le masque ne sert à rien, mais il faut ad vitam se masquer ;
leur virus ne tue plus, mais il faut se cacher ;
les tests ne prouvent rien, il faut les multiplier ;
les cas recensés ne sont pas des mortels, mais il faut faire comme si ;
il y a un vaccin russe, mais il faut lui dire merde ;
le Donald veut son vaccin, mais il faut lui dire merde ;
les enfants ne meurent pas, mais il faut les masquer ;
les jeunes ne meurent pas, mais il faut les emmerder ;
les jeunes gens ne meurent pas, mais il ne faut pas les marier ;
les familles existent encore, mais il faut les crever ;
nous sommes indemnes et en faillite mais il faut les payer (pour trouver un vaccin) ;
nous respirons encore, mais il faut nous taxer ;
nous survivons encore, il faut nous confiner ;
le peuple est à épouvanter, mais pas à effrayer ;
il faut lui faire peur, pas l’infantiliser ;
et puis continuer en attendant fracture…
Un excellent résumé de la démence française par l’écrivain Nicolas Bonnal.
Avec en filigrane, l’infection macronienne… et son “en même temps“…
Je boucle donc sur Marsault. 😉