Caramba, encore raté !
Vous saviez déjà que les chiffres de mortalité étaient bidonnés aux USA (lire ici et là et encore là), ainsi qu’en Belgique.
J’avais ajouté l’Angleterre et l’Italie, mais sans préciser mes sources.
Londres vient de nous obliger.
La méthode de comptabilisation des morts du couillonavirus vient en effet d’être modifiée !
Et miracle de cette arithmétique politique : on passe ainsi d’un bilan de 46 706 morts à 41 329. Soit une baisse de 11 %.
Que s’est-il passé ?
«Un patient qui a été testé positif, mais a été soigné avec succès, sera compté comme mort du Covid même s’il a eu une attaque cardiaque ou s’est fait écraser par un bus trois mois plus tard», dénonçait l’étude publiée mi-juillet, qui demandait à «réparer cette erreur statistique conduisant à une sur-exagération des décès associés au Covid».
(Source le Figaro)
Deux bémols : ce changement officiel de méthode… n’intervient que :
à la suite des critiques émises par une étude de l’Université d’Oxford, intitulée «Pourquoi personne ne peut jamais guérir du Covid-19 en Angleterre – une anomalie statistique».
En clair, ils ont été pris la main dans le sac de la manip, humiliés publiquement… donc le ministre de la Santé, Matt Hancock, a dû réagir.
Deuxième bémol : la nouvelle méthode permet de continuer de surestimer les chiffres. Car l’ancienneté du test n’a jamais été le seul problème !
Le problème de fond demeure entier : un homme de 90 ans, diabétique, cancéreux et qui meurt soudainement d’une crise cardiaque.. sera toujours compté en covidécès… s’il est positif au Covid.
Que le test date de 28 jours ou moins, est un sous-problème, un faux-problème.
On reconnaît bien ici le vice des Anglais.
Ils reconnaissent un petit mensonge, on espérant pouvoir s’en sortir avec le plus gros.
Lire aussi l’article du DailyMail.