuent d’y croire et à tous ceux qui ont -hélas- été injectés, vous devez leur mettre sous le nez les 3 anomalies congénitales qui définissent les produits de Biontech/Pfizer et Moderna :

QUANTITE

Personne ne peut contrôler/garantir la quantité de protéines (antigènes) produite dans chaque individu. Avec un vaccin classique, la dose peut varier mais l’amplitude est CONNUE, maîtrisée. Avec l’ARNm… c’est la loterie et surtout le grand écart. Certaines personnes produiront très peu d’antigènes (donc aucune efficacité), d’autres en fabriqueront des quantités très élevées et pendant un temps long (provoquant des effets délétères sur le système immunitaire et autres désordres physiologiques).

DISTRIBUTION

Personne ne peut contrôler/garantir… où exactement ces produits vont se balader dans le corps, ni quelles sont les cellules dans quels organes qui vont fabriquer les protéines. La biodistribution est incontrôlable.

FIDELITE

Personne ne peut contrôler/garantir la fidélité du “plan” ARNm. En clair, il y a des “décalages” réguliers dans le code ARNm (frameshifting)… conduisant à la fabrication de protéines Frankenstein (en plus de la protéine voulue).

1+1+1 = ?

Quand vous additionnez ces 3 anomalies… vous obtenez un produit qui n’est EN RIEN une formulation pharmaceutique destinée à être utilisée chez l’humain c’est-à-dire un produit offrant des garanties aussi nombreuses que serrées et un profil de risque bien établi.

Vous avez en lieu et place un truc grotesque qui n’a AUCUN SENS ; une insulte à l’intelligence et à la Nature.

C’est un truc infantile, excitant sur le papier mais dont la réalisation est une catastrophe. Il y a beaucoup de pensée magique dans ce procédé.

Vous voulez visualiser les promoteurs de la technologie ARNm ? Des mômes dopés au sucre qui s’extasient sur une maquette de l’Enterprise dans Star Trek… et qui affirment ensuite qu’ils vont construire le vaisseau spatial grandeur nature…

L’énormité du crime commis est telle, en terme d’échelle, qu’on se heurte à une sidération globale.

Avec des MILLIARDS DE DOSES INJECTEES… on se retrouve face à la Gorgone qui statufie le monde.

Voilà pourquoi, la prise de conscience prend du temps.

Au mieux, Trump s’en servira comme de l’arme absolue pour détruire une bonne fois pour toute le parti Démocrate (et ses nombreux complices). C’est ma thèse (un poil gonflée, je l’admets).

Au pire… un beau matin… plus personne ne parlera de ces produits, de cette technologie bidon.

Une vaste amnésie collective s’abattra sur le monde.

C’est l’hypothèse la plus probable.

Pour aller plus loin : https://redpilltimes.blogspot.com/2025/05/600-million-covid-shots-and-2-million.html

POST-SCRIPTUM

En plus des 3 anomalies “congénitales” des vaccins ARNm… d’autres vents contraires soufflent (liste non exhaustive).

D’abord, les “nanoparticules lipidiques”. Ca fait plus de 20 ans qu’on sait qu’elles sont problématiques (réaction inflammatoire, toxicité, dégradation dans l’organisme, difficultés de fabrication). Et on voit mal comment s’en passer (il faut un véhicule pour transporter le code ARNm, très fragile).

Ensuite, le procédé de fabrication. Il y en a deux (à ce jour). L’un est précis mais lent et coûteux. Le second permet une production de masse… mais il est sale (il provoque de nombreuses pollutions ADN variables -bien au-delà des normes en vigueur- qui peuvent poser d’autres problèmes dans le corps humain).

Oui, les fabricants ont utilisé la première version pour le test clinique et la validation… Oui, ils sont passés ensuite… au deuxième procédé industriel (très différent) en affirmant en toute simplicité “c’est kifkif aucune différence“. Et la FDA a répondu “ah bon d’accord, merci“. 😉

Enfin, parlons des conditions de conservation (et donc de distribution en aval). Il est très drôlatique de constater que les poissons rouges ont déjà oublié le coup des “supercongélateurs” (farce absolue). D’abord, le brouet devait impérativement être conservé à -70 degrés (!)…. Et ensuite ? Une simple glacière faisait l’affaire. 😉

Je vous laisse imaginer l’état du “code ARN” et des “nanoparticules lipidiques” à l’intérieur des fioles… après de multiples étapes, entre la sortie d’usine et la piqûre…

Imaginer une logistique parfaite, hyper rapide, sans le moindre accroc, des conditions de stockage optimales, une distribution finale impeccable et une préparation aussi précise qu’experte (car oui… chaque fiole doit être diluée avant utilisation !)… déclenchera une franche crise d’hilarité chez n’importe quel observateur de la condition humaine.

Une conclusion est-elle nécessaire ?

Personne ne peut prendre au sérieux de tels produits.