-foutage de gueule quant au nombre… 9 singes au total ! Non, on n’a pas oublié 3 zéros derrière.
-et ces résultats précis sont beaucoup moins excitants que les annonces initiales (comme d’habitude), voire même franchement inquiétants déconcertants.
A trial of the vaccine in rhesus macaque monkeys did not stop the animals from catching the virus and has raised questions about the vaccine’s likely human efficacy and ongoing development. (source The Telegraph).
En effet :
“There was no difference in the amount of viral RNA detected from this site in the vaccinated monkeys as compared to the unvaccinated animals. Which is to say, all vaccinated animals were infected,” Dr Haseltine wrote in an article on Forbes.
“That viral loads in the noses of vaccinated and unvaccinated animals were identical is very significant. If the same happened in humans, vaccination would not stop spread,” he said. “I genuinely believe that this finding should warrant an urgent re-appraisal of the ongoing human trials of the ChAdOx1 vaccine.”
Résumons.
-On teste le vaccin sur des échantillons insignifiants (humains et animaux)
-On bidonne (dans l’un des groupes humains… les cobayes étaient tous âgés de moins de 55 ans… tu parles d’un moyen d’évaluer l'”efficacité ” contre le couillonavirus ! Je suggère de faire les tests uniquement sur des adolescents… et alors on aura du 100 %)
-Et le vaccin… euh… ne protège pas vraiment.
-Et le vaccin n’empêcherait pas d’être… contagieux !
Et le tout, sans aucun recul, puisque développé à la va-vite en quelques mois.
Alors que des effets secondaires délétères peuvent apparaître des mois voire des années plus tard.
Vous l’aurez compris maintenant… le motto est : “ces vaccins de merde et inutiles, ils ne passeront pas par moi“.
Sauf si vous avez 90 ans, 140 kilos sur la balance, un diabète carabiné, une hypertension de folie, un coeur en compote et quelques cancers de-ci de-là.
Je l’ai souvent répété : le juge de paix ce sont les décès toutes causes confondues.
Car ils ne peuvent pas être bidonnés, tordus, biaisés.
Le raisonnement est le suivant : une terrible pandémie, pour être terrible et pour être pandémique, doit nécessairement tuer des gens qui n’auraient pas dû mourir. CQFD.
Cela semble raisonnable. Ou alors on parle d’autre chose, d’un virus quelconque, mais pas d’une terrible pandémie.
On doit donc mécaniquement constater une hausse du total des décès durant l’année, par rapport à l’année précédente (ou à la moyenne des années précédentes).
En clair : on doit voir une anomalie statistique par rapport aux années sans la terrible pandémie.
L’Insee vient de mettre à jour ses données avec les décès du mois d’octobre pour la France (source ici).
Voici le tableau par mois et la comparaison avec 2019 (en valeur absolue et en pourcentage).
Plusieurs constats :
-oui il y a bien une hausse, une surmortalité par rapport à l’année précédente (+6,2 % = + 31 520 morts).
-non une telle hausse n’est pas un ahurissant événement démographique jamais vu au cours de l’histoire de l’humaaaaaaaaanité démontrant ainsi la violence de la terrible pandémie.
Pour comparaison (série Insee France métropolitaine depuis 1946), voici les plus fortes hausses annuelles (supérieures à +4 %, par rapport à l’année précédente) depuis 1946.
On le voit, même récemment… la bonne vieille grippe… a fait des dégâts en 2015 (+6,36 % de décès par rapport à 2014) !
-la hausse en 2020 a été alimentée pour un quart… par l’absence d’épidémie de grippe en janvier et février (la comparaison avec janvier et février 2019 ne souffre aucune contestation). Je reformule : tous les pseudos morts du Covid en mars… ont pu être qualifiés de covidécès car la grippe a oublié de les tuer en janvier et février !
-au 1e novembre 2020, le bilan officiel des “covidécès” (hôpitaux plus les mouroirs, pardon les Ehpad) est 38 289 + 12 079 = 50 368 morts.
Ce total est donc trompeur (pour rester poli), car en contradiction avec le nombre total de “surmorts” de 31 520.
Ce n’est un secret pour personne (à part les cinglés pervers du gouvernement), on estampille “covimort” tout et n’importe quoi. La plupart sont des vieux déjà malades (avec 1 ou plusieurs comorbiditiés). Le Covid a tué aussi des gens qui étaient en quelque sorte DEJA MORTS, qui seraient morts de toute façon dans l’année (de leurs problèmes cardiaques, de leur hypertension, ou de vieillesse tout simplement).
-alors vous allez me dire : comment peut-on attribuer les + 31 520 uniquement au couillonavirus ? On ne peut pas en effet. Il faudra du temps pour creuser les données (et évaluer les dommages collatéraux provoqués par les confinements par exemple etc.)
Mais encore une fois, on peut tirer des conclusions si on suppose que les 31 520 “surmorts” ont été causés uniquement par le Covid. Ca nous donne une limite “haute”.
D’abord, cela nous permet d’évaluer, jauger la réalité de la menace.
Ce +31 520 croisé avec les données âge et comorbidités (vérifiées dans tous les pays)… permet de comprendre que le couillonavirus est une grippe sévère montée en épingle, ce que nous appelons la covidémence donc.
Ensuite, mettre en regard (de la menace)… les destructions insensées, les coûts gigantesques provoqués par la covidémence dans les pays comme la France… Confinements etc.
La question dès lors est évidente : tout ça pour ça ?
Balance coûts/bénéfices.
Enfin, l’autre avantage, très important, de cet indicateur… est la comparaison avec les autres pays.
Car autant les bilans de “covidécès” changent d’un pays à un autre, les méthodes de calcul changent, toutes les manips sont possibles, autant là on ne peut pas bidonner.
Un mort est un mort qu’il soit grec, italien ou français.
L’année prochaine quand on aura les données 2020 de chaque pays, on va bien s’amuser… !
Je rappelle que de janvier à août un pays nous enfonce totalement : l’Allemagne.
Quand nous étions déjà à +6 % de surmortalité à fin août par rapport à l’année précédente… ils étaient… à +1 %… (lire mon article ici).
Alors que ces 2 pays sont “mitoyens”, se ressemblent etc.
En clair, il faudra rappeler ces faits (indéniables), chercher les causes (car il y a forcément des causes) et enfin déterminer les responsabilités (les covidéments vont devoir payer, d’une manière ou d’une autre).
Je rappelle l’épure : il y a 2 scandales en France :
-on monte en épingle une grippe sévère (la covidémence)
-dont on a artificiellement accentué la sévérité en salopant et en continuant de saloper la prise en charge et le traitement des malades, par idéologie covidémente (“restez chez vous avec du doliprane, il n’y a aucun traitement seuls les vaccins nous sauveront “).
Et pour illustrer ce scandale, j’ai mis à jour le graphique que vous connaissez déjà : le comparatif “tarte dans ta gueule” France/Allemagne. Ca fait mal…
Or personne n’a dit que cette séquence avait été tournée il y a quelques semaines lorsque le confinement n°2 a été annoncé et que “donc-ce-n’est-pas-une-contradiction” et que “donc-le-gouvernement-n’a-pas-retourné-sa-veste“.
Ce n’est absolument pas le sujet.
Sur la fin de l’épidémie, hélas, il a l’air assez résistant à la chaleur et aux beaux jours ce virus, de ce qu’on en sait. Mais en réalité, vous savez ce qui fait que la grippe s’arrête au printemps ? Ce n’est pas la chaleur, c’est qu’en fait, au printemps, qu’est-ce qui se passe ? On ouvre les fenêtres, on ouvre les portes, on n’est plus confiné dans des lieux, on va dehors. Et donc, c’est le confinement qui provoque la circulation du virus.”
Le sujet est que Véran pense et dit, pour une fois justement, que le confinement est délétère. Rester chez soi est délétère. Surtout en famille, afin que les miasmes soient bien partagés, bien étalés…
C’est le cas de la grippe… Et c’est bien entendu le cas avec le couillonavirus.
Il ne s’agit donc pas de dire que le gouvernement a “retourné sa veste“.
C’est en revanche une énième preuve que le gouvernement… ment.