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L’eau ça mouille : le couillonavirus aime le froid

On peut apercevoir ici le petit Olivier Véran qui se baigne. Il confirme : l’eau ça mouille.

Les financiers sont des crapules. Mais ils savent utiliser les outils statistiques… Et surtout : ils n’ont aucune idéologie ou parti pris scientifique. Ils ne pensent pas “printemps“, mais “pognon“.

Donc quand des mecs de Goldman Sachs étudient le couillonavirus, on peut leur faire confiance. 😉

In a recent note to clients, a team of researchers at Goldman Sachs took a close look at temperatures and studied whether there was a correlation with temperatures. Perhaps unsurprisingly, the team found a strong negative correlation between confirmed cases and temperature, with the number of the former going up while the number for the latter goes down.

As the regression modeled by Goldman shows, the further temperatures drop with a modest lag between the summer and the winter, the more extreme the surge in COVID-19 cases. This applies in both the US and Europe. (source ZeroHedge)

Vous allez me dire… c’est le coup de l’eau qui mouille.

Certes. Mais en ces temps de covidémence, il faut rappeler ces évidences (qui deviennent révolutionnaires).

Et le clou dans le cercueil de la covidémence :

Interestingly enough, the analysts analysis found that no matter the difference in statewide policies and enforcement, cases appeared to wax and wane along with changes in temperature, appearing to resist most efforts to control the virus.

Voilà. Véran et son gang peuvent faire ce qu’ils veulent, le virus s’en tamponne le coquillard.

Le professeur Toussaint a démontré (lire article ici) :

-la saisonnalité du couillonavirus

-son goût pour le frais (10 degrés).

-et “90 % de la mortalité du Covid est ainsi “concentrée” dans une bande géographique entre 20 et 60 degrés de latitude nord (et sud aussi).”

Le couillonavirus est apparu en hiver (hémisphère nord).

A fait sa sieste en été. Et il revient avec les premiers frimats.

Comme la grippe. Comme les coronavirus du rhume.

Voilà. Si on ajoute une mortalité ridicule qui n’affecte que des vieillards malades (lire ici)… On bouleverse, on saccage nos sociétés pour une grippe. Point barre.

Il n’y a aucune “pandémie” horrifique, dévastatrice menaçant la survie de l’espèce humaine.

A part dans le cerveau dérangé des organisateurs de la covidémence et des troupeaux de zélotes crétins qui les suivent.

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