Preuve que la covidémence est la chose la mieux partagée au monde.
Rappel : ce pays d’Asie du sud-est compte 69 millions d’habitants, et affiche au compteur 3 500 covicas… et 58 covidécès. 😉
De nombreux restaurants, y compris les bouibouis de rue, ont ces hallucinantes “séparations” en plastique…
Le masque est obligatoire dans les lieux clos (shopping malls, magasins etc.)… A l’entrée, une préposée vous prend religieusement la température sur le front (avec une merde chinoise à 1 euro avec un “laser”, qui ne fonctionne bien entendu absolument pas, l’essentiel est que la lumière verte s’allume).
Un petit coup de liquide désinfectant sur les mains (vous ne voulez pas connaître sa composition…).
Dernière étape : vous êtes censé “check in” dans une application à la con sur votre smartphone… Ou alors, écrire votre n° de téléphone sur un cahier… 😉
Le tout est devenu un ballet totalement absurde mais qui est respecté (à part le coup du téléphone).
A la télévision, dans les émissions de jeux à la con…. les invités portent tous les fameuses visières en plastique transparent ! Avantage : cela permet de voir leurs dents blanches et leur lifting… tout en faisant un gros, gros virtue signaling…
Ou si vous préférez : preuve de la conformité aux impératifs édictés par le groupe. Très important en Asie.
Début septembre, le pays avait fêté son 100ème jour sans infection couillonavirale locale (les quelques dizaines de nouveaux cas étant uniquement des personnes arrivant de l’étranger et placées d’autorité en quarantaine).
Les vols commerciaux internationaux sont toujours interdits. L’industrie touristique a été totalement détruite… Et un état d’urgence sanitaire, OVNI para-légal et politique de circonstance, est reconduit de mois en mois par le gouvernement composés de militaires bas de plafond.
Voilà par l’humour, je voulais juste démontrer que la covidémence est bien réelle, constante, étalée dans le monde entier, et que parfois elle atteint des sommets surréalistes.
Et pourtant, comme disait l’autre, “elle tourne“… La Terre.
Nous sommes le 7 septembre 2020… soit 8 mois après le premier cas couillonaviré officiel en dehors de Chine qui avait été confirmé par… la Thaïlande ! C’était le 7 janvier 2020.
Entre le 1ᵉʳ mai et le 24 août 2020, 178 598 décès sont enregistrés en France à la date du 4 septembre, soit 1 % de moins qu’en 2019 et le même niveau qu’en 2018. (Insee)
Pourquoi cet indicateur est-il important ? Explications :
-la pandémie couillonavirale est officiellement terrible, ce qui justifie des mesures hors normes (masques, interdiction rassemblements etc.)
-elle doit donc provoquer de terribles dégâts et tuer de nombreuses personnes qui ne seraient pas mortes sans l’action du virus.
-donc, la surmortalité doit être visible par rapport à la mortalité habituelle, et ce sur des périodes comparables.
Dans le cas du Covid, l’arnaque gouvernementale apparaît depuis déjà plusieurs mois en pleine lumière ! Le nombre total des décès est inférieur aux années précédentes. C’était vrai dès le mois de mai, et ensuite confirmé les mois suivants.
Comment est-ce possible ?
Puisque nous sommes toujours en “guerre” contre une terrible pandémie, qui justifie le confinement, des atteintes ahurissantes aux libertés, le masque partout et en toutes circonstances, y compris pour nos enfants, et un coup d’arrêt brutal à l’économie dans son ensemble ?
Le scénario ne tient tout simplement pas.
De plus, le pic du mois d’avril, une réelle surmortalité, sera probablement “lissé” d’ici la fin de l’année… Car il y a une arnaque dans l’arnaque : de nombreux vieillards/malades tués officiellement par le Covid… seraient en fait morts durant l’année, avec ou sans virus (à cause de leur grand âge et de leurs nombreuses pathologies).
Donc, répétons-le : le seul juge de paix c’est le nombre total de décès toutes causes confondues du 1er janvier au 31 décembre. Rien d’autre.
Car on ne peut pas mentir avec l’état civil…. Un mort est un mort… On ne peut pas le compter deux fois, ou oublier de le dénombrer.
Répétons également que l’Insee est profondément malhonnête de commencer ses graphiques au 1er mars… Evitant ainsi soigneusement les grippes hivernales de 2019 et 2018 qui ont tué (en janvier et février)…
Permettant ainsi de “gommer” la comparaison avec 2020, et de mieux faire ressortir le pic couillonaviral du mois d’avril…
Pour mieux vous faire peur.
Enfin, signalons que la Suisse connaît exactement le même phénomène (lire article ici).
On peut se tromper pendant quelques semaines au début de l’épidémie… Mais 7 mois après, continuer dans la covidémence alors que nous avons toutes les données nécessaires ?
La bêtise, l’incompétence se transforment alors -de manière implacable- en volonté criminelle, continue et perverse.
Voilà pourquoi la justice devra passer. Et finira par passer.