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Résistance

Economie et immigration : pourquoi Trump est révolutionnaire

Et si il y avait un lien…. ?

Pourquoi Trump est révolutionnaire ? Pourquoi sera t-il réélu triomphalement en novembre ?

Sa campagne 2024 s’appuie sur cet axe : l’immigration.

Alors vous allez me dire, en citant Le Monde, Libération, LCI et BFMerde : “normal, il est râwciste, fâchiste, homophobe et poutinophile” (ne rayez aucune mention inutile).

Non.

Trump se place non sous l’angle civilisationnel (nous dirions ici “grand remplacement“)… mais sous celui de l’économie.

Outre-Atlantique, il existe une règle d’or… “It’s the economy stupid !“.

Voici ce que Trump dit (dans une interview récente consacrée à son programme économique) :

“Il estime que des restrictions sévères sont essentielles pour stimuler les salaires et l’emploi au niveau national. Il décrit les restrictions à l’immigration comme « le [facteur] le plus important de tous » dans la manière dont il remodèlerait l’économie.

« La population noire-américaine va être décimée par les millions de personnes qui arrivent dans le pays », dit-il. « Ils le ressentent déjà. Leurs salaires ont considérablement baissé. Leurs emplois sont occupés par les migrants arrivant illégalement dans le pays. Le langage de Trump tourne à l’apocalypse.

« La population noire de ce pays va mourir à cause de ce qui s’est passé, de ce qui va arriver à ces emplois –  emplois, logements, tout », poursuit-il. “Je veux arrêter ça.”

Rappelons que Biden et ses complices -par idéologie, par folie- ont démantelé la frontière au sud et ont laissé venir plus de 8 millions de personnes…

Des millions de crevards qui ont besoin de logements, qui encombrent les transports, les écoles publiques, qui pèsent sur les services municipaux, sur toutes les administrations (locales et fédérales).

Trump rejoint ainsi George Marchais… oui ! Le secrétaire général du PCF, le bon vieux parti communiste français !

A la fin des années 70, l’ouvrier Marchais avait parfaitement compris l’acide social et économique que représentait l’immigration de masse.

Début 1981 il déclarait :

“il faut arrêter l’immigration officielle et clandestine”.

Ca détruit les salaires des autochtones. Et ça n’a aucun sens dans un pays qui compte des millions de chômeurs !

C’est ici que les Européens sont totalement largués. Ils ne comprennent toujours pas le phénomène Trump et la pensée politique qui irrigue ses discours.

Trump n’a rien du débile mental que les gauchistes du Vieux continent aiment dépeindre (par flemme, par peur, mais surtout par médiocrité intellectuelle).

Trump veut défendre les prolos blancs et les noirs-Américains contre le globalisme qui conduit à l’appauvrissement, au chômage et au délitement social.

Et derrière cela, il y a toute une politique qui en découle (jusqu’aux taxes douanières contre ces enfoirés de Chinois qui détruisent méticuleusement depuis 25 ans les industries occidentales… et donc les prolos occidentaux… et donc la puissance occidentale).

Car en 2024, l’Ouest n’est même plus capable de fabriquer des obus de 155…

Trump est ainsi parfaitement cohérent. Et c’est le seul aujourd’hui.

Quel politicien soit disant de gauche oserait tenir de tels propos ?

Et d’ailleurs est la gauche en 2024 ?

Nulle part… chez nous.

La gauche fait la guerre dans des territoires lointains.

Elle est obsédée par la guerre puisque corrompue jusqu’à la trogne (par le complexe militaire, Big Pharma etc.).

La gauche est le parti de l’étranger, donc le parti de la traîtrise.

Economie et patriotisme (le vrai, pas celui des néocons et des socialistes qui font la guerre)… voilà les 2 mâchoires qui vont broyer les Démocrates en novembre prochain.

POST-SCRIPTUM

On sait déjà que Trump mettra fin à la boucherie en Ukraine.

Mais quid de Taïwan, l’autre hochet utilisé par les néocons neuneus pour énerver bêtement la Chine (qui en joue, dans une énième manipulation style Covid) ?

Trump comme d’habitude… commence par l’économie. Taïwan doit “payer” pour sa protection !

Et il déroule l’argumentaire, implacable.

“Taiwan took our chip business from us,” he says. “I mean, how stupid are we? They took all of our chip business. They’re immensely wealthy.”

Ensuite, Trump est le SEUL à rappeler ce que n’importe quel collégien peut constater sur une carte…

“Taiwan is 9,500 miles away,” he says. “It’s 68 miles away from China.”

Prétendre défendre Taïwan contre la Chine continentale n’a AUCUN SENS pratique, militaire et géopolitique !

Zéro la tête à toto.

Aucun US marines n’acceptera de mourir à 15 000 km de chez lui pour défendre des Chinois contre… des Chinois qui habitent à 110 km !

Le temps du Vietnam, de l’Irak, de l’Afghanistan c’est terminé.

Des guerres absurdes, ultra violentes, toujours lointaines, créées et entretenues pour… le pognon.

Trump aujourd’hui s’appuie sur le pognon (vulgaire !) pour soigner cette pensée toxique qui empoisonne –littéralement l’Amérique depuis des décennies.

Là encore, c’est révolutionnaire.

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Résistance

Tentative d’assassinat : et Trump devint Jésus

Qui peut désormais empêcher Trump de revenir à la Maison Blanche ?

Dieu ?

Non.

Trump a clairement passé un deal avec lui !

Neuf coups de feu, 1 mort, 2 blessés dont 1 grave… il est parvenu à en réchapper. Le tireur a été tué.

L’ancien président a donc été victime d’une tentative d’assassinat lors d’un meeting en plein air en Pennsylvanie, samedi soir.

Blessé à l’oreille et entouré par les membres du Service Secret… il a encore eu la force et le courage de se relever et de brandir le poing, à plusieurs reprises, en prononçant “‘fight” (?)… Rendant la foule de ses supporters encore plus hystérique.

Alors qui avait vu juste une fois de plus ? C’est bibi (aidé de mes colifichets magiques bien entendu) !

Tout était écrit là, dès le mois de janvier :

Lien : https://covidemence.com/2024/01/28/de-lassassinat-de-donald-j-trump/

La géopolitique et la divination… c’est comme la médecine ; c’est un métier. 😉

L’élection était déjà une farce avec Joe Biden La Couche Pleine s’accrochant à son déambulateur… on verse désormais dans la tragi-comédie…

L’attentat raté est le pire des scénarios pour les Démocrates !

Une catastrophe politique.

Ils sont désormais au fond du trou :

  • leur candidat sucre les fraises et s’accroche comme un poux.
  • et leur opposant est Jésus ressuscité d’entre les morts !

Pire encore : des témoins (au moins 2) ont vu le tireur grimpant sur le toit AVEC UN FUSIL [2ème témoin ici]… et ils ont PREVENU ou tenté de prévenir les hommes du Secret Service ainsi que la police… sans réaction de leur part !

Même avec beaucoup de triche en novembre… ça va être dur, très dur… il faudrait un contre-miracle (crise cardiaque de Trump, turbo cancer de Trump, malaria aiguë de Trump, grippe aviaire de Trump j’en passe et des meilleures).

Un mot toutefois sur l’apprenti assassin : c’est manifestement du travail d’arabe. 😉

-sa dégaine (short miteux, cheveux longs, lunettes, mal rasé) le classe parmi les antifas crasseux, ayant peu d’expérience avec les armes à feu. On apprendra probablement que c’est un gauchiste fanatique (un problème supplémentaires pour les Démocrates… qui seront tenus pour responsables).

[il a été identifié : âgé de 20 ans]

-son positionnement (il est monté sur le toit d’un petit bâtiment, avec un fusil, voilà pourquoi certains dans la foule l’ont vu !) démontre l’amateurisme, ou la folie. Ou les complicités intérieures…

Bref, ce n’est pas -encore- le véritable attentat (qui nécessiterait, comme je l’avais écrit, d’importantes quantités d’explosif, pour justement éviter un tel ratage).

Dans tous les cas, Trump tient là une parfaite excuse pour réduire la voilure d’ici novembre (ses meetings en plein air étaient une pure folie).

Et surtout l’administration traîtresse américaine va être enfin obligée de renforcer sa sécurité (une réclamation récurrente… systématiquement refusée on se demande bien pourquoi !).

God bless America… pardon ! God bless Trump !

Trump a passé un deal avec Dieu ! …
… la preuve il en a écrit un bouquin !
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Saloperie et sida mental

C’est fait : le New York Times pousse Joe Biden sous le déambulateur

“Comment je m’appelle ? Où suis-je ?”

Jeudi, lors du premier débat télévisé contre Trump, Joe Biden a perdu, en 1h30, toute crédibilité en tant que candidat à sa propre réélection en novembre prochain.

Reformulons : les observateurs sincères de la vie politique américaine savent depuis… 2 ans que Biden a subi un déclin cognitif sévère et qu’il n’est plus apte à occuper la Maison Blanche… et a fortiori d’y rester 4 années supplémentaires !

Cette évidence –qui se voit, s’entend– fut pendant 2 ans… combattue, niée par les médias, les commentateurs proches des Démocrates et bien entendu par toute l’administration américaine sans oublier les proches de Biden (à commencer par son épouse, véritable criminelle).

Mais jeudi soir… tout a brutalement changé.

La campagne de Trump a synthétisé le débat… en 95 secondes.

Et ces secondes sont extrêmement brutales. Violentes.

La non assistance à personne en danger, ainsi que la maltraitance de personne âgée… s’étalent sur grand écran, en “direct live” comme disaient les jeunes (désormais vieux).

Sans oublier la phrase assassine de Trump… comme quoi il ne sait pas ce que vient de dire Biden !

Il aura fallu attendre… exactement 24 heures pour que l’hallali soit officiellement sonné.

Et ici, il s’agit bien entendu du New York Times… le célèbre quotidien américain qui tient le haut du pavé de la moralitude, de la moraline, de la justice, du bien, du beau.

Le New York Times c’est la Bible de la bienpensance, le Kama Soutra des gauchistes, le Petit Livre Rouge des constructivistes, les Dix Commandements des dégénérés.

Mais le New York Times c’est surtout… la voix de son maître (l’état profond américain, le clan Obama etc.).

Le comité de rédaction du prestigieux journal américain New York Times a appelé vendredi le président Joe Biden à se retirer de la course à la Maison-Blanche après son calamiteux débat la veille face à Donald Trump.

Dans un éditorial publié vendredi soir et intitulé «pour servir le pays, le président Biden doit quitter la course» à la Maison-Blanche, le New York Times a décrit Joe Biden comme étant «l’ombre d’un dirigeant», après que le président de 81 ans a «échoué à son propre test». (Le Figaro)

Le maître a donc parlé. Le Verbe fut.

Joe Biden est ainsi poussé sous le bus. Ou plutôt sous un déambulateur, voire un fauteuil roulant.

Toutes les troupes reçoivent le message 5/5 (seuls quelques malades mentaux continuent d’y croire et de jouer la comédie).

Sous la pression de sa garce d’épouse, mais aussi de son propre délire cognitif, l’entourage de Joe Biden a affirmé qu’il ne se retirerait pas

Mais c’était AVANT l’édito du New York Times… 😉

Joe Biden (1942-2024)

Que va t-il se passer maintenant ?

Une simple… urgence médicale.

Une mauvaise chute, un mauvais virus, une mauvaise pathologie.

Joe Biden, hospitalisé, pourra alors se retirer en sauvant la face.

De l’autre côté, le remplaçant a déjà été choisi. La machine Démocrate tournera à plein régime jusqu’à la  convention du parti mi-août. On peut s’attendre à un torrent inouï de propagande.

Le remplaçant (ou plutôt la remplaçante) de Biden sera alors propulsé, mieux encore que la fusée géante Space X de Elon Musk.

Littéralement placé en orbite. Il ne manquera plus que le “bip bip” façon Spoutnik, et le “Houston, do you copy ?” d’Apollo.

C’est la seule chance, la seule narration possible pour éviter la catastrophe absolue (pour eux) : le retour de Trump à la Maison blanche.

Au-delà de l’état de décrépitude de Joe Biden, il faut souligner l’autre éléphant dans la Maison blanche : le bilan désastreux.

Voilà pourquoi… nous assistons à une mise en scène (le débat sur CNN… dont la date fut fixée très en avance par rapport à la tradition… voilà bien une preuve flagrante qui expose le plan du parti Démocrate…).

Remplacer Joe Biden est le meilleur moyen de se débarrasser du terrible bilan !

Nommer au dernier moment un autre candidat c’est l’équivalent politique de la Vierge Marie.

Toute l’opération est en réalité décidée et paramétrée depuis de nombreux mois.

Si la candidate Vierge Marie échoue, si la psyop ne prend pas… alors il restera la dernière carte à jouer, très, très risquée, incendiaire même : l’élimination physique de Donald Trump.