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Saloperie et sida mental

Passé la Borne y’a plus de limites : 17 mars 2020

“Tu la vois ma main ? Dans ta gueule !”

C’est la fête à Elisabeth Borne, le nouveau premier ministre (Zemmour a raison : “première ministre c’est moche à l’oreille“).

Et dire que la dernière était… Edith Cresson.

En 1991.

Le drame.

Les jeunes ne peuvent pas comprendre notre détresse. 😉

“François tu m’excites avec tes dents. Ah Edith… j’aime ton tailleur framboise écrasée”

Bref, 17 mars 2020, le jour de l’infâmie.

1mn58 de sida mental carabiné à la télé, pépère, décontractée du gland, ou plutôt du micro, genre oblige.

N’oubliez jamais !

Comme des veaux à l’abattoir, vous avez signé… vos “auto-attestations”

Elisabeth, en service déjà commandé, expliquait au cheptel le fonctionnement du dispositif…

Pour le reste, tout est dans la presse.

Bornée, méchante, rigide.

On l’appelle “madame bornée“. Voire même “Borne-out” à la RATP (dont elle fut la patronne).

Le Point dit qu’elle est “froide comme un glaçon“…

Je vous invite à lire son portrait “chinois” ainsi que ses exploits récents… car madame est une admiratrice de la Chine.

Ni une ni deux, elle a pris comme dir’ cab’ un parvenu con comme une enclume… Aurélien Roussseau.

Ce sinistre personnage… était le DG de l’ARS Ile-de-France (lorsqu’en 2020 on achevait les vieux au nom du “Covid”, avec du rivotril).

Ce type… fut d’abord prof’ d’histoire-géo’ tout en militant au Parti communiste… Et ensuite fit l’Ena.

Le Parisien écrivait l’été dernier, comme pour l’excuser : “énarque atypique” et “parfois taclé pour son autoritarisme“.

Copain de Bertrand Delanoë… Bref, la crème de la crème “socialiste”.

Le parangon de l’entre-soi.

Toute cette bande de crapules est Pfizer à fond les seringues, pro passe sanitaire, dictature sanitaire, confinement, rivotril, remdesivir, anti traitements, anti “médecins qui soignent”, amis de la Chine, etc…

Ils cochent toutes les cases.

En clair, Macron 2 installe un gouvernement covidément au coeur.

Ce n’est bien sûr pas un hasard.

Attendez-vous au pire pour le poste de ministre de la Santé…

Vous allez bien vous amuser durant les prochains mois ! 😉

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Asie Humour

Quand le Covid joue au volleyball

Le Covid -lui- sait où il faut envoyer le ballon !

Dix heures du matin, ma villa au bord de mer est inondée de lumière.

J’ouvre une bouteille de Crozes-Hermitage et je me pose sur le sofa.

Oui, je sais…

Avec ma compagne, nous suivons les 31èmes Jeux d’Asie du Sud-Est, organisés cette année au Vietnam.

Chouette, j’adore le Vietnam.

Un match de volleyball Thaïlande/Indonésie est retransmis en direct à la télévision.

Re-chouette.

J’adore le volleyball… mais féminin exclusivement.

Belles femmes longilignes, aux muscles fins et ciselés, en mini short très moulant et qui -avec une certaine espièglerie- se tapent sur les fesses à chaque point gagnant (ou pas d’ailleurs).

Mais je m’égare ! Ce n’est pas le sujet. 😉

A noter que les joueuses indonésiennes, en majorité, portent un foulard (noir) sur la tête et dissimulent leurs jambes sous un collant (noir).

Après une bouteille descendue, je remarque une chose bizarre. Les équipes ne changent pas de côté après chaque set.

Le vin du Rhône me jouerait-il des tours ?

Je me tourne alors vers ma compagne et lui lance :

Amour brûlant et phare de ma vie, ma poulette adorée, mon virus galant préféré, ma myocardite céleste, pourquoi les joueuses ne changent-elles pas de côté, nom d’une pipe ?

Elle écoute les présentateurs thaïs qui baragouinent dans le poste, expliquant le pourquoi du comment de cette étrangeté.

Puis elle sourit. Ses longs yeux de Siam s’illuminent. Elle sait d’avance qu’elle va me faire plaisir.

C’est à cause du… Covid. Pour réduire les risques de contamination.

A cet instant, je comprends subitement deux choses :

  • 1 elle est bien la femme de ma vie.
  • 2 la semaine couillonavirale commence très bien, je dois m’ouvrir une seconde bouteille de vin.
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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Soignants : toc, toc, toc c’est l’heure de la piqûre

Soumis à l’obligation vaccinale pour pouvoir exercer, les professionnels de santé vont devoir mettre à jour leur schéma vaccinal par l’injection d’une nouvelle dose. Faute d’injection, ils seront interdits d’exercer. (source France Info)

Voilà pourquoi les soignants virés, les dangereux terroristes zérovaxx, ne seront pas réintégrés !

Car le dosage obligatoire doit perdurer.

Et pourquoi cela ?

Car il s’agit du “ventre mou”.

Vacciner une infirmière est facilement justifiable (puisqu’elle s’occupe de malades, etc.).

Une infirmière, un médecin sont censés s’occuper également de leur propre santé… D’où le dosage pour eux-mêmes.

Pour le plus grand nombre, et par ce jeu d’association d’idées, les injections paraissent ainsi logiques.

Et donc à peu près acceptables.

Cela permet d’animer la covidémence, de l’incarner (car c’est quoi une terrible pandémie sans “vaccin” ?) mais surtout de faire accepter plus facilement les injections… parmi le reste de la population.

Car l’objectif -politique- n’a pas bougé d’un iota : injecter l’ensemble de la population, même les nourrissons, supprimer tout groupe contrôle.

(La FDA aux Etats-Unis travaille en ce moment sur les autorisations pour le dosage… des bébés !)

Seules les méthodes et les calendriers changent (les élections française mettant par exemple le processus forcément entre parenthèse, et plus largement la saison estivale en Europe).

Accepter la présence de zérovaxx dans les hôpitaux, en les réintégrant, casserait évidemment cette fragile mécanique.

C’est aussi simple que cela.

Nos condoléances à ces milliers de personnes.

Ce sont des otages.

Des victimes expiatoires.

Quant à ceux qui ont déjà accepté l’hostie couillonavirale (convaincus ou forcés) et qui vont devoir continuer… nos condoléances également.

Et même plus fortes… 😉